chapitre 7

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Aileen Centiño 15 septembre 2018Madrid

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Aileen Centiño
15 septembre 2018
Madrid

Je rejoins Lucas et lui fait la bise avant de me poser face à lui de maître côté de l'îlot.

Lucas : t'as bien dormi ?

J'hoche furtivement la tête.

Moi : je...enfin, tu m'as toujours dis que la femme était quelque chose de vraiment important pour toi...que jamais tu n'oserais lui faire de mal. Erika m'a dit que tu trompais Amélia...beaucoup.

Lucas soupire et pose sa tasse de chocolats céréales.

Lucas : j'aimerais que tu ne t'en mêle pas Aileen, s'il te plais c'est assez délicat.

Moi : je comprend simplement tu ne me l'as pas répété qu'une fois.

Il hausse les épaules et je termine de déjeuner rapidement.

Lucas était parti avec l'équipe de France quelques jours jusque l'autre jour et j'étais seule avec Amélia.

M'enfin seule est une grand mot, plusieurs garçons ont défilé le temps d'une nuit et je suis particulièrement gênée d'être dans cette situation.

Que se passe t'il entre ces deux là ?

Lucas me fait un bisous sur le front et quelqu'un frappe à la porte.

Lucas va ouvrir et semble s'engueuler avec quelqu'un.
Je m'approche et Lucas est poussé en arrière.

On me saute dessus.
Je tombe à terre.

Aileen Centiño
?
?

Je me réveille avec un mal de tête atroce.

- bonjour madame, comment vous sentez vous ?

Laissez moi ouvrir les yeux peut être non ?

Moi : qu'est ce que je fais encore la ?

- Vous avez été agressée, vous avez également perdu votre bébé.

Perdu mon ?

Moi : je n'étais pas enceinte vous vous trompez de chambre.

- vous attendiez un bébé depuis un mois et demi.

Putain, je n'étais jamais consentante, j'ai failli avoir un bébé avec ce monstre, je m'en veux de penser ça mais il est probablement mieux là où il est que d'avoir des parents comme nous.

Mais je pleure, il ne méritait pas ça putain.

Faut que je tue Nao Dengutten.

La porte s'ouvre doucement et Lucas et son fils font leurs entrées.

Moi : j'avais un bébé en moi.

Lucas : on me la dit.

Moi : je veux tuer Nao, tu m'aiderais ?

Lucas : t'es sous morphine tu dis n'importe quoi Aily.

Je secoue la tête.

Moi : je sais très bien ce que je dis Lucas, il me brise la vie à petit feu. Il me la gâche, il a tué mon enfant et bientôt ce sera moi MAIS je le tuerai avant.

Lucas : ne dis pas ça.

Moi : De toute manière avec ou sans toi je ferais de mon mieux.

Lucas : Aily tu vas pas foutre ta vie en l'air à cause de ce vieux type ? C'est tout ce qu'il cherche !

Moi : Ma vie est déjà partie en l'air. Je n'ai plus rien à perdre Lucas.


Yooooo petit chapitre vraiment bizarre et différent mais j'espère qu'il vous plait !

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𝚂𝚞𝚙𝚎𝚛𝚖𝚊𝚛𝚌𝚑𝚎 - Lucas Hernández Où les histoires vivent. Découvrez maintenant