Un Livre 100 Histoire

En-fers-mé

Elle sentait le mur griffait son dos, mais malgré tout elle continuait à avancer. Ses yeux qui ne pouvaient l'éclairer sur ce qui se passait restaient fermé. Et ses mains touchaient le mur de brique devant elle à la recherche du trou. Elle avançait sur son côté droit, et plus le mur défilait devant et derrière elle, plus sa respiration s'accélerait, plus son coeur lui rappelait son existence, l'obscurité était de plus en plus lourd, et l'air à l'odeur de terre lui brûlait la gorge. Elle s'arrêta désespéré et le cri qu'elle retenait depuis maintenant plusieurs heures allait sortir lorsqu'elle entendit des hurlements. Elle ouvrir les yeux et arrêta de respirer, ses yeux parcouraient rapidement le couloir, et elle se rendis compte qu'elle était maintenant à une intersection vers un couloir plus large qui longeait le mur de brique ou un tunnel creusait dans la roche, d'où venait une faible lueur qui éclairait le mur de brique, les cries venaient de se dernier. Malgré les gouttes de sueur qui parlaient sur son front elle rentra dans le tunnel. Elle s'essuya plusieurs fois les mains sur son jean pour essayer de se calmer, et plusieurs fois elle se retourna mais la curiosité l'empêchait de prendre ses jambes à son cou et retourner vers le mur. Elle déboucha dans une pièce creusée, comme tout le reste, des En Fers. Elle comprit son erreur quand elle remarqua que la salle était presque entièrement remplie et que tout les humains la regardaient. Sans se retourner elle entendait les grognements dans son dos. Une femme s'avança.
"Nous t'attendions, viens ne nous fait pas attendre plus longtemps"
La petite fille descendu grâce à des marches où un petit ruisseau coulait. Son coeur se calma, et la fillette eu une pensé vers la mort qui aurait dû l'emporter en même temps que ses parents. Elle regarda la femme qui devait faire 2m10 au moins, avec de magnifique yeux vert.

*

Elle vérifia une dernière fois que les portes étaient fermées. Puis en sifflotant "on ira tous au paradis" elle attrapa la masse, se mit en position de golfeur et frappa le mur de brique. Elle du s'y reprendre plusieurs fois pour casser le mur de brique qui la séparait des En Fers, d'une assez grosse largeur pour laisser passer un hommes. Une fois qu'elle entendit les lourd pas des Serviteurs elle courut, vingt mètre plus loin elle s'arrêta et les observa du coin de l'oeil, 1m50 de haut peut-être, une peau bordeaux et des yeux tout vert. Les serv' passèrent du bordeau à l'écarlate et se mirent à courirent en voyant qu'elle les observé, elle n'eu qu'un saut à faire pourtant elle senti le courant d'air déplacé par les serv', elle les observa de dos quand ils dépassèrent sa position, un dos nu musclé impressionnant, pourtant quand ils se retournèrebt, elle détourna les yeux ver le mur, assise elle attendit elle entendit les grognements près dans son dos mais attendis. Elle attendait qu'il prenne la parole mais il fit durer l'instant pour l'avoir dérangé pour rien.
"La prochaine fois je laisse les serv' te bouffer, Chloé"
La jeune femme ne bougea pas malgré l'aire supérieur qui l'énervait dans la voix du jeune garçon. Au lieu de ça elle murmura, pour forcé le garçon a tendre l'oreille :
"Dit lui que j'ai une  offrande, sa livraison"
Le garçon été déjà parti, elle eu un sourire, un de moins.
Elle attendit d'entendre le mur se reboucher avant de se lever, débloquer les portes, et rejoindre son appart. Elle croisa un homme dans le couloir et le salua en pensant aux bidons remplis d'essence. Une fois qu'elle eu rejoint son appart, elle soupira et mangea un repas frugale. Elle verifia une dernière fois que sa porte était fermée puis elle se coucha dans son lit et s'endormit en attendant l'appelle.
Elle se réveilla enfin par le son du téléphone :
"-Allô, salut Chloé, c'est moi Antonin, est-ce que tu peux t'occuper des gamins là, je suis avec une fille et je ne peux pas la quitter comme ça, ça m'arrangerait vraiment.
- Anthonin ? Mais... il est... 3h... tu peux pas entendre demain... ou plus tard
-s'il te plaît, j'ai besoin de toi
- je suppose que les autres ne doivent pas être... au courant
- non, mais il n'y a personne d'autre tu fais juste un tour, si un gamin se réveille tu lui chantonne une chanson.
- bon ok mais c'est vraiment parce que  tu ne peux pas faire autrement"
Chloé ne pouvait s'empêcher de sourire, tout se passait conformément au plan. Elle s'habilla rapidement attrapa les bidons et attrapa caché au fond d'un tiroir un couteau, elle plaça la pointe sur les jointure et déssina une "porte" sans un bruit la porte s'ouvrit sur les En Fers. Dans les couloirs qu'elle connaissait maintenant comme ça poche elle garda les yeux au sol, pas question de s'attirer des ennuis avec les serv' maintenant.
Elle utilisa de nouveau son couteau pour rentrer dans l'internat de l'école, elle laissa une grande ouverture dans le mur de brique. Elle vida sur les murs les bidons d'essences puis attrapa les allumettes dans le plaquo opposé au enfants, elle attendait que le feu se déclare vraiment avant de hurler :
"- AU FEU! Vite réveillez vous ! Vite par là !"
Les enfants endormies et terrorisé se dirigèrent vers les En Fers s'en se douter du piège. Chloé les firent passer par les tunnels non-éclairés, pour ne pas qu'ils puissent voirent les serv', alors qu'ils étaient dans le noir le plus complet et le silence troublé seulement parfois par quelque sanglot, Chloé dit :
"-je vous donne la première règle, ne regardaient personne qui ne vous l'ordonne pas"
Avant de débouler dans la grande salle, la même qu'il y a 6 ans pensa Chloé. La jeune femme s'avanca jusqu'à la même femme mais cette fois ci elle s'agenouilla.
"-Ma dame, voici votre commande sous forme d'offrande
-Tu sais que je déteste les surprises
- Mais ma dame j'ai demandé à Alexy de vous le dire..."
La dame au yeux vert demanda confirmation au près des serv', une fois qu'elle eu sa réponse sa main se leva. Deux serv' se dirigèrent vers Alexy, l'un deux lui tenait les deux bras, l'autre lui écrasant la tête entre ses mains. Puis il relachèrent son corps et attendait qu'il soit froid. Chloé se rendis compte d'un seul coup des cris des enfants qu'elles venait d'emmener, près de la moitié avait regardé les serv' faire leurs repas, leurs corps furent déposer autour. L'autre moitié encore vivante pleurait ou gemissait. La femme en vert s'avanca vers les gamins terrorisé :
"- je veux voir vos jolis yeux, mais s'il s'égare vous rejoindrait le tas"
Les enfants déjà terrorisés eurent encore plus peur. Certains se mirent à courir d'autre se laissèrent tomber par terre. Les serv' ramenaient les petits. Certains supplièrent Chloé de les sortir de là. Elle leurs souri, puis tourna la tête vers son chef. Avant de s'en aller.
E

lle soupira, d'accord elle avait la belle vit mais elle était obligé d'amener toujours plus de personnes, l'entrainement était rude et la place non assuré.