chapitre 43

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Je choisi de prendre un pistolet ainsi que 4 munitions. Je n'aurais pas besoin de plus. Du moins je l'espère pour lui.. Je ressors et me mets bien en vue. Je ne sais même pas exactement qui me cherche..

Havoq: Je suis ici. Le Caporal Havoq est ici.

Je fais part de ma présence à vive voix, gardant à l'oeil chaque alentour pour prévoir son arrivé. Quelques soldats curieux se sont postés sur les côtés, à l'abri.

Je range mon arme dans ma ceinture en attendant. Au bout d'un moment seulement, du feuillage bouge.

...: On peut dire que tu es bruyante comme fille! Remarque, ça ne change pas tellement.

Havoq: Alors c'est toi, l'éternel second.

Je vois ses traits se durcirent. Je ne l'imaginer pas capable de se déplacer seul et encore moins d'attaquer un homme. Pour moi, ça a toujours été une mauviette.

Havoq: Bruns.

Bruns: C'est de ce genre de chose dont tu parlais? Les "agressions mortels" ? On m'a dit que ce gamin était ton protégé ?

Il continue à bavarder tout seul. Je hais ce type. Sa jalousie n'est pas le seul facteur de sa rancune contre moi. Il m'a demandé de sortir avec lui. J'ai du blessé son ego en refusant, un sourire méchant apparaît.

Havoq: Alors, qu'est-ce que tu as contre moi, de si important pour que tu en viennes à blessé un innocent?

Ma réplique le bloque un instant mais il se reprend vite. Je vois un bout métallique, un couteau.

Havoq: Tu l'as blessé avec ce couteau?

Alors ça peut-être vraiment grave. Mon regard se noircit peu à peu.

Bruns: Comment il s'appelait déjà ? Jimmy? Jean ?

Havoq: Je t'interdis de prononcer son nom, tu n'en n'es pas à la hauteur!

Il est contrarié.

Havoq: Dire que tu fais tout ça parce que je t'ai repoussé ! Tu es pitoyable !

Il fronce les sourcils et tremble de rage. J'ai touché un point sensible là. Je sourie devant son état. Il agite le couteau en avançant de deux pas. Il doit se trouver à 15 mètres de moi, plus ou moins.

Bruns: Dis pas de conneries ! Comment tu veux que ça m'importe !?

Havoq: J'aurais pu trouver 10 fois mieux que toi! Un looser, un lâche!

Bruns: Ferme là! Tu veux que je bute chacun de tes adorables petits protéger ?! C'est ça? Tu veux que je les saigne !?

Je soupire, enragé mais aussi sage. Je me tourne vers les couloirs extérieur ou plusieurs personnes étaient postés.

Havoq: Vous êtes tous témoins de ses paroles?

Ils hochent difficilement la tête, submergé par notre conversation. Je soupire de soulagement. Je dégaine mon arme à une vitesse remarquable et tire dans sa jambe. Il s'effondre mais seul un cris de surprise le prend.

Pourquoi ça me tombe dessus ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant