« Partie 59 »

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Je me réveille, je m’étire et me tourne de façon à être face à aymen mais il n’est plus dans le lit, je me lève pour regarder partout mais rien … quand je tombe sur une feuille au sol, je la prends, c’est un mot : « Je suis parti dans notre chez nous, rejoins moi à la salle à 14h ! J’ai parlé à ma mère elle t’attend, va la voir quand tu te réveilles... »

Il est sérieux il est parti parler à sa mère ? Moi qui suis assez timide, lui c’est tout le contraire, il a aucune gêne. Je me lève, me prépare, prend mon petit déjeuner et je toque chez khalti qui habite seul vu qu’alya vit avec mon frère, lounès.

Khalti Fatiha : Salam Aleykoum

Moi : Aleykoum Salam

Khalti : Rentre ! Rentre 

On se pose au salon, elle ramène des gâteaux alors que je n’avais pas faim mais bon

Khalti : Alors quel est ton problème, mon fils m’a dit que tu as un blocage 

Moi : Oui … euh … bah je …

Khalti : *rire* calme toi … respire benthi 

Elle me caresse le dos, je respire un bon coup

Moi : Je … ce n’est pas facile à dire, c’est assez personnel 

Khalti : Si je peux t’aider, je le ferais, je ne vais pas te juger, tu peux parler 

Moi : Mmh … *je lui explique*

Khalti : Sa peut être de l’appréhension ou de la peur 

Moi : L’appréhension … j’y ai pensé mais c’est plus fort que ça, ce n’est pas dû au stresse

Khalti : A tu déjà été victime d’une agression violente ? On a déjà essayé de te … te prendre ta virginité ? 

Moi : *bouleversée* Je … oui … *baisse la tête*

Khalti : Ne baisse pas ta tête, reste fière ! Tu veux m’en parler ?

Moi : L’homme qui a voulu me tuer … souleymane … celui pour qui mn frère est en prison, il à essayer de prendre ma fierté plusieurs fois … mais il n’a jamais réussi … mais le pire ce n’était pas lui, je... j’en ai jamais parlé à personne 

Khalti : ….

Moi : Quand je vivais avec mon frère, et que à ce moment-là il était violent, arrogant … tout de mauvais … pour se venger un jour il a fait venir un homme d’une vingtaine d’année, il est rentré dans ma chambre, à commencer à se déshabiller, il était … il était tout nu devant moi … il a fermé la porte à clé, il s’est approcher de moi, il me bloquais les mains, mes jambes, il m’a ensuite attaché à mon lit pour ne pas que je bouge, je criais de peur, je tremblais, il m’a déshabiller de force, je ne pouvais lutter, il était en position de force et moi de faiblesse … il m’avais foutu toute nu devant lui, vraiment … je n’avais plus rien sur moi, il se rinçait l’œil, il me touchais de partout, mes larmes coulaient, mes cries redoublaient … jusqu’au moment où il allait vraiment faire ce qui m’aurais à jamais détruit, la porte est tombé au sol, naïs la prie par le cou, la sortie de ma chambre, ma tournée le dos et a fermé la porte me laissant sur le lit … ce jour-là a été le plus traumatisant de ma vie khalti … jamais je pourrais oublier ce jour, personne est au courant appart naïs, malgré le fait qu’il me tapais, ce jour-là il m’a sauvé des griffes de cette inconnu, je ne les jamais revu et j’espère ne jamais le revoir

Je ne pleurais pas, je fixais le sol tout en parlant, j’ai trop pleuré pour cette histoire et le fais d’en parler m’a comme délivré d’une souffrance 
Khalti me prend dans les bras en essayant t’en bien que mal de ma réconforter, elle m’a dit que mon blocage provenais surement de cette histoire, que cette homme à vue mon corps, à coller le sien au mien, m’a touché … elle m’a dit que c’est pour ça que mon corps ne veux pas qu’aymen aille plus loin, ma peur, ma frustration m’en empêche

Khalti : C’est à toi de faire en sorte que cette histoire ne prenne plus de place dans ta vie, c’est à toi d’essayer de construire ta vie en oubliant ce passé … aymen ni est pour rien, peut-être qui si tu lui en parle il pourra te rassurer et te mettre plus allaise avec ton corps, moi je peux te donner un conseille, regarde toi dans un miroir sans tes vêtements, tu accepteras ton corps plus facilement si tu le vois toi-même de la façon qu’il le verra … Naïssa tu dois te donner à ton mari, tu dois passer cette étape 

* Selon des hadiths, une femme n'a pas le droit de refuser de faire l'amour avec son mari quand il en a envie : « Quand un homme appelle sa femme pour satisfaire son désir, elle doit aller vers lui, même si elle est occupée aux fourneaux » « Si l'homme invite sa femme dans son lit et qu'elle refuse, et qu'il passe la nuit en colère contre elle, les anges la maudiront jusqu'au matin »

Moi : Je sais khalti … 

Je ne vous mets pas la conversation en détaille, c’est un sujet assez délicat que je ne préfère pas approfondir.

Une fois ma conversation avec khati terminé, je me sentais mieux de lui avoir tout dévoilé mais je ne sais pas si je pourrais lutter contre mon blocage, mon passé traumatisant

A 14h00 je rejoins aymen à sa salle de boxe, il ne me parle pas de ce qui s’est passé avec sa mère et j’apprécie, je vais me changer avec ma tenue plus décontracté pour combattre, on s’entraine jusqu'à 19h00 soit pendant 5 heures d’affilé, aymen est un coach déterminé, il veut absolument que je sois plus que prête 

*** DIRECTION PARIS, DIRECTION MA … NOTRE MAISON ***

On est dans MA voiture mais c’est aymen qui conduit, il n’aime pas être côté passagers et il n’aime surtout pas qu’une FILLE conduit. Je suis assise à côté de lui et derrière ce trouve walid, nassim et imèd qui a tenu à venir au cas où on aurait besoin d’un infirmier alors qu’il passe une épreuve pour être docteur dans une semaine. Lounès et alya doivent venir demain à cause du travail de mon frère, il a pris un jour de congés pour le combat, son patron le fais travailler plus tard aujourd’hui. 

Walid : Ma femme elle est stressée 

Il parle de moi, malgré que je sois marier avec aymen, walid continu de m’appeler comme ça, pour lui c’est normal mais aymen commence à en avoir marre vu les regards qu’il lui lance. Je me demande comment sa future femme réagira 

Nassim : Normal, elle retourne dans la maison de ses parents 

Walid était assis juste derrière moi, il passe une main sur mon épaule 

Walid : T’inquiète, on est la 

Moi : Oui je sais mais c’est dur de retourner là-bas

Aymen : Tu veux qu’on aille à l’hôtel ?

Moi : Non je veux y aller, je veux y retourner 

J’ai dit ça assez froidement, ils n’ont plus parlé jusqu'à arriver devant, devant cette maison, devant ma maison, j’ouvre la portière le cœur lourd, je les entends sortir mais aucun d’eux ne parlent, j’avance jusqu'à être sur le seuil de la porte, je clisse ma main au-dessus de la porte ou se trouve un tout petit trou que seul mon père et moi savions qu’il existais, c’est moi qui avais eu l’idée de cacher les clés ici, ce jour-là mon père m’avais dit : « Cette cachette reste entre nous, un jour elle te sera utile pour rentrer, si un jour tu te retrouves seul, tu ne seras jamais à la rue ». J’attrape les clés, je reste figée dessus un moment en repensant à cette scène puis je mets les clés dans la serrure, tourne et ouvre la porte doucement, comme si j’avais peur de ce que j’allais trouver derrière mais à ma grande surprise naïs n’avais rien changé depuis ce jour, ce jour où je me suis enfui, je me rappelle avoir laissé mon écharpe au sol et mon sac marron, tout était à sa place, depuis que je vivais seul avec frère je ne pouvais pas admirer ou changer la maison vu que je passais mon temps enfermé dans ma chambre ou dans la cuisine, je rentre suivit des autres, je regarde chaque parti de la maison et à chaque pièce je me remémore un moment passé en famille, mes yeux sont humide rien qu’à ces images mais mes larmes ne coulent plus, elles ont déjà trop coulés jusqu'à ce qu’un bruit sonore me coupe, comme si quelque chose venait de tomber au sol en mille morceau, je cours jusqu’au salon ou je voie walid et nassim et Imèd regardant le sol avec un regard troublant, j’avance vers eux, baisse mon regard et voix un cadre photo, le cadre que j’avais offert à ma mère, j’y avais mis une photo de nous quatre le jour de ses 42 ans, je m’agenouille au sol, prend la photo, la fixe et m’assoit sur le canapé ou se trouve un papier, je le prend et commence à lire « Certificat de décès » je lâche le papier sous le choc, je reste bouche bée et cette fois-ci mes larmes s’échappent devant cette preuve qui me rappelle que mes parents ne sont plus de ce monde … aymen accourt vers moi pour me prendre dans ses bras, les deux autres sortent, j’entends la porte se fermer.

Aymen : Chut, ne pleure pas … je sais que c’est dur moi aussi j’ai vécu la même chose avec mon père mais tu dois tenir le coup hbiba 

Moi : Ils … ils me manquent aymen … j’ai … j’ai besoin de … de les revoir … c’est dur … ma vie est dur depuis qu’ils sont partis … tout le monde me laisse 

Il me fait un bisou sur le front, sur la joue, sur le nez et enfin sur mes lèvres 

Aymen : Je suis-là, je ne te lâcherais pas, je resterais auprès de toi jusqu’à la fin 

Je lui fais un petit sourire en coin 

Moi : Tu es un homme en or Aymen B****

Aymen : Je sais, je sais *rire*

Moi : Trop prétentieux *rire* 

Il m’a pris dans ses bras, je les serré fort, je respirais son parfum, on n’est resté dans les bras l’un de l’autre pendant un bon moment, sans parler, juste sentir sa présence me faisais du bien. On fut interrompu par l’entrée des garçons accompagné de Mehdi 

Mehdi : Bienvenue chez toi 

Moi : Merci … Alors tout est prêt ?

Mehdi : J’ai appelé et envoyé des mails à tous nos contacts j’ai eu pratiquement que des « on sera là, on veut voir cette fameuse Naïssa, la femme du grand boxeur de Marseille » 

Moi : Un bon point pour moi 

Nassim : Faudra faire attention aux représailles après la mort de souleymane, hichem, karim n’ont plus donné signe de vie … qui dit qu’ils ne préparent pas quelque chose ?

Walid : A deux, ils ne peuvent rien et ils le savent très bien, ils se sentaient fort juste parce que souleymane était auprès d’eux 

Aymen : Qui te dit qu’ils ne sont pas incrustés ailleurs ? Gardez un œil ouvert 

Mehdi : J’ai prévenu tous les clients de naïs, tous ses boxeurs, si vous avez un problème, ils veulent bien vous aidez malgré que vous êtes un club concurrent, naïssa est la sœur de leur chef 

Aymen fait un signe de tête

Aymen : Quelques-uns de mes boxeurs seront là aussi

Moi : Vous n’avez pas l’impression d’en faire trop ? C’est qu’un combat entre elle et moi avec des spectateurs 

Ils m’ont regardés ou plutôt fixé et j’ai baissé la tête et ils ont continué de parler pour tout mettre en place pour demain 

*** JOUR DU COMBAT ***

Je me réveille la tête lourde, fatiguée, hier les gars ne m’ont pas laissés tranquille, ils m’ont forcés à m’entrainer jusqu'à 22h, ils m’ont dit « 9h00 de sommeil c’est suffisant », je me lève, prend ma douche et m’habille déjà en mode « boxe » plus un gilet. Cette nuit je n’ai pas dormit dans ma chambre, quand on est rentré j’ai failli tomber dans les vapes à cause de ce qui s’est passé, ce que j’ai raconté à khalti fatiha. Je descends, ils étaient tous en bas autour de la table en train de parler un café à la main, je leur fais un bisou à tous sur la jour même à aymen, je vais me faire un chocolat chaud et je les rejoins mais je reçois un appel de lounès 

Moi : Allo ?

Lounès : Princesse, tu vas bien ?

Moi : Oui je vais bien, vous êtes ou ?

Lounès : On arrive dans 1h30 

Moi : Rejoins nous à la salle de Naïs, on part dans 30 minutes nous 

Lounès : Ok passe-moi aymen s’il te plait 

Moi : Mmh 

Aymen : Ouais ?

Lounès : ….

Aymen se lève, va un peu plus loin pour parler, je bois mon chocolat dans le silence, je n’ai pas envie de parler et je dois vous avouer que je stresse pour le combat même si je ne le montre pas, c’est pour ne pas les inquiéter … je sais que ça ne va pas être facile.

Aymen revient 

Lui : Tes prête ?

Moi : Oui 

Lui : On y va 

On se lève, on range la table, je mets mes chaussures, prend mon sac de boxe et direction la salle.

Une fois arrivé, on descend de la voiture, je suis assez choqué par la taille de la salle, je ne suis jamais venu ici, mehdi ouvre la porte, dedans il y a des gars assez baraqué et quelques filles 

Mehdi se met entre eux et nous 

Mehdi : Elle s’est Naïssa la sœur de Naïs et eux vous les connaissez, vous avez déjà combattu contre eux 

Un gars : C’est ce fils de pute qui m’a niqué mon bras 

Nassim : Mdr ah ouais walid tu te rappelles comment je lui ai défoncé son bras ? Il avait crié comme une meuf 

Walid : Mdddr 

Le gars : Ne fais pas trop le malin 

Mehdi : STOP BRAHIM 

Une fille : Calme toi bébé, une fois le combat finit tu prendras ta revanche sur lui 

Nassim : « Aiiie Aiiie mon bras » 

Il fait semblant de parler comme une tapette pour imité le gars, ce qui m’a fait rigoler 

Aymen : NASSIM FERME TA GUEULE ! ON N’EST PAS LA POUR SA 

Brahim : Ecoute ton maître sal chien *rire*

Aymen : N’OUVRE PAS TROP TA BOUCHE TOI ! TU VA VOIR C’EST QUI LE CHIEN 

Aymen c’était avancer vers le fameux brahim qui a fermé sa gueule direct puis il revenu à côté de moi 

Mehdi : Dans 2h20 Sakina arrive et le combat commence dans 2h35 ! Naïssa je te laisse le bureau de ton frère, il a une salle collé ou il s’entraine si tu veux t’échauffer ou quoi 

Moi : Merci 

Je prends la main d’aymen et l’entraine avec moi ou mehdi m’a montré, c’était hyper grand il avait carrément une salle à lui tout seul avec une pièce ou ce trouve son bureau 

Moi : C’est plus grand que ta salle 

Aymen : Ouais il a coupé sa salle pour avoir une moitié à lui seul, il passe pratiquement sa vie ici à ce qu’on m’a dit 

Moi : Mmh 

Je me suis échauffer avec aymen jusqu'à ce que mon frère et alya arrive, elle me saute dessus

Alya : Tu m’as manquée *bisou*

Lounès : Bouge c’est ma sœur 

Il pousse Alya et me prend dans ses bras 

Alya : Ta race ! 

Elle me tire par le bras et tire la langue à lounès, on va se poser à l’écart

Alya : Faut que je te dise un truc 

Moi : Quoi ?

Alya : Je l’ai fait 

Moi : Fais quoi ?

Alya : Gogol ! Je me suis donnée à lounès 

Moi : Han ! *je la fixe dans parlé*

Alya : Mddr ferme ta bouche 

Moi : Ça c’est bien passé ?

Alya : Ouais enfin je ne sais pas vu que c’était la première fois mais il m’a dit que c’était bien *sourire* et toi alors ?

Moi : Eh bien moi euh … 

Mehdi : Sakina est là ! 

Je tourne ma tête vers lui

Mehdi : il te reste 15 minutes avant le combat 

Il ressort de la salle

Moi : Hbiba on parlera plus tard *sourire*

Alya : Pff sa t’arrange connasse 

Quinze minutes plus tard me voilà devant le ring avec tous ces gens autour de moi qui sont ici pour voir le combat « Je ne te décevrais pas naïs, je vais gagner et tu garderas ce qui t’appartient »

Je mettais déjà échauffer avant, avant de monter sur le ring, à ma droite se trouve lounès et à ma gauche aymen, je sautille sur place, impatiente de la rejoindre. Après la préparation mentale qu’ils m’ont fait : shadow-boxing léger en attendant l’appel pour monter sur le ring (avec ma veste pour éviter un refroidissement du corps).

Mehdi se trouve sur le ring à côté de Sakina, il regarde sa montre et me regarde en me fessant un signe de tête 

Moi : C’est le moment 

Mon frère lounès et mon mari aymen se tourne vers moi, lounès me sert dans ses bras et me chuchote « Bon courage princesse, concentre toi », il me dépose un baiser sur la joue et se place sur le côté avec les autres, aymen me sert à son tour dans ses bras mais cette fois ci je sens de la crainte venant de lui, il me sert beaucoup plus fort qu’à son habitude … 

Moi : Arrête de t’inquiéter pour moi, c’est qu’un combat, il ne va rien m’arriver 

Aymen : Fais attention, je sais que tu es prête mais ne te déconcentre surtout pas, c’est le pire, un moment d’égard et elle prend l’avantage 

Il prend mon visage entre ses mains, me regarde dans les yeux et dépose ses lèvres sur les miennes, un simple baiser vu qu’on était en public et on n’aime pas ce montrer …

Moi : Je t’aime 

Aymen : *rire* Moi aussi 

Je lui souris et je monte sur le ring, je me mets face à elle, mehdi se pose au milieu 

Mehdi : Vous êtes prêtes pour Trois Round ?

Moi : Oui

Sakina : Oui 

Mehdi : C’est parti Premier Round ! 

Il se décale, je me recule et sautille, elle s’avance, je n’arrive pas à la cerner, sa façon de bouger n’est pas anodine, c’est la même façon que celle de Souleymane l’hors de notre combat, elle a le sourire au lèvre, elle me nargue … je lui donne le premier coup qu’elle esquive, elle ne perd pas son temps, elle me donne le second coup que je n’arrive pas à esquiver, je le prend en pleine mâchoire, j’ai senti ma mâchoire se décomposer, du sang coulait, la vue du sang me fais tourner la tête … j’essaie d’essuyer avec mon gant mais elle ne me laisse pas le temps qu’elle vient droit sur moi, coup dans le ventre, coup de genoux, je lui rend du mieux que je peux mais je vois bien que ma force ne l’atteint pas comme ses coup m’atteigne … Elle continue … coup dans le nez, mon sang ne cesse de couler … ma tête tourne mais je n’abandonne pas, je ne perdrais pas quoi qu’il arrive, je reprends pied, j’analyse son mouvement, la bloque et lui envoie un gros coup dans le ventre, elle se recule, me regarde et revient à la charge sur moi, je tombe au sol, elle me regarde, je la regarde, je n’entends rien mais je vois du mouvement … elle est vraiment forte 

Un sifflement retenti 

Mehdi : Fin du premier Round 

Même pas cinq secondes après je vois apparaître devant moi aymen, il me soulève et m’assoit contre les cordes du ring 

Aymen : Je ne peux pas … je ne peux pas naïssa 

Moi : 

A Suivre ...

Naïssa - Quand mon propre frère devient mon pire ennemi -Correction-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant