Ceciline poussa un hurlement, qui l'étonna elle-même, un son si aiguë qu'il en était presque inaudible. Le "dragon", comme un serpent détendit son cou et seul le réflexe de Ceciline de se cacher derrière l'arbre lui épargna de se faire manger vivante. Le dragon fit un bruit qui ressembler à des cailloux frottés les uns contre les autres. L'arbre qui se trouvait entre la jeune fille et le monstre tomba, un coup de queue l'avait déraciné. La blessure de Ceciline s'était rouverte, et elle avait envie de vomir. Alors le dragon ouvrit sa grande mâchoire avec deux rangé de croc pointu et... lui dit difficilement " en te tuant je risque juste de provoquer ta famille mais... tu ne t'en tira pas comme ça... dinosaure", le dragon refit un bruit de caillou avant de partir en courant, Ceciline crut le voir s'envoler à la lisière de la mer et de la forêt, mais tout son corps était en train de tremblé et elle n'arrivait plus à réfléchir. Elle perdit connaissance.
Elle se réveilla dans un endroit tout blanc et poussa un hurlement. Elle vit des femmes s'approcher, elle attrapa la première chose qui se trouva, une télécommande et leurs dit :"je n'ai pas fini, je n'ai pas envie d'y aller". Les infirmières totalement de déboussolés par les paroles de leur patiente s'entre-regardèrent. Une des deux s'avança vers Ceciline et lui dit qu'elle n'y irai pas, mais qu'il fallait qu'elle examine sa blessure. Ceciline mit plusieurs minutes à comprendre ce qui se passait et elles posa lentement la télécommande sans quitter des yeux les deux infirmières. Une fois la télécommande posée, les infirmières examinèrent la blessure et lui demandèrent comment elle se l'était faîte. Ceciline dit qu'elle vivait dans une vieille maison et qu'en voulant attraper le tuyau d'arrosage accroché en hauteur, un bout de mur lui était tombé dessus, son frère l'avais examiné et nettoyé, ils avait voulu aller voir le médecin mais il était fermé. Les infirmières lui dirent qu'elles avaient dû faire des points de blessure et d'aller directement à l'hôpital la prochaine fois, la jeune fille hocha la tête. Les infirmières lui demanda son âge, son adresse et son nom, Ceciline leurs dire qu'elle s'appelait Sophia Gird, elle leurs donna une adresse bidon et elle dit qu'elle avait 18 ans. Les infirmières lui firent signer à papier de sortie vu qu'elle était majeur et elles la laissèrent partir.
En sortant de l'hôpital Ceciline se senti irrésistiblement attirer par la mer, heureusement l'hôpital était proche de l'eau, elle trouva une location de bateau mais elle n'avait pas l'argent pour l'acheter alors elle attendit pendant toute la nuit jusqu'à l'aube, elle se dit plusieurs fois que C' était mal ce qu'elle faisait mais elle avait besoin d'y aller. Elle essaya tout les bateaux mais ils étaient accroché avec des cadenas et des chaines, elle abandonna seulement lorsqu'elle vit plusieurs personnes arriver et elle fit semblant de regarder les bateaux. Lorsque la location de bateau fut ouverte elle alla demander les prix pour un bateau sans permis mais les prix était bien trop élevés pour elle, elle remercia quand même l'homme et dit qu'elle allait y réfléchir.
Ceciline commençait à avoir faim et soif, elle était épuisée par sa nuit de veille, et démoralisé par son échec de trouver un bateau. Elle se rendis à l'évidence, il fallait qu'elle rentre chez elle. Elle pris le train puis elle rentra à pied, lorsqu'elle arriva, elle se senti épuisé moralement et physiquement, Ella remarqua à peine que la boîtiers de son frère n'était pas là, avant de s'effondrer sur le canapé elle récupèra son livre et elle s'endormit dessus. Elle fit un rêve étrange, elle senti comme un regard bienveillant l'accompagner, elle senti alors qu'elle.commençait à se réveiller une voix lui dire "viens nous rejoindre ta place n'est pas là, elle est avec nous".
Elle avait tellement faim, elle se leva, arriva au frigo et pris la première chose qui lui passa sous la main : des carottes cuite avec un reste de lasagnes, elle mangea rapidement jusqu'à ce qu'elle se sente rassasié, puis elle réfléchie au dernier événement. Elle avait un mauvais pressentiment, son frère l'avait frappé , il y avait eu un tremblement de terre, elle avait cru apercevoir un dragon, elle avait une énorme envie d'aller à la mer, elle faisait des rêves étranges.
Une fois qu'elle eu fait se constat elle fut découragé, voilà C' était fait elle était folle. Elle eu un espoir C' était peut-être un rêve... non ? Elle se pinça pour vérifier et soupira, ça n'avait rien changé. Elle ferma les yeux et laissa c'est pensée s'envoler, elle avais l'impression d'être exclu de ses propres pensée, des liens se faisaient sans qu'elle est à les faire des images enfouis depuis des années ressortaient. Jusqu'à ce qu'elle vit l'image d'une vieille barque rangée au fond du garage avec deux vieille palle, et un moteur antique, accompagné de bidon d'essence. Elle n'arrivait pas à se souvenir à quoi servait cette barque, il lui semblait que c'était son frère qui l'avais emmené.
Elle pris un livre et essaya de lire mais les mots passaient devant ces yeux sans qu'elle n'en comprenne le sens, l'image de la barque la hanté.
Elle dit à haute voix comme si quelqu'un pouvait lui répondre "ça fait tellement longtemps, elle a dû être jeté, et si ce n'est pas le cas elle ne doit plus pouvoir flotter", elle s'assit et repris le livre mais c'est yeux fixaient le pot de clé, ou elle le savait, été rangé les clés du garage. Elle jeta un regard à sa montre, 11h52 son frère rentrait dans environ... 8 heure, largement de quoi aller jeter un petit coup d'oeil au garage.Elle eternua pour peut-être la dixième, quand elle trouva ce qu'elle cherchait une barque en bois, rien de plus banale, deux rame était posées devant, elle les récupèra et fut étonnée de les trouver en excellente états, elle passa une bois dans la barque, et elle senti comme une sensation de mouillé, la barque qui bouge et une peur, elle se passa la main dans les cheveux, c'était étonnamment réaliste. Elle marmonna pour elle-même : "après tout ça, maintenant en toucha un objets j'ai des sensations", elle repassa la main sur le bois taillé grossièrement et tests sa solidité, elle senti comme l'impatience l'envahir totalement et elle commença à dégager la barque et les rames du bazard. Elle se rendis compte de ce qu'elle faisait après être rentré dans la barque, le porte-bateau sur lequel était posée la barque était posé à côté du rivage, la maison pas fermé, le garage non plus, si son frère rentrait il risquait de se poser des questions.
Elle soupira rangea le porte-bateau, ferma le garage, ferma la maison et retourna dans la barque en ayant laissé sur sur la table un mot disant qu'elle était chez une amie.
La jeune femme espérait que son frère ne rentrerai pas tôt, et qu'il ne serait jamais au courant pour son esapade en pleine mer à bord d'une barque qui pouvait se renverser à tout moment. Elle eu la sensation d'être attiré vers un endroit et la barque qui bougeait dans tout les sens ne la gêner, Ceciline ne sentait ni la morsure du froid, ni le frottement contre ses mains, ni le brouillard qui se levait.
Au bout de plusieurs heure, un vague plus haute qu'une autre souleva la barque et failli la faire se retourner, Ceciline sembla se réveiller et elle fut tétanisé. Il n'y avait que la mer et le brouillard à l'horizon, elle sentait ses mains à vif, brûler à cause du sel de la mer, et il lui semblait qui commençait à faire nuit.*
Quand Alexio rentra, il senti son estomac se retourner, il C' était passé quelque chose, il jeta sa valise et se précipita dans le salon sans enlever sa veste et ses chaussures. Ceciline était là couché sur le fauteuil, les jambes passées par dessus l'accoudoir. Elle pris la peine de placer son marque-pages avant de relever la tête. Son frère la regarda longuement, avant de s'asseoir sur le canapé.
"- Écoute Ceciline, je suis désolé de t'avoir frappé hier, je n'aurais pas dû, tu n'as pas été blessé ?
- C'est pas grave je n'ai rien, mais pourquoi tu était tellement énervé ?"
Alexio haussa les épaules et parti, dans le hall, il avait eu peur la veille : lui aussi avait eu comme un mauvais pressentiment, se l'entendre confirmer par sa soeur l'avait fait flipper.Ceciline écouta les pas de son frère rejoindre le hall, quand elle fut sûr que son frère n'entendrait pas, elle se passa la main sur le front et murmara pour elle-même "Merci Emma"
Au loin sur une île au milieu de la mer, une femme qui devait avoir la trentaine, souri à l'océan, elle posa la main, sur son coeur et dit au vague qui venait s'échouer sur l'île : "de rien... petite soeur".
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Un Livre 100 Histoire
Short StoryDes petites histoires dans un seul livre voilà mon idée . Chaque " histoire " feras de 1 à 3 chapitres.