Partie 04

9K 1.2K 58
                                    



- c'est bon , c'est finit bébé je suis là me souffla mon mari

Ce qui doubla mes pleures, mes larmes jaillissent pour deux raison je suis émue par le soutien infaillible de mon mari que serais-je sans lui ? Mais attristée par la visite de ses badianes.

- jusqu'à quand? A quand la fin je suis a bout , je n'en peux plus peut-être s'ils étaient là je serai pas détesté...

- oh que si ! Qui était le meilleur des hommes ? Le prophète n'avait-il pas des ennemis ? Si , alors t'es qui pour ne pas en avoir?

- mais ça aurait été différent si l'un d'eux était là à mes côtés

- ma mère ne serait pas contente à t'entendre parler ainsi , tu l'as , et moi aussi je serais là je te protégerais envers et contre tous alimatou dit-il rassurant

- j'en doutes pas mais jusqu'à quand Bamba mane sone na ( je suis fatiguée)

- Cette humiliation c'est toi qui le veut alima ait le courage de les affronter montre les que tu n'as pas peur défie les ainsi tu trouveras ton bonheur elles n'ont que leur langues montre leur que tu en a toi aussi tout en restant civilisé comme toujours certes le silence tue mais pour certaines il faut user leur méthode pour les vaincre allez viens on monte je vais continuer le repas avant que les enfants arrivent

- non laisse je le ferais

- tu risques de nous servir une nourriture hospitalière avec ta mine déconfite monte je termine et te rejoins d'accord ? Dit-il en riant

Je souris malgré moi , il a raison j'ai le moral à zéro , je ne peux pas ne pas être abattue je monte dans la chambre et me couche au lit nostalgique en revivant mon enfance et mes larmes coulent abondamment le long de mes joues.

(...)

J'allais beaucoup mieux maintenant j'ai pleuré pour évacuer ce que j'avais dans le cœur parfois il nous faut craquer , on a uncœur, ce dernier à un compteur qu'il ne faut pas trop remplir on a beau être fort mais a un moment donné il faut lâcher prise , sortir tout ce qui est dans ton cœur ainsi tu t'apaisera et aura les idées plus claire. J'étais toujours couchée au lit j'entendais les quelques bruits que fessait les enfants en bas mais c'est pas pour autant que je suis descendue. Au bout de quinze minutes cheikhoul khadim entre dans la chambre , c'est la énièmes fois qu'il viennes soit pour demander si je vais beaucoup mieux , soit pour demander si je veux quelques choses , je lui avais demandé des chocolats il m'en a amené deux boîtes. Et maintenant qu'il est revenue...

- je vais bien ne t'inquiète pas profitais-je

Il arcque un sourire discret au coin des lèvres.

- pourquoi tu n'as pas mangé ? Demanda t-il

- j'ai pas trop faim et les enfants ? Ils sont retournés à l'école ?

- oui ils n'ont pas séché à demander après toi je leur est dit que tu avais des maux de tête et que tu dormais raison pour la quelle ils ne sont pas venus te voir

On a toujours caché à nos enfants nos peines de cœur on ne veut pas que nos problèmes aient un impact dans leur vies l'enfant capte et enregistre et nous veillons toujours à ce que nos enfants garde une bonne image de nous . Un bon souvenir pas de disputes même si nous leur parlons souvent du côté sombre de la vie , nous ne voulons aussi pas qu'ils voient la vie d'un seul côté c'est à dire rose car elle n'est pas point un conte de fée...

- et toi tu repars pas? Dis-je à mon mari

- Repartir laisser ma femme seule sachant qu'elle ne vas pas bien moo wahal yefou nitt dit-il en s'installant au lit

Perfect ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant