Chapitre numéro 8 :

55 3 0
                                    

Hey à tous !!! Comment va la vie ? Aujourd'hui, demain, après-demain et le jour d'encore après je vais publier un chapitre pour une bonne raison, comme vous avez pus remarquer je n'ai pas publié depuis mai et j'en suis désolée. je vous promets de reprendre un rythme d'un chapitre par mois jusqu'à la fin de l'histoire 👌 Encore désolée...❤

PDV Tom :

Cette fille m'insupporte. Jenna Granger refait sortir en moi les pires sentiments.

Elle est insupportable. Chiante, manipulatrice, vicieuse, culottée et coincée.

Tout en elle m'énerve. Sa façon de parler, de marcher, de retrousser les lèvres quand elle est est énervée, de serrer les poings quand elle est stressée.

La première fois que nous nous sommes vus, nous étions en première année. A l'époque, elle était déjà insupportable. C'était lors de notre sortie du Poudlard Express que nous nous étions rencontrés.

Elle faisait partie de ces personnes qui ne préféraient rester toute seule pour se concentrer sur ses études plutôt que de jouer dans le sociale.

Pour une raison totalement différente de la sienne, je n'aimais pas non plus la compagnie de d'autres élèves. Pourquoi ? Je ne sais pas réellement. Je sais simplement que je n'en avais pas besoin. Quand j'étais tout seul, je pouvais réfléchir clairement, je ne souffrais pas comme j'aurai pu souffrir suite à une rupture amicale ou amoureuse. Je ne prenais pas de risques. Tout de façon, personne n'aurait pu supporter mon caractère.

Ce jour-là, elle portait une robe couleur pastel, bleue...Peut-être rose avec des chaussures ressemblant plus à un assemblages de toiles. Ses cheveux blonds étaient accrochés en une queue de cheval bien serrée. Elle était le parfait prototype de la jeune fille de bonne famille, sans problèmes, ses yeux débordaient d'une énergie et d'une détermination qu'elle semblait être la seule à avoir.

Elle m'avait regardé. Elle m'avait enfaîte plus jugée que regarder. Elle avait regardé mes cheveux bruns, mes habits noirs, mon visage fermé et le fait que je ressemblais à un fantôme au milieu de la gare.

Ce fût à partir de ce moment que je la détestais. Elle-et ses manières de petites bourges...Elle-et son air coincé... Elle-et sa robe informe...Elle-et son caractère toujours conciliant, de bonne foie... Elle-et sa foutue perfection...

Néanmoins, je ne peux nier qu'elle a eu du courage de se prendre la tête avec les deux gorilles. Peut-être n'est-elle pas si coincée enfaîte ?


La première larmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant