La fille d'Aizawa

chapter one :

Hey ! J'ai marquée des chapitres avec une croix, se sont ceux que je réécrirai car je ne les juges pas assez bien, ou alors mal écrit, et il y a beaucoup de fautes (même si j'en fais toujours mais moins).

Dans ce premier chapitre que j'ai réécris, je tenais à vous dire qu'il n'est pas réellement relier à la suite pour le moment. Je suis entrain de réorganiser toute mon histoire, ce qui fait que j'ai découper ce premier chapitre en deux chapitres, je ne sais pas si vous avez compris. Mais je vous souhaites bonne lecture ;)

Les doux rayons du soleil pénétraient dans une splendide maison au teint rosé, une blonde préparait ses affaires avant son départ. Dans l'encadrement de la porte de sa chambre, se tenait sa grand-mère, de sa voie mielleuse elle s'exprima.

« - Ma chérie...

- Mamie, est-ce que... ça va ?

- On peut dire ça, elle s'assoie sur le lit près de sa petite fille, tu vas beaucoup me manquer tu sais.

- Je sais, à moi aussi mamie. Mais ne t'inquiète pas, on s'appellera, et puis pendant les vacances je viendrais vous voir. » elle lui sourit et la pris dans ses bras.

« - Vous êtes prêtes les filles ? » cria une voix grave à l'étage d'en-dessous.

« - Oui, on arrive grand-père ! »

La grand-mère sortie de la chambre avec la blonde sur les talons, elle regarda une dernière fois l'entièreté de sa chambre, puis elle descendit les escaliers fermant la marche.

« - Donne moi tes valises ma puce. dit son grand-père d'une voix douce.

- D'accord, tiens. » elle lui tendit ses deux bagages.

La grands-mère se préparait à monté dans la voiture avant de se faire arrêter par la plus jeune des trois.

« - Attendez ! Je n'ai pas dis au revoir à Maïa. »

Elle courra à la recherche du petit chat maronné, elle regarda dans toutes les pièces de la maison, le salon, la cuisine, la salle de bain, mais elle ne la trouva pas. Elle monta donc à l'étage, quand elle rentra dans son ancienne chambre à présent, elle la trouva couchée sur son lit. Elle s'approcha d'elle, la caressa autant de fois qu'elle le pouvait, Maïa avait sauté dans les bras de sa maîtresse ne voulant pas la quitter.

« - Emmène là avec toi. » prononça une voix grave.

Elle se retourna ne s'attendant pas a une soudaine prise de parole.

« - Mais, je ne peux pas. C'est votre chat.

- Prends là avec toi. Pendant ces six dernières années, vous avez établis un lien très fort toutes les deux. Tu ne voudrais tout de même pas la laissée là, je me trompe ? expliqua la grand-mère.

- Vous êtes sur ?

- Évidemment ma puce. »

Elle les prient dans ses bras, les serrants le plus fort possible. Une petit larme coulait, mais elle l'essuya du revers de sa main droite. Ils se détachèrent et elle leur fit un grand sourire.

« - Bon, je ne veux pas vous pressées toutes les deux, mais Saya, tu as un train à prendre.

- Oui, allons-y. »

Elle attrapa la maronné et la mis dans une cage, elle la caressa une dernière fois avant.

« - Tu es prêtes Maïa, car le voyage commence. » dit-elle toute souriante.