<prologue>

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(bon mes amours c'est mon premier livre j'espère que sa vous plaira )

Mésing Ndiaye ****

:Moi Mésing bokakh bayame sante doumaléne maye dara paa bou maguétte bâ khobidass di dokhane Aÿ moromou domame malén di rathe baniou set khaliisss bouniou liguéy versé mako.
(Moi Mésing fille de son père je n'épargne pas les vieux qui se permettent de draguer des mineures du même âge que leurs enfants je vais bien m'occuper de les ruiner je serais sans pitié dans ce monde on aura tout vu.)

: ahn Mésing j'aimerai bien savoir comment tu fais pour être aussi sûre de toi.
Mane dhé môme xamnani awma fitou mbarane samay moromou papa dagua osé..
je sais que j'ai pas le culot de sortir avec des hommes du même âge que mon père tu es trop Audacieuse tu devrais arrêter avant que ça ne tombe sur toi, épargne ta mère de ces mauvaises langues tordues dans le quartier.

:Toi la reste ici rek< life bi dhé boko doundoule mou doundoula > yama gueuneuh xam
<la vie si tu ne la vie pas c'est elle qui va te vivre> tu le sais très bien a plus tard j'ai un rendez-vous moi .

:hey! que dieu te vienne en aide qu'il est pitié de toi repend toi avant qu'il ne soit trop tard Mé. ''yallah na sa djiko changé.

:mon œil!
sa lamigne dhé ni rek guéndi deff thiipp sofe
que dieu m'épargne de tes injures
En plus mataye Audacieuse djiguene daye Osé.

C'est sa ma vie si on peut l'appelait ainsi, même moi je ne connais pas la cause de ce changement ,soudain on dit que je suis Espiègle malicieuse mes pas méchante, ce que je ne veut pas accepter en plus je m'en fou de ce qu'ils pense ''louma nex lay def'' la mort de mon père a tout changée dans ma vie;mon père était décédé a mes dix neuf ans sa fait deux années,deux ans que je ressens se vide, se vide qui me noue la gorge qui hante mais nuits qui fait que, je me renferme sur moi même disons que j'ai pas d'amis , j'en n'est qu'une et ces Aïtou. Elle est unique,cette fille ces la seule qui me comprend et qui ne me juge pas,a chaque fois elle essaie de me faire la moral même si je sais qu'elle dit la vérité. Et je sais belle et bien que ce que je fais n'est pas digne d'une fille. Aussi simple soit elle toute vie ne peut être rose.

Une fille pas comme les autres, je me qualifie pas comme eux. je me suis toujours sentis différente a mes égales a peine vingt et un ans je suis de taille élancé du fait de mes un mètre quatre vingt trois digne d'une "Signare" de jolie forme à la Sénégalais. D'un teint noir
Ébène ma peau est douce comme du velours, pas de tâche ni de boutons d'ailleurs ; j'aime prendre soin de ma peau digne d'une femme africaine noir,elle compte beaucoup pour moi ma noirceur D'ébène. Mon visage est plus tôt rond avec un nez fin au milieu de celui-ci qui mes yeux de biche attirer toujours le regards des gens. Ce qui était gênent pour moi de soutenir leurs regards et une petite bouche au lèvre pulpeuse. J'aimais utiliser mes atouts physique ce qui n'est pas pudique mais je n'en fit pas un cas. Mane Lima yeug mo beuriwul mais dans la vie il faut s'attendre a tout épreuves car Allah ne nous a pas descendus sur terre par hasard chaque personne, chaque âme, chaque cœur, chaque esprit nous lie a lui tout est clair et déjà écrits Mariama Bâ avais dis: le Destin empoignent qui il veux et quand il veux, alors on SUBIT.

C'est du jour au lendemain que toute ma vie fus changer, ce jour qui est graver a jamais dans ma mémoire flux et reflux d'image graver à l'encre noir sous mes paupières ou même dans un sommeil éternelle je le verrait, ce jour du premier septembre.

FLASH BACK

Deux ans plus tôt



Mésing Ndiaye"(Mé)

Ma mère elle m'énerve! je ne peux pas concevoir qu'elle me force a passé une journée chez ma tante. Celle la gua khamné dafa fogni thi Année quatre vingt dix lagne nek batay aka modé lay comme thigueuse bilaye balama dhé rek mounane yéne khaleyi legui yi mouno lene solou daguendi solanetou rek temps yima thi tôlou wé nak samaye morome dagne ma dane bâyi khel dhé (cette femme qui crois qu'on est toujours dans les année quatre vingt dix avec son style démodé elle arrive a m'énerve quand elle dit:vous les jeunes vous ne savez pas comment vous habillés vous êtes démodée,a mon époque je ne passé pas inaperçu j'étais la plus classe). Je me retenait pas de rire de cette folle. J'ai quittée la maison vers midi et j'y suis arrivée a treize heure vue qu'ils habitent a grand Yoff et moi a Ouakam c'était pas loin.
Quand je suis arrivé j'ai direct prit mes aire sérieuse .J'aimais pas les têtes que je voyais ne me jugé pas mais ces personnes son carrément fausse ils te sourient mais quant tu leurs tournent le dos ces l'extrême catastrophe, ils te colle une étiquette qui ne te correspond pas. Je parlais a peine a mes cousins et cousines,je les trouves dans la cour séne sakanay niouy mélni Aÿ mélentane...(regarder l'est on dirait des fourmis), après un salamalek très bref je pars directe vers ma tante qui me souriait comme une folle je lui fais une bise et part me posée dans le salon .

Bon je vous passe la journée pas la peine de vous raconté puisque je ne calcule personne .J'étais dans la chambre d'ami quand je décide de prendre congé, lorsque je m'approche de la porte du chambre de ma tante je me stop nette surprise par des cris provenant de celles-ci.

Tata Fifi: ooh mon dieu j'espère que c'est un cauchemar dîtes moi que c'est pas vrais.

Moi: Mais qu'est ce qu'elle a? (attend j'écoute a la porte mdrr)

Tata Fifi: C'est maintenant que vous me dite qu'il est mort Allakhou akbar

Moi: mort quoi? qui?

Tata Fifi:Non mais je hallucine! mon frère est mort depuis cette après midi et ces maintenant que vous me le dite.

Quoi?? Son frère qui Sa? Sans attendre j'ouvre la porte à volet elle sursaute par surprise, je tremblé comme une feuille mon cerveau n'était pas capable d'analyser la moindre information. Ma tante raccroche son téléphone et me fit face, elle suait a grosse goutte en ouvrant ou tant tôt fermé la bouche, sûrement sachant pas quoi dire.

:Badiene Lou khew...
Ma tante il se passe Quoi?

: Ma fille respire promets moi de garder ton sang froid?

: ay Badiene gawé ma kou dhé sama Papa?
Ma tante parle moi vite s'il te plait qui est mort mon père?.

: Bougouma wone gua yeugueko ni Mé dhé dou taguo! Ce n'était pas mon intention que tu l'apprenne de cette manière mais le mal est déjà fait ton père n'est plus de ce monde
sa papa demna.

: Weuh! lomomay wakhe ni wero Sama papa sou nékoule si monde bi foumouye nek!
C'est pour sa que je dis que sa ne vas pas bien dans ta tête,mon père s'il n'est plus de ce monde dans qu'elle monde il seras bayile sa khel biguaye Ray mbeller . Dis-je en ne voulant pas assimilé les choses.

: Aye dome ndank! Dieu est grand ma fille tout ce qui vie est vouée à disparaître la mort ne previens pas , apprend à surmonté et rien ne seras dure pour toi.

: Badiene!
Mon père n'est pas mort d'accord il est juste malade. en essayant de me convaincre moi même.

: Est! Ton père est mort! Crie telle.

Moi je me retenait plus, écroulée au sol je tremblais et bégayait comme si on était en hiver, mes larmes coulaient sens retenue: ma gorge était noué et j'entre dans un sanglot sans fin; mon monde venait de s'écrouler.
Je venais de perdre L'homme de ma vie, ma raison de vivre il était plus que mon père, il était mon seul et unique confident à part Aïtou je me confiait a lui aux moindre chose qui me peser lourd a portais dans ma tête. J'étais pétrifiée, je me sentais Orpheline oui même s'il y'a ma mère je m'entends pas bien avec elle. je suis la par terre avec mes larmes qui coule le long de mon visage soudain tata Fifi me soulève et la je lui cris dessus et courue hors de la maison, je cour et je cour encore sans avoir de destination ;sans savoir ou me maine mes jambes qui ne son plus maitre de moi même je coure, je coure tout ce que j'entendais été juste ces mots

Mon père est mort

Mon père est mort

Mon père est mort

Et la

Je me trouvais devant la porte de chez moi, j'entendais des pleures des cris des personne au coeur déchirés; trahis par la mort je tremblais les yeux huée de larme j'étais dans un autre monde. Mes mains n'ose pas être en contact avec la porte a peine que je décide de reprendre sur moi même,la porte s'ouvrit sur ma mère qui avait les yeux gonflé le visage triste à jamais je m'en gouffre dans ces bras et je laisse tombée toute les larmes de mon corps plus que triste et délaissé a jamais.

Des jours ou des semaines étaient passé je n'arrivais toujours pas a suivre mon nouveau quotidien sans l'homme de ma vie et la des semaines puis des années.

Quand dites vous mes amour💙?

❤ On poste la suite vous la voulais j'espère👍👎💕💕

Donc Faite un petit caresse a cette belle étoiles et vous l'aurais

Bousaaaah😘😘

• |Plume D'ébène'|•

L'Audacieuse&quot;Mésing Ndiaye&quot;(réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant