Partie 01

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- Mr Ndao, vous nous faites perdre du temps, avouez que vous avez tuer cette dame. Rien ne peut démentir ces faits. Avec la compétence de notre police nationale, on a tous les preuves nécessaires pour vous passer les menottes et vous emprisonner alors...Nous n'avons pas que ça à faire.

-mais comment voulez vous Madame que j'avoue un crime que je n'ai pas commis. A l'heure où cette dame s'est faite tuée selon vos dires, mon avion venait d'attérir. Vous pouvez vous même vérifiez l'heure, voici ma réservation livrée par mon agence. Comment peut-on tuer, si à l'heure du crime on était absent ?

-Mr Ndao vous savez mieux que moi qu'avec de l'argent et du pouvoir, on arrive à falsifier n'importe quel papier dans ce pays. Donc ceci n'est pas un alibi. Dis-je avec un rire sacarstique

- Mais tout le quatier à aussi témoigner, déjà ,?un homme de foi ne peut pas s'adonner à de tels acte de bassesses ! Dit-il se retenant de rire

- Des hommes de foies ? existent-ils toujours dans ce pays? Qui nous assure aussi que vous n'avez pas corrompu les gens de votre quartier qui chantent si bien vos éloges dis-je cette fois-ci avec un clin d'œil accompagné d'un sourire au coin.

Je le vois faire des grimaces, sa respiration connut des trêves, il haleta d'indignation. J'ai touché son point faible. Il adore quand j'ai ce sourire charmeur sur mes lèvres. J'étais sur le point de gagner ce procès, il est en court d'argument, il va capituler la chance est à mes côtés. Il ne parle pas et je commence à perdre patience qu'il se livre ou je passe à la vitesse supérieure ? Attends sans même attendre mon reste je commence à déboutonner soigneusement ma robe d'avocate, je le fais lentement avec une sensualité qui m'est jusque là inconnue avouons-le en face de lui je perds carrément ma pudeur. Je le vois baver. Je souris .

-d'accord Madame la commissaire, vous avez gagner, passer moi les menottes. J'avoue tout. J'ai tué cette dame j'avoue.

-hun hun, dis-je en tirant la langue coquinement, tu sais que tu ne me résistes pas. Tu es tellement à bout que tu serais capable d'avouer une chose que tu n'as pas faite. Je te répète qu'on ne joue pas avec moi soit tu perds soit je gagne alors y'a pas moyens pour toi.

Je lui mis les menottes sur une de ses mains et l'autre menotte sur le cadre creux du lit. Comme vous pouvez l'imaginer tay si avocate la teul ak sama buur gualam lepp si khetou djomal ko req .

-tu me rends fou avec ton uniforme sexy de policiére ou d'avocate?  surtout quand tu enlève ta robe pour me laisser voir tes jartelles et ce string. J'en peux plus approche stp, me dit mon mari d'une voix rauque.

-doucement, doucement chantonnais-je. La nuit ne fait que commencer. Tu auras tout le temps de me toucher partout. Mais pour l'instant, tu ne vas faire que me regarder, me regarder danser, danser pour toi.

Perché sur mes talons, en jartelles noires et string assorti, je savais l'effet que je faisais à mon homme avec ma casquette de policiére et ce top ultra sexy qui ne cachait rien de mon corps. J'entamais une striptease digne d'une danseuse de cabaret. J'ondulais des hanches, en tirant de temps à autre sur mes perles aux reins et à chaque fois que je bougeais mon pieds gauche, la petite cloche de la chainette de ma cheville faisait un bruit excitant d'aprés mon mari.

Je le vois bander comme jamais. Son membre se raidit dans son boxer ultra sexy. J'adore l'effet que je lui fais actuellement.

- Mon cœur, si je ne te touche pas tout de suite, mon coeur va lacher, mon boxer va exploser. Approche un peu que je te touche, que je te sente.

- shuuut...si tu réclames quoi que ce soit j'arrête tout. Tu es mon prisonnier donc je fais ce que je veux de toi.

- s'il te plaît détachement moi je me sens trop â l'étroit dans ce lit je veux te posséder.

Perfect ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant