Prologue

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En cette froide soirée d'automne du 16 octobre 20XX, tout était calme. Le ciel était devenu oranger par la nuit tombante. Les feuilles mortes couvraient le sol goudronné de la cour du lycée Jean-Sébastien Carry, ouvert depuis les années 1974 et ayant accueilli de nombreuses générations. Surtout qu'il était le seul lycée encore ouvert, car la région n'était pas la plus active du pays et qu'elle rester déserte à certains endroits. Il était alors connu pour son internat et ses nombreuses filières. Mais rien de très étonnant, vu qu'il est obligé de faire cela pour survivre, qui viendraient dans un lycée alors qu'il n'y a rien d'intéressant autour ? Même les plus grands fast-foods ne voulaient pas s'installer ici à cause du trop peu d'activité tuant ainsi les peu de chose inintéressante pouvant s'y trouver. L'heure où les élèves pourraient partir profiter de leur week-end approchait à grands pas. À l'extérieur de la grande bâtisse, le concierge s'acharner à réparer cette maudite grille rouillée et grinçante, avant la fin des cours.

Les quelques élèves se trouvant à l'extérieur, faisait en sorte de garder de la chaleur dans leurs mains. Certain d'entre eux s'occupait comme il pouvait... en fumant dans le coin leur étant réservée. D'autre jouer de la musique à la guitare étant positionner en forme de cercle, assis en tailleurs sur le sol, laissant leurs amis danser au milieu. D'autres élèves, plus sérieux, réviser sur les tables de pique nique, ce m'étant là car, s'en doute, la salle d'étude était pleine à craquer. Pendant que la majeur partit de ses jeunes adultes, papoter autour de boisson pétillante et de mal bouffe, répartie en différent groupes, montrant ainsi une allégorie de la société en miniature. En d'autre terme, une journée de lycéen banal et sans importance. Des journée ennuyeuse, où des jeunes s'agglutine dans un bâtiments pour apprendre des choses qu'ils ne reverront que peu dans leurs futurs emplois.

Là haut, au cinquièmes étages de ce grand et vieux lycée. Dans une salle remplie d'humidité et de moisissure, n'ayant était rénovée depuis longtemps, à la tapisserie bleu, décrépie et ronger par toute les petites bêtes rampante peuplant la vielle bâtisse. Se trouvait une jeune adolescente qui observer par la fenêtre de sa classe ennuyeuse, la cours de cette école ainsi que la petite ville qui s'étendait devant elle. Elle se trouvait en milieu de classe, installer du côté fenêtre, ayant personne à ses côtés, place habituelle pour elle, lui permettant de rêvassait. N'étant pas préoccupée par son cour de mathématique, les yeux orangé de la jeune étudiante étaient tournée vers l'extérieur, dont l'allure automnale donné un aspect ravissant à cet  aspect urbain se voulant moderne. Elle appréciait l'humidité que renvoyer cette vitre et le spectacle des feuilles dansant par le léger vent d'hivers qui souffler au dehors. Dans sa tête se jouer la musique « His theme » provenant du jeu Undertale créée par Tobyfox qu'elle aimés tout particulièrement, étant une grande fan de jeux vidéo. La jeune fille tourna sa tête vers l'intérieur de la salle, où se dérouler son cours de math qui ne l'intéressait guère.

Le pauvre professeur M.Angas avait bien du mal à faire respecter, l'ordre, la discipline et le silence dans cette classe désordonnée et irrespectueuse. Ce monsieur de 55 ans passé, n'avait pas une carrure très imposante, faisant 1m72, étant très fin et avec une calvitie déjà bien avancer. Ses cheveux restant était à moitié noir, à moitié gris poivré, voir blanc pour la plus part. Ses grosses lunettes ronde n'aider pas dans la caricature de se personnage et ses rides à n'en plus compter, montrer clairement le stress accumulé durant toute ses années. Le vieux professeur portait une chemise blanche à carreaux rouge, taché sur le poitrail gauche d'anciennes tâches de vin, dont il en était amateur. Il portait aussi un pantalon noir en velours tenus par des bretelles de la même couleur. Dévoilant son caractère, la petite particularité qu'il portait, été ses mocassins, offert par sa femme, qui de plus, était multicolore, ayant un design ressemblant à une peau de serpent. Ses chaussures étant accompagné en parure par ses chaussettes violette fluo, qui était visible grâce à son pantalon trop court pour le cacher. Ce qui n'aidait pas de nos jours à se faire respecter par les autres, surtout quand il y a des adolescent sans cervelles devant vous.

Ses yeux, son cœur et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant