Pressimiste

Première saint-Valentin avec un mec

Mardi 14 février, c'était bien aujourd'hui la saint-Valentin.
Le lycée était super bien décoré. Ils avaient mis des cœurs partout sur tout les murs.
   12 h 40, les cours étaient finis (la prof était malade askip, mais on sait tous qu'elle est avec le prof de chimie).
    13h32, quelqu'un sonna à ma porte de chez moi, j'ouvris et c'était cette merde d'Evan, je lui fis rentrer chez moi et il me dit :
"Bébé, oublis pas, on est ensemble donc on va continuer ce qu'on a arrêter, je t'ai toujours pas montré ma surprise.
-Tu forces, je t'aime pas, j'suis pas ta pute.
Si pour toi, on est en couple bah... toi et moi c'est finis ! "
Il me toucha la fesse droite, et essaya d'enlever mon bas, puis frotta son corps contre le mien...
Je le poussai et pris mes jambes pour courir aussi vite que je pus , puis je refermai la porte d'entrée.
Il est malade ce mec ! Si ça continue, je risquerai de porter plainte, il a vraiment besoin d'un psy.
   Puis ma porte sonna une dernière fois (j'espère que ce n'est pas Evan).
Et bien non... c'était Marcos vêtu d'habits élégants, il était grave mignon.
    Il débuta la conversation :
"Salut Lorie, j'espère que j'en ai pas fais trop...Sinon jolie ton pyjama Hello Ketty .
(Sa mère la honte)
-Euuuh merci..attend moi, je vais me changer. "
   Il avait un bouquet de roses, romantique ce gars.
    Une fois habillée, je sortie de ma chambre et je vis Marcos les yeux émerveillés.
Je portais une robe rouge, moulante, avec une veste noir.
Marcos était tout rouge en me voyant arriver, il me dit alors :
"Lorie...tu es magnifique
-Merci mais tu l'es encore plus, bref on n'y va. "
    Nous marchâmes, tout les deux, intimidés.
Arriver à l'endroit choisit par Marcos, nous nous arrêtâmes.
Imaginez l'endroit, des arbres floraux aux milles parfums, un pont majestueux recouvrant une rivière miroitée.
Les pétales de fleurs tombaient sur nous.
   Nos regards se croisaient , et mes lèvres immobiles et incapables de dire le moindre mot.
   Je glissai alors, et je tombai sur lui, et il s'était passé une chose tellement magique.... nos lèvres se touchèrent.
C'était un de mes plus beaux moments de ma vie, ses lèvres étaient douces et tendres à la fois.
   On se remit debout et il me sortit un petit papier et me lit ce qu'il avait écrit dessus :
"Sur tes pas gracieux, je gravirai le monde
Même si que la marche sera très longue
Je ferai le tour savant qu'elle est ronde
Pour moi rien est parfait quand tu pleures
Car si tu n'es pas bien avec moi, je meurs
Je te le promets, tu sera heureuse avec moi
Même qu'à l'avenir, c'est avec moi que tu te marieras ."
Puis sortie de sa poche un collier d'or ou il avait été inscrit le jour de notre première rencontre, et me le mis autour du cou.
Je lui sautai dans les bras et l'embrassai, j'avais presque les larmes aux yeux.
  On marchait, main dans la main, je lui faisais un sourire à chaque fois que nos regards se croisaient, j'étais heureuse.
   Ce mec est unique, et je voulais pas le perdre.
    Marcos avait les yeux marrons clairs, il était roux, blanc de peau avec des petites tâches de rousseurs, c'était un brésilien et algérien.
Et puis moi, je suis d'origine argentine.
    Je rentrai chez moi, m'installant sur mon lit.
Quelle journée féerique !
Manon l'a gâcha en moins d'une seconde.
Elle sauta sur mon ordinateur.
C'est toujours comme ça, quand je crois avoir une belle vie, la malchance vient me la pourrir.
Heureusement elle n'avait rien cassé.
J'avais reçu une photo...
Nan.....impossible.... ça ne peut pas être....oh merde...

À SUIVRE....