Les jours se languissent
L'été mort sur les herbes sèches
Mais tout se précipite
Paresseuse le temps me fuit
Demain tout est moite
Emportée par le fracas des secondes
Les heures bouffies confondues
Demain plus rien ne m'appartient
Demain la marée est haute
Et j'égare à nouveau le sol