La baie, l'abeille, l'abbaye
L'un secte, l'autre libre mais qui est clair ?
L'orage et la mer bercent un instant l'ouvrière
La lumière sur les ailes est telle qu'elle en oublie les reines, les colonies
Le mouvement est léger, c'est leste, comme l'étoilement
Installé sur la berge, l'abbé aime à capturer l'infini
Empreintes d'impressions, évidement les toiles mentent.
A quoi bon peindre des vérités qu'on multiplie ?
Les butineuses l'ont convaincu d'une seule:Naturellement souverains et prolétaires à en perdre la tête
Et ne pas croire leur biologie serait stupide
Ou le / la bel(le) bête est erroné(e).
VOUS LISEZ
Peau & tics
PoetryMa peau & Cie, moi, mes tics et tout le tralala. Mon train-train aussi et puis l'Âme avec un grand Â. Tout le toin-toin poétique en somme, un genre de recueil. Me prétendant pas poétesse, les textes sont sans prétention. J'aime simplement essayer de...