Chapitre 8

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La jeune fille avait toujours les yeux fermer, sa respiration se faisait lente. Elle était sereine et apaisée. Dans ses narines flotter toujours l'odeur de jacinthe. Pourtant plus aucun son se faisait entendre, pas même le petit bruit de l'eau, tout autour était calme. Un petit courant d'aire froid alla caresser le visage de la jeune femme. Il n'y avait plus cette sensation de flottement à la place, elle percevait un sol dur et froid. Et sur sa peau, elle sentait comme un tissue. Elle bougeât un peu, ses yeux clos se froncèrent montrant une certain frustration à cette enlèvement de confort et ce changement soudain. Elle se tourna se mettant sur le côté restant sur le flanc, puis elle finit par ouvrir les yeux, se réveillant. Elle vit d'abord trouble et flou, puis sa vue se faisait petit à petit, elle remarqua alors qu'elle se retrouva à nouveau dans cette espace sombre étant alors aux centres dans la lumière, elle se mit dans une position assise ses deux jambes en triangle sur le sol et une main posé sur ce dernier. Elle portait une grande chemise de nuit blanche, ses longs cheveux roux bouclé tombé dans son dos. Elle porta une main au niveau de son cœur et son visage afficha une mine inquiète. Elle regardait un peu partout autour d'elle, elle se doutait qu'il était tapis dans l'ombre. Elle sentait son regard pesant sans même le voir. Elle n'osait pas bougeait d'un pouce. Elle avait peur que cela fasse comme dans son dernier rêve. Elle mordilla l'intérieur de sa lèvre le stress recommençant à monter. Le manque de son ne faisait qu'aggraver ce sentiment de panique, qui prenait place petit à petit au fond d'elle. C'est la qu'elle sentit deux main glissé latéralement au niveau de ses côtes. Elle poussa un petit cris sous la panique et la surprise et se recroquevilla un peu, deux bras puissant l'enlacèrent et la tirèrent vers l'arrière. Son dos se heurta au torse de la personne étant derrière elle, il alla mettre son visage dans le creux du cou de la jeune fille et la huma discrètement. Elle l'entendit soupirer, elle le sentit près de son oreille. Il lui susurra à l'oreille de façons tendre et un peu blasés.

Herobrine : Détend toi ce n'est que moi..

Lucinda : comment veux tu que je me détende si à chaque fois tu m'emmène dans un endroit aussi stressant et angoissant..

Herobrine : Je pensais que tu aimer bien les lieux d'horreur..

Il dit cela d'une voix grave et un peu moqueuse. Lucinda tourna un peu sa tête sur le côté.

Lucinda : Pas quand je suis impliquée dedans.. je tiens pas t'en que ça à souffrir.. à moins que la personne me tue vite.. ce qui n'est pas forcément le cas..

Le seigneur noir fronça les sourcils et la tourna en la positionnant à cheval sur ses jambes et faisant en sort qu'elle soit un peu au dessus de lui, il lui prit ensuite le menton pour la faire regarder dans ses yeux.

Herobrine : Je t'interdit de dire ça ! Tu m'entend !

Lucinda : De dire quoi ?

Herobrine : que tu aimerais mourir plus vite !

Lucinda : Euh.. ça veut dire que je devrais dire que je préféré mourir lentement et souffrir ?

Herobrine : Lucinda ! Je ne veux pas t'entendre dire que tu souhaite mourir tout court !

La jeune fille resta muette sur le coup presque estomaqué ,elle tourna un peu sur le côté, Herobrine posa alors sa deuxième main sur le visage de la jeune fille. Son visage était proche de cette dernière. Lucinda avait le regard fuyant, elle ne savait plus où se mettre. Herobrine soupira et lâcha son visage, faisant un petit mouvement de recule. La demoiselle c'était mise à réfléchir.Ses pensée se multiplier créant un brouhaha sans nom dans sa tête. Elle s'écarta finalement de lui est se mise debout afin de prendre un peu d'aire. Le seigneur noir se leva à son tour, passant sa main sur son visage et soupirant. Un lourd silence ce fit entre eux, chacun regardait ailleurs, un sentiment de malaise prit Lucinda. Une question lui effleura l'esprit mais elle se retient et en posa une autre.

Ses yeux, son cœur et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant