Unknown [ABANDONNER]

L'automutilation

Temari entend la porte d'entrée claqué, ce bruit sourd l'a fait sortir de son monde si sombre, elle essuie le sang avec un mouchoir et se déshabille rapidement pour enfilé un tee-shirt bleu et un jeans simple et fait ses quatres couettes a la va-vite.
Elle déverrouille sa porte et pars dans le salon où elle trouve sa tante allongée sur le sol froid de la pièce avec des bleus au visage couvert de son sang, Temari cours vers Yashamaru et l'aide a s'assoir sur le canapé, celle-ci ne parlait pas, elle regardait le vide pendant que sa nièce l'a soignait comme elle pouvait, la brune jette un regard furtif a la jeune lycéenne, son regard s'arrête sur deux cicatrice plutôt large sur le poignet gauche de celle-ci. Elle lui attrape le bras et regarde avec insistance les plaies.

- Comment tu tes fais ça ?

Le cœur de la No Sabaku failli rater un battement, elle cherchait la meilleure excuse possible pour que sa tante ne comprennent pas le mal-être qu'elle ressent.

- Je ne sais pas, peut-être avec les roses que j'ai acheté.

Elle le dit avec un air si neutre que la droguée lui lâche le bras et change de chaîne, Hidan était parti après l'avoir tabassée, une chose était sûr pour Temari, elle devait faire très attention a Hidan et surtout a ne pas l'énerver.

- Tu vas en cours demain?

- Ouais, je vais me débrouiller avec Google Map.

- C'est la meilleure chose a faire, sinon tu vas te perdre.

Temari la laisse après l'avoir soignée, elle va vite dans la cuisine et regarde dans les placards, il y a une boîte de raviolis qu'elle vide dans une casserole sur le feu, mais quand elle essaye d'allumer la gazinière, celle-ci ne fonctionne pas, puis elle vit sur la table une facture et une autre qui n'est autre qu'un avertissement de coupures de gaz, elle soupire et transverses les raviolis dans une assiette et la met dans le four micro-ondes pour les réchauffés, puis quand ce fut prêt elle transverses de nouveau la moitié du récipient dans une autre assiette et les ramène dans le salon, les deux No Sabaku déguste le plats italiens avec appétit affalé dans le divan a regarder les mauvais programmes qui passe les dimanches après midi.

Le soir tomber, Temari part se coucher, Hidan n'était pas rentrer cette nuit, au plus grand bonheur de Yashamaru qui s'était endormi sur le canapé après s'être drogué avec tout se qui lui passait sous la main.

Le lendemain a sept heures Temari était prête a partir, en sortant de sa chambre elle trouve Hidan et sa tante déjà défoncés dans le salon, elle prend une boîte de barres chocolatées et sors de l'appartement, capuche dresser sur sa tête elle fait profil bas en marchant dans les rues délabrés du quartier abandonné par la commune. Ont pouvait y trouver n'importe quoi, des SDF a chaque coins de rues entre deux poubelles, des toxicomanes se droguent sur les trottoirs, des délinquants roulant sur des motos sûrement volé, les rassemblements de gangs dès le matin, des prostituées sur les trottoirs et les trafiquants de drogue dans les rues les plus étroites et sombres.
Tout en cachant son téléphone par peur d'un vol à l'arraché la blonde écoute la voix du GPS qui la guide vers son nouveau lycée, celui du centre ville.

A quelques rues du lycée la No Sabaku se fit interpellée par un homme étrange, il commença a lui poser des questions tout en la poussant dans une petite allés sombre, notamment sur sa famille, puis en reffléchisant elle reconnue le journaliste qui l'avait attraper la veille, elle essaye de s'enfuir mais il la plaque contre le mur.

- Je suis sûr que vous n'avez pas dites toute la vérité ! Racontez-moi, sa vous enlèvera un poids sur la conscience. Dit il avec un air faussement désolé

- Lâchez moi! A l'aide!

Elle criait de toutes ses forces en espérant que quelqu'un puisse lui venir en aide, pour l'en empêcher il mit sa main sur la bouche de la blonde. L'homme continuait a lui poser d'horribles question, comme si en réalité ce n'était pas elle qui avait tuée sa famille pour l'héritage, il l'a soupçonne d'avoir tout préparer.
Les larmes de la blonde lui monte aux yeux, elle finit par mordre son agresseur et crié de toutes ses forces.