Ad vitam eternam

Chapitre 6

Après le départ des scientifiques, Chris se tourna vers ses parents, rouge de rage et de déception. Il voulait s'expliquer, avec sa mère en particulier.

- Pourquoi tu m'as traiter comme ça ? Alors, pour toi je suis un incapable ? Je ne ferrais pas de mal à une mouche ? Je n'ai aucun moyen de défense, aucune raison d'avoir du mérite ? C'est sympa, jamais je n'aurais peser que tu aurais pu me traiter comme ça ! Tu m'as salis !

- Chris calme toi, elle ne voulait...

- Non tais toi, le coupa Chris. Il n'était pas d'humeur à entendre des excuses, venant de son père qui n'avait rien à voir dedans, ou presque. Avez-vous pensez une seule fois à de que je pouvais ressentir, de me sentir exclus ? Les larmes brûlaient les yeux de Chris et il sentait ses joues se réchauffer avant d'ajouter l'ultime phrase : Je pars.

Il ne se retourna pas quand ses parents l'appelèrent. Il monta dans sa chambre prendre son argent de poche qu'il mit dans sa poche, il fit en vitesse une valise de vêtement et y glissa les livres de la bibliothèque et prit une photo lorsqu'ils étaient tout les quatres : Fanny, Chan, Leïla et lui. Il sortit en volant, a l'aide de ses nouveaux pouvoir vampirique et se pose dans le parc. Il s'assit sur un banc et fouilla ses poches et pris son portable où il composa le numéro de Lola. Le téléphone sonnait.
Sonnerie un.
Deux.
Trois.

- Allô ? Fit-une voix d'enfant.

- Bonjour je suis Chris, je voudrais parler à ta mère.

Il ne savait pas exactement de qui il s'agissait mais il entendit un faible oui a l'appareil.

- Oui mais elle est partit et je suis chez moi. Mais elle a un numéro de portable si tu veux.

Chris acquiesca et écouta la voix de la petite. Elle ne devait pas avoir plus de six ans. Il nota le numéro et avant de raccrocher, la petite fille lui demanda :

- Pourquoi tu veut lui parler ? T'es son capitaine ? Elle a fait une bêtise ?

Chris se surprit a sourire avant de lui répondre.

- Non, non absolument pas, ne t'inquiète pas. Elle est passer chez moi pour le boulot tout à l'heure et je voulait lui parler pour la questionner, c'est tout.

- D'accord.

La petite raccrocha. Chris composa ensuite le numéro qu'il avait obtenu et tomba sur le répondeur après la sonnerie.

- Salut Lola, c'est Chris. Je voulais savoir si je pouvais passer chez toi. Je me suis disputer avec mes parents et j'ai vraiment le coeur lourd. J'aimerais surtout te poser des questions, comme tu parrais vraiment au courant sur ce domaine. Rappel moi.

Chris se dirigea valise a la main, et sac de sport sur l'épaule au parc. C'était une journée dur, il avait l'impression que tout ça était arriver en trois semaine. Puis tout d'un coup il se rappela.

- Merde ! Françoise.

Il consulta son smartphone et trouva son numéro. Il l'appela et entendit une faible voix décrocher.

- Allô ? Si c'est encore de la publicité, aller vous faire mettre par un saucisson sortit de chez le boucher ! Je suis nu sous mon peignoir !

- Euh non... c'est moi, il posa une main derrière sa nuque et rejeta la tête en arrière en fermant les yeux. C'est Chris, le fils à Chan.

- Oh baguette rouillé ! Excuse moi, j'ai tellement l'habitude des pubs pour les magasins érotiques et tout ça que je me suis fais une liste de "clash", je crois qu'on dit comme ça.

- Oui je vois, répondit gêné Chris. Je voulais t'appeler pour te souhaiter un bon anniversaire, mais je ne pourrais malheureusement pas venir cette fois.

Chris se pinça les lèvres en l'entendent rire à l'autre bout du fil. S'était-il tromper de date ?

- Mais voyons petit, tu es comme ta soeur, mon anniversaire c'était déjà l'an passé ! Quel famille de banane...

Bon ok, le répertoire d'insulte de sa grand-mère était vraiment naze, il ne pouvait pas se contredire là dessus. Il perdit au moin dix bonne minutes a lui expliquer que les anniversaires étaient des événements annuel, qui revennaient une fois chaque années, mais comme elle etait borné, elle le contredisait a chaque fois. Il raccrocha, lu le texto qu'il venait de recevoir et répondit.

| Ah, salut Chris. Je viens d'écouter ton message. Passe chez moi quand tu veux, je viens de rentrer. 15 rue du bon marché, je t'attend.

| Merci

***

Chris marchait prudemment sur le perron de la maison, ou plutôt la villa de Lola. Il toca doucement à la porte et Lola ouvrit immédiatement, comme si elle l'attendait depuis dix minutes de peur de le faire attendre. Elle était vêtu d'une robe de nuit couvert par un peignoir, ses cheveux étaient entortillé dans une serviette de bain et des goutes d'eau tombaient de temps à autres sur le parquet brun.

- Entre, l'invita-t-elle. J'ai fait un chocolat chaud, tu en veux ?

- Merci mais je n'est pas très faim, et je ne compte pas rester longtemps.

Elle fronça les sourcils et il se dit qu'il avait oublier d'enlever ses chaussures, il fit mine de les enlever mais elle l'en empécha.

- Oh pardon, je ne t'es pas donner de chausson. Non mais, elle rigola, en faite, tu vas rester mon grand, et ce n'est pas une option, tu as froid et tu es fatigué, tu as besoin de réponse à tes questions et tu es en relation tendu vis à vis de tes parents. Et puis je t'es préparer une chambre.