Chapitre numéro 7 :

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(image de Clarissa Moore ; amie de Jenna Granger)

PDV J.Granger :

Ces deux espèces de gros gorilles commencent sérieusement à m'énerver, rien chez eux n'est un temps soit peu humain et ils se rapprochent plus du reptilien handicapé que d'un élève de Poudlard. Adeline est, en boule, par terre, j'ai terriblement mal pour elle, elle ne mérite pas de cet fait traiter ainsi, ses hommes sont des monstres.

Alors que je m'apprêtais à leur faire regretter de s'être attaquer à ma nièce préférée, une odeur de menthe et de peur envahis la pièce et le garçon le plus prétentieux que je connaisse pointe le bout de son nez blanc comme neige.

Immédiatement tout les gestes des grosses brusques s'arrêtent et leurs regards effrayaient se tournent vers le prince des Serpentards.

- Garett et Samuel, vous avez 32 secondes pour m'expliquer ce que vous foutez dans ce couloir  à tabasser une môme.

Les deux gorilles donnent l'impression d'être paralysé, ils ouvrent un à un la bouche avant que Tom se retourne d'un geste brusque et lève les yeux au ciel, un sourire mesquin sur les lèvres,

-Non enfaîte je m'en fous.Rentrez dans vos chambres. Maintenant.

Le regard de mon ennemi ne laisse aucun choix aux deux montres, qui doucement, partirent en courant vers l'étage des dortoirs. Je retient de les appeler pour qu'ils s'excusent mais en fin de compte je me contente d'aider ma nièce à se relever pendant que Tom reste debout, sans faire aucun geste, à nous regarder.

- Que fais-tu là ?

Ma voix est tremblante et je ne peux arrêter de penser à l'époque ou nous étions à peu près ami. Adeline pleure toujours autant et je la prends délicatement dans mes bras.

-Ça serai plutôt à moi de te le demander.

-J'ai pas envie de te parler, vas-t-en.

Mon ton est sec, je suis encore indignée qu'il ai rompu sa promesse d'arrêter de trainer avec de telles imbeciles. Ses yeux changent de couleurs, passant d'un gris clair à un vert foncée.

-Ne me parles pas comme ça.

Qu'il s'estime encore heureux que je lui parles encore après sa promesse en l'air.Je rétorque,

-Je te parles comme je veux.

-Justement non.

-Je te parlerais peut-être mieux si tu avais réussi à tenir tes deux gorilles en laisse.

Ses yeux deviennent un peu plus rieur, tout en restant sombre et inexpressif,

-Il n'y a pas de laisses de leur taille.

Jenna dut se retenir de rigoler suite à la réplique du garçon mais très vite sa traitrise lui revint en mémoire,

-Tu n'étais pas censer t'espacer d'eux ?

Son ton se refroidit immédiatement et il s'appuie négligemment contre la porte pendant que j'essaye de rassurer ma nièce,

-Tu n'étais pas censer ne pas vouloir me parler ?

Il a de la répartie, c'est sûr, il m'énerve tellement que je ne peux m'empêcher de lui répondre,

-Si t'insistes, je me casse.

-Bah vas-y casse toi. Personne ne va-t-en empêcher.

Je vois dans son ton qu'il ne rigole pas mais, exprès pour augmenter son énervement, je le regarde avec un sourire charmeur,

-Réponds à ma question.

Il passa la mains dans ses cheveux et redresse sa mèche sous son oreille droit, signe évident qu'il est stressé, et se redresse,

-J'ai pas à me justifier.

-Je crois malheureusement que si.

On se défit du regard, cherchant lequel des deux va gagner,

-Réponds à ma question. Tu n'étais pas cencé s'espacer de cette bande de tarés mentaux ?

-Si.

Il commence à sérieusement  m'énerver, ma haine pour lui est encore plus puissante qu'avant,

-Attends...Tu n'as quand même pas cru que j'allai vraiment m'espacer d'eux ? Pour toi !

Son ton est méchant, horrible, il m'atteint plus que je le voudrais.

-Oui, tu as raison, tu es bien trop égoïste pour faire ça.

Et sur ses derniers mots, Adeline dans la main et ma mauvaise humeur dans l'autre, je rentre dans la chambre, n'oubliant pas mon rendez-vous secret de ce soir, ni ma haine contre celui que l'on appelle "l'ange de la destruction".







La première larmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant