chapitre 3:

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~ JONAS~

Je regarde l'horloge accroché au mur, elle indique dix heure quart. Où est encore passé ce satané karim? Il doit me déposer à l'aéroport avant douze heures. Je commence à perdre patience. Je fais des va et vient dans la chambre. Je prends mon téléphone et tente de l'appeler. Ça sonne cinq avant qu'il ne décroche.

- allô! Jonas?

- Je peux savoir ce que tu fabriques?

- Je prends ma douche pourquoi?😁

- Quoi?
Je sentais la colère m'envahir.

- Bah oui! Je prend ma douche.
Je l'entend rire au bout de l'appareil.

- C'est une blague?

- Bah non! Je prends une bonne douche après je vais au lit.

- TE FICHES PAS DE MOI TA RACE!

- Hahaha! T'es toujours sur les nerfs toi.

- karim, t'as intérêt à amener tes fesses quickly. Je n'ai pas envie de le rater cet avion.

- t'inquiètes frère, je serai là d'une minute à l'autre.

Et là il raccroche le téléphone. Il a tendance à me faire stresser pour rien. Quoi qu'il advienne je sais qu'il ne me lâchera pas. Je peux toujours compter sur lui.
Karim et moi somme amis depuis la maternelle. Par conséquent c'est le seul dont je me sens vraiment proche.

J'ai à peine raccrocher qu'un domestique entre.

- Exusez moi monsieur! Monsieur karim m'as chargé de vous dire qu'il vous attend en bas.

Je remercie le domestique, prend mon manteau, mes lunettes de soleil et mes valises. Je descend et trouve karim blotit contre la voiture avec ses lunette de soleil sur le nez.
Karim c'est un beur grand de taille à peu près un mètre quatre-vingt six avec un corps d'athlète. Il est marocain de son père et espagnol de sa mère. Il a toujours une coupe au gel. Des traits fins avec une barbe bien taillé et des yeux vert.
Moi? Je suis français. Mon père est algérien et ma mère française. Ils se sont rencontrer lors de leur première année d'étude et c'était déjà l'amour fou entre eux. J'ai vingt et un ans, le même âge que karim d'ailleurs. Je mesure un mètre quatre-vingt sept.
L'année dernière nous avons passer notre licence de droit. Ce sera ma première année de master cette année.

Dès qu'il me voit il fait le tour et m'ouvre la portière de l'intérieur. Je monte et il démarre.
Sur le chemin de l'aéroport il me dit sans détourné son regard de la route.

- Qu'est-ce que tu vas faire là-bas Jonas? Où est-ce que tu vas déjà Ji...quoi?

- Djibouti! Le corrigeais-je. Et j'y vais pour une affaire.

- Et que vas-tu faire? Je suppose que ton père peut gérer ses affaires tout seul.

- Je vais travailler en tant que stagiaire et assister mon père.

- tu penses qu'être "être la jolie secrétaire blonde" de ton père est une affaire? Sans vouloir t'offenser bien sûr. Se moqua-t-il.

- laisses tomber! C'est même pas la peine de te répondre.

Je savais au fond de moi qu'il avait raison.
Mon père est propriétaire d'une société immobilière en Afrique notamment à Djibouti. Et comme je suis fils unique et future héritier légitime, je dois apprendre le fonctionnement intérieur de son entreprise. J'aurai préférer ne pas le faire et profiter pleinement de mes vacances scolaire mais je n'ai pas le choix je dois le faire.
Mon père m'attends déjà là-bas avec ma mère.

- En passant, je voulais te prevenir que je me suis fais faire un double de tes clés.

Je n'en crois pas à mes s'oreilles!

- Qui t'as donné l'autorisation? Rends-les moi!

- Jamais!

Après avoir essayé en vain de les lui reprendre j'ai finis par abondonner. Les reste du trajet s'est fait en silence.

- On est arrivé monsieur le loveur! Me fit-il sortir de mes pensées.

Je ne prends pas la peine de lui répondre et fis descendre mes valises.

- Tu dis pas au revoir à ton karim chéri? Il fait la moue.

- Une question s'il te plaît.

- Mais vas-y! Tu sais que je peux répondre à n'importe quelle question qui te passes par la tête.

- Franchement qu'est-ce que tu sais faire d'autre à part deballer des sottises.

- Ben! J'ai plein d'autre capacités. Comme te faire chier, faire des bonne blague, prendre tes clés et ...

- STOP!!! tu sais quoi? c'est bon j'ai compris. L'interrompais-je.

Il me fait un large sourire et secoue les clés de mon appartement. Je ne sais pas ce qu'il a derrière la tête mais je sens que c'est pas bon du tout.

- Dis-moi ce que tu vas faire avec les clés de mon appart!

- Moi ce que tu vas faire avec les clés de mon appart!
Replique-t-il laissant echappé un petit rire.
Je fronce les sourcils comme signe de mecontentement. Et à en juger par l'arrêt de son rire, je crois qu'il a compris.

- T'es vraiment trop nul à t'enerver comme ça tout le temps. Marmonne-t-il.

- J'attends toujours la reponse.

- C'est bon! C'est bon! Je vais juste un peu profiter de tes notes pour revoir un peu le dernier semestre et de ta console... Et qui sait ta salle de bain aussi. Finit-il en me faisant un clin d'oeil.

- Je te deconseille d'utiliser ma salle de bain. Tu vas encore mettre le desordre. Et j'espère que tu me dis la verité. Ajoutais-je avant de partir.
Je tire ma valise en direction de l'entrée.

- Bon voyage! S'ecrit-il derrière moi faisant abstraction de mes dernières paroles.
Je suis sûr qu'il va encore une betise. Je sens que je vais le regretter. Il m'arrive de me demander comment j'ai fais pour être amis avec lui des fois. Mais bon! C'est karim après tout.

Je le remercie sans me retourner, entre le hall d'entrée et m'assis sur un banc.

Le voyage a été une vrai torture. Je suis arrivée dans l'aeoroport de destination. J'attends qu'au moins un des chauffeurs de mon père vient me chercher. Je m'assois donc sur un banc.
Cette chaleur est insupportable. Je me demande comment font les habitants de ce pays pour survivre.
Je regarde ma montre. Seize heures trente? Mon dieu! J'ai entendu dire que le soleil se couche à dix-huit heures ici. Deux heures avant le couché du soleil et il fait déjà une chaleur insupportable.

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Voilà c'est tout pour ce chapitre. J'espère qu'il vous a plût.😄😄

(photo medias: karim)

SimaneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant