Dinosaure-chapitre 2 : rencontre

1 2 0
                                    

11 ans plus tard

La sonnerie du téléphone fit sursauter Céciline, elle décrocha le téléphone agacé. Un livre sur les genoux "PPP-poème pittoresque personnel", elle avait les cheveux raide, teinté en noir, des yeux d'un marrons boueux, elle n'était pas jolie, d'ailleurs parfois elle se mettait devant un miroir, se regardé sous toute les coutures et peut après, elle changait de look, c'est pourquoi elle ne se regardait dans le miroir qu'une fois tout les deux ans.

"- Allo ?
- Bonjour, J'aimerais parler à messieurs Liurd, à propos de l'absence répéter de mademoiselle céciline. "
Depuis qu'elle était petite, elle avait toujours eu un don pour imiter des bruits d'animaux ou des voix, elle se souvenait de personne qui lui apprenait les bruits des animaux, mais c'était si flou qu'elle se demander si ce n'etait pas un rêve, et son frère, la seul fois ou elle en avait parler, l'avait regardé comme si elle n'allait pas bien. Il lui avait touché l'épaule et lui avait demandé si elle voulait parler avec une professionnelle de la mort de leurs mère et les années d'orphelina, depuis elle n'en avait plus jamais parlé.
Elle pris une voix un peu plus aiguë, qu'elle utilisait pour ce faire passer pour "sa petite soeur" et répondit :
"- Il est pas là... il revient ce soir
- Ah ! D'accord je rappellerai"

Elle écouta plusieurs secondes le long bip de fin de communication avant de remettre le téléphone en place. Elle s'imagina la lassitude de son frère, qu'en il lui demanderait pourquoi elle avait encore loupé les cours. Mais elle ne se sentait pas bien depuis quelque temps, comme un pressentiment.

Elle entendit le cliquetis de la serrure, elle poussa un long soupirs comme pour se concentrer sur le moment présent. Elle rangea son livre, et alla accueillir son frère a la porte. Il portait une valise, mais son pantalon été trop court et son T-shirt avait des tâches.
"- Tu es rentrée plus tôt des cours ?  demanda-t-il
- eu... non, en fait, aujourd'hui je me sentais pas bien"
Alexio ferma les yeux, compta jusqu'à cinq puis dit, d'un ton ferme :
"Demain tu ira"
Ceciline eu le temps de dire "mais" avant que la valise de son frère lui touche le front, elle poussa un cri de douleurs et toucha son front, elle sentie le sang couler.
"Vas-Dans-T'as-Chambre" articula son frère sans la regarder, elle bondit dans l'escalier, sans prendre la peine de récupérer son livre.
Elle s'enferme dans sa chambre et se précipita pour aller chercher des chaises pour bloquer sa porte. Avec des mouchoirs et de l'eau, elle essaya de nettoyer la blessure, mais à chaque fois que le mouchoirs trempé effleurer sa plaie, elle grimacait. Quand elle eu l'impression que son crâne explosait, elle posa plusieurs mouchoirs mouillé sur son crâne et se coucha sur son lit, avant de s'endormir elle eu une pensée pour son livre resté en bas.
Vers dix-huit heure, Alexio toqua à la porte de sa soeur, mais celle-ci ne lui répondit pas, en grommelant contre sa soeur têtue et susceptible, il descendit.
Quand la jeune fille se réveilla elle se  sentie mal, elle eu toute les peines du monde à se lever, et quand elle fut enfin debout, elle regarda avec horreur ses draps couverts de sang, en séchant les mouchoirs s'était décollé, et elle avait dû toucher la croute. Elle ferma les yeux, récupéra ses draps les mis avec de l'eau oxygénée, et se dit qu'elle ferait mieux de se dépêcher. Un mot été posée bien en évidence sur la table avec écrit "vas à l'école, ce n'est pas une demande, ni un conseil". Elle vit un moment la porte de la salle de bain à miroir et se dit qu'il faudrait peut-être aller voir qu'elle tête avait la blessure, mais elle regarda ses cheveux noir et refusa, elle venait de se les faire teinter, elle ne pouvait pas changer de style maintenant.
Elle comprit son erreur en arrivant en classe, en retard car son train avait encore une fois été en retard, tout ses camarades la fixait ou plutôt fixait sa blessure avec horreur ou mal à l'aise. Même son professeur resta quelque minute stupéfié. Alors Ceciline prit la parole :
" - Je me suis blesser en allant à la montagne, c'est pour ça que je n'étais pas là les deux derniers jours.
- Tu t'es fait ausculter par un médecin ? Il n'y a pas eu besoin de point de suture ?
- Bien sûr et non, d'ailleurs il a dit que un cm ou deux de plus et je ne pouvais pas y couper. Mon pansement c'est décollé ce matin, je voulais passer à l'infirmerie pour qu'elle m'en donne un autre. Mais mon train a été en retard et je n'ai pas eu le temps d'y aller, vous pensez que je peux y aller ?
- Oui, oui... Fanny tu peux l'accompagner ? Et Ceciline pose tes affaires"
Son amie Fanny, une fois dans le couloirs, lui demanda si c' était vrai, mais à ce moment, Ceciline eu la tête qui tournais et elle dû s'appuyer plusieurs minute sur Fanny pour pouvoir rouvrir les yeux. Elle entendis les paroles précipité, mais  n'arrivais pas à se concentrer sur ces mots. Au bout de longues minutes la blessée ouvrit les yeux, Fanny semblait si inquiète, qu'elle failli tout lui dire avant de se rétracter, de se forcer à sourire et d'aller vers l'infirmerie.
Elle entendais la voix de l'infirmière parler à ce qui devait être le téléphone, depuis déjà dix minutes, quand elle sentie le sol tremblé, elle se tourna pour le dire à Fanny qui lui avait explicitement demander de dire tout ses symptômes, quand Ceciline se tourna vers Fanny, elles comprirent que les deux lycéenne sentaient la secousses. La blessé voulu dire que c'était un tremblement de terre, mais la porte de l'infirmière s'ouvrit, elle les regarda très rapidement avant de  dire qu'il fallait s'écarter le plus possible de tout bâtiments, arbres, etc. Fanny attrapa le bras de son ami et l'obligea à la suivre, elles rejoignit la marée de lycéen qui partait, bizarrement Ceciline se dit que tout les exercices devrait ressembler à ça, tout le monde marcher rapidement, et des élèves avaient ouvert en grand les portes, et qu'en elle trébucha une fille qui devait être en terminal la ratrappa, la terminal n'essaya même pas de parler, les amplis répéter un message. Ceciline se rendis compte qu'elle avais perdu Fanny et le courant était bien trop fort pour qu'elle essaye d'aller dans l'autre sens. Elle jeta un regard qui été peut-être le dernier au lycée, en se dirigeant vers le stade.
En fait, tout le monde se rendis compte que même si le bâtiment avait tremblé, la magnitude devait être très faible. Ceciline qui en avait marre de cuire au soleil se dirigea vers la "forêt" comme l'appelait tout les gens du coin, elle était composé de peut-être cinquante arbres et était assez dense pour abriter le sol du soleil, quand elle arriva elle chercha un endroit ou s'asseoir, au bout de quelque mètre, elle trouva une racine où s'asseoir. Elle entendit du bruit, et se dit que d'autre lycéen devait avoir eu la même idée qu'elle. Elle se fichait totalement de louper les prochains cours, sa tête tournait et elle été épuisé, elle eu envie de se coucher en boule et de dormir jusqu'à ce que mort s'en suive. Elle jeta un regard à là où elle pensée avoir entendu des lycéens marchaient. Mais au lieu de voir des lycéens, elle vit un dragon... il devait bien faire trois mètre au garrot, il avait des pattes musclées arrière, et des petites pattes devant qui ne touchait même pas le sol, il devait avoir d'immense aile qui pour le moment été repliée dans son dos, il se tenait pas debout mais presque, sa peau d'un noir charbonneux ne semblait pas couvert d'écailles et ses yeux été d'un bleu-gris. En plus que se soit un sacré un énorme choc de voir un dragon, Ceciline était bloqué parce que d'après tout ce qu'elle savait un dragon ne ressemblait pas à... ça.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
J'aimerais savoir  ce que vous pensez du "dragon", et pensez vous que ce soit un allié ou un ennemi ? j'aimerais beaucoup si vous notiez vos hypothèses en commentaire, merci.

Un Livre 100 HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant