(Image de Jenna à 14 ans et demie )
PDV Jenna :
Ce garçon est d'un égoïsme déconcertant. Il ne pense qu'a sa poire depuis le début. Cette espèce de pourriture imbue de lui même me prouve un peu plus chaque jour qu'il est encore plus désagréable que je n'aurai jamais crûe l'imaginer.
Il est malpoli. Il est insolent. Il est tout ce que j'ai toujours voulue fuir. Il n'a pas peur du danger; il n'a aucun filtre, il se contente de dire ce qu'il pense, que ça soit bon ou mauvais.
Malheureusement, c'est aussi un manipulateur, et ça-au début je ne le savais pas.
La première fois que nous nous sommes vues, c'était à la gare King Cross. J'avais immédiatement remarqué ce garçon étrange. Il était seul, tout comme moi et il semblait si inexpressif que l'on n'aurait pu le comparer à une statue de cire.
Puis, un sourire méchant s'était fait voir sur son visage qui regardait mes vêtements.
immédiatement, j'ai sue que nous n'allions pas être amis.
Nos trois premières années se passèrent dans un drôle d'atmosphère. On ne se parlait pas. Mais nous nous foudroyions souvent du regard, sans raison apparente, il m'énervait et apparemment-moi aussi. Nous nous lancions des pics, ça nous occupait et même, ça nous amusait.
Lors de l'un de nos cours de vol, il m'avait tellement énervé que je lui avais lancée ma chaussure pour bloqué le passage et nous nous étions pris deux heures de retenues chacun mais nous n'avions pas pus nous empêcher de nous engueuler là-bas.
Ce fut en quatrième année que nous avons commençai à nous supporter. En quatre année nous avions beaucoup changé, aussi physiquement que mentalement.
On s'était rendue compte que nous avions aucun point commun, mais que s'était bénéfice pour notre semblant d'amitié.
La première fois que nous nous étions parlé, sans crier était en Février de la quatrième année.
J'étais tranquillement en train de lire dans ma salle commune quand la bande de gorilles avaient débarqués. Immédiatement, j'avais appelé notre préfet qui n'avait pas réussi à nous les faire sortir. Se fût à ce moment là que le prince des Serpentards entra dans la pièce en claquant la porte. Immédiatement, Tom se précipita sur un des élèves de 4ième année Gryffondor qui lui avait sûrement fait un mauvais coup-enfin j'imagine.
Le gars était mort de peur et moi aussi. Tout le monde était parti, sauf moi, mes jambes semblaient être devenues du coton.
Tom avaient finit par mettre un droite au gars qui était parti en pleurant.
Et moi j'étais rester là.
Il avait passée environ 5 minutes à s'arracher les cheveux en marchant rapidement dans la pièce avant de se retourner vers moi,
-Qu'est ce que tu as à me regarder comme ça toi ?
-Je n'ai rien. Tu viens de taper quelqu'un devant moi, ce qui prouve juste que tu es encore pire que je le pensais.
Ses yeux avaient pris un couleur ressemblant au rouge des enfers et il s'était avançai vers moi.
-De quel droit tu te permets de juger mes actions ?
Il semblait extrêmement énervé et je n'avais pas le courage de me battre contre lui, je lui avais seulement répondue,
-Excuse moi.
Son regard s'était détendu et il s'était avachi sur le canapé en me regardant de ses grands yeux gris.
-Tu lis quoi ? Ah non enfaîte...Je m'en fou.
-Si tu t'en foutais vraiment tu ne m'aurais même pas adressée la parole, je lis des poèmes moldus. Du Baudelaire exactement.
-Ta tête, ton geste, ton air
Sont beaux comme un beau paysage ;
Le rire joue en ton visage
Comme un vent frais dans un ciel clair.C'était la première strophe de "A celle qui est trop gaie", un des fameux poème de Baudelaire. Mon préféré exactement, romantique et sensuelle, aussi beau dans ses mots que dans ses images. Je suis surprise de remarquer qu'il connaisse un peu de poésie. En plus moldue. C'est une bonne surprise.
Sa voie semble bien plus douce que lorsqu'il parle à ses amis. Peut être que la poésie l'apaise, tout comme elle le fait pour moi.
-Le passant chagrin que tu frôles
Est ébloui par la santé
Qui jaillit comme une clarté
De tes bras et de tes épaules.Je récita la strophe suivante, puis lui celle qui suit; et nous avions passé la soirée à réciter des poèmes de notre poète préféré.
Comme quoi ... Nous n'étions peut-être pas si différent. Mais malheureusement, maintenant, plus de Baudelaire, plus de poème, il semble être redevenu le jeune homme insupportable qu'il était.
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La première larme
FanfictionComment le blanc et le noir en sont-ils venus à se mélanger ? Comment Tom Jedusor s'est-il mis à côtoyer la belle Jenna Granger ? Comment est née de leur amour une petite fille mi-pure, mi-démoniaque ? Vivez la passionnante et fusionnelle relation d...