Première heure

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La nuit du mercredi 31 octobre c'était halloween, l'une des épopés les plus effrayante à Liones. Dès le crépuscule, chaque moineau et proie dans la ville devait dépendre de s'abriter impérativement avant l'arrivée d'un clan assoiffé de sang "le clan des vampires". Ils aspirent tout ce qui bouge et peut abreuver dans une période non durée le pourpre dans la chair de l'être. Positivement, l'alerte à Liones, Camelot et encore d'autres bourgs à proximité ont assuré le déclenchement du début de la soirée la plus blessante et cuisante. Par égard, il n'y avait que d'autres sécurités, trois vampires ont été repéré comme dangereux dans une classe supérieur aux autres immortelles, on les appelait "les frères vampires" et cette bande se précipitera et se bousculera dès la tomber du soleil ou cacher dans les ombres du jour en attardant pour vous dévorer et déguster...

C'était alors le commencement d'une autre vie, car celui d'halloween-ci sera la plus sanglante de l'histoire.

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Depuis l'affolement dans toute la cité, aucune âme allait étudié à mon université et aucun corps airé dans les environs, tous planquer par la frayeur ou la peur. Je vais vous raconter cette nuit mais tout d'abord je vais vous expliquer tout depuis le début...

Première heure du mercredi 31 2018 : 8 h 30 de Liones à 11 km de Camelot avant la mort d'un étudiant dans la rue du chemin vers l'université.

Je ferma l'entrée de mon appartement que j'avais toujours du mal à abaisser, j'entendais le bruit bizarre
d'une des lampes du bâtiments s'éteindre et se rallumer. J'avais un sac dans mon autre main puis je claqua à nouveau celle-ci qui se verrouilla sans soucis, je me précipita à appuyer sur le bouton de l'ascenseur qui se trouvait tout au bout de l'allée. J'entendis une porte s'ouvrir doucement et grinçant, me faisant obliger de tourner la tête vers le bruit : une ombre plus grande que moi s'avança lentement dans ma direction, je sursauta sur la lumière du bâtiment qui sautait de va et vient sans arrêt me faisant apercevoir enfin un étudiant de la même uniforme que mon lycée :

-Bonjour ne fait pas attention aux lumières, le réparateur va gérer ça.

-Euh oui, je me disais bien quand allait-il le réparer.

Après ça on est resté muet, quand l'ascenseur fut arrivé, il nous a fait descendre au dernier étage de l'immeuble.

-Tu es dans la même université que moi ? Il a commencé la conversation quand on a dû attendre qu'il nous descende. J'ai répondu juste après qu'il m'est demandé mon nom. Comment t'appelles-tu ?

-Elizabeth. Il a réfléchit un moment mais il me semble ne l'avoir encore jamais vu. Et vous ? Ai-je demandé brièvement.

-Ban, enchanté Princesse.

Oui beaucoup de gens m'appelait princesse même si j'avais quitter le château pour vivre ma propre vie dans mon appartement après avoir eut une dispute avec mon beau-père...eh...bon enfin...

-Vous n'êtes pas obliger. Je suis devenu nerveuse.

-Ne vous en faites pas.

Cling on était arrivé au dernier étage, je suis sorti la première et la lumière de l'accueil était fermé dont aucune trace de l'extérieur.

-C'est bizarre, il y a personne.

Le garçon aux cheveux blanc/bleus avec les mains dans les poches traversa le couloir sans âme.

-La sortie est par là, si personne est ici c'est parce que ce soir c'est halloween, rappelle-toi.

Et il disparut, qu'il était étrange à laisser une jeune demoiselle seule dans le noir, j'aperçut le distributeur et enfonça impérablement une pièce pour qu'elle me donne ma boisson de couleur rouge.

-Rouge...La couleur du sang...Une voix a parlé faisant écho dans le bâtiment. J'ai fait tombé la bouteille sans faire exprès en dessous du distributeur, je m'agenouilla pour la rattraper mais une main sortie de nulle part attrapa mes deux pieds en arrière. J'ai eut le temps de prendre ma bouteille et je me retourna lorsqu'un rire attaqua mes tympans, la frousse de ma vie :

-Ha ha ha ! Tu as eu peur ! Avoue !

-Diane, ne refait plus ça. Elle me tend là main et je prend pour qu'elle me soulève. Tu es en retard Elizabeth, de plus je te cherchai partout et tu n'étais nulle part.

-Désolé.

On est sorti directement et lorsqu'on était dehors, le jour n'était pas à notre merci, des nuages recouvraient le ciel bleu et c'était de la pluie, une avalanche se préparait à vue d'oeil, je pris un parapluie dans le panier devant l'entrée et nous deux avons fait la route jusqu'au lycée rencontrant enfin des nôtre passaient par là.

Au chemin tout au loin d'une rue étroite et minuscule, à ma gauche je vis une silhouette d'un homme restait là bas sans bouger, je resta un moment pour essayer de le dévisager mais le noir ne se souciait pas.

-On y va Elizabeth.

-Oui.

"Première victime tué"

Deuxième heure du mercredi 31 octobre 2018 : 12 h 30 de Liones à 11 km de Camelot avant la mort d'une étudiante.

Ce matin, on avait fait l'appel et il manquait beaucoup de gens. Dès que la sonnerie retentisse, notre groupe amie avont passé la moitié de l'après midis à la cafétéria, à priori la première personne que je cherchais était le jeune grand et garçon de ce matin. En tout genre quand on s'est posé pour manger, j'avais demandé à mes amis s'il le connaissait et Ellaine était la première à haleter me faisant raconter que celui que j'avais rencontrer était son amant.

-Ban ? A commencé King lorsqu'Ellaine fut prise en alerte : Il m'a dit qu'il allait venir aujourd'hui !

-Et il n'est pas venu. Diane bafouille dans ses cheveux, elle adore trifouiller sa mèche pour la mettre sur sa bouche, l'air nerveuse du regard qu'a lancé le roi des fées à l'instant.

-C'est bizarre qu'il ne soit pas venu, il a dit qu'il allait voir ma sœur et faire la route avec elle puisque Diane et moi sortons un peu ce soir.

-Diane, tu m'avais pas dit ça.

-Non pas encore, je comptais te le dire.

Après avoir mangé, on est tenu un moment à discuter dans ce restaurant lorsqu'Ellaine se leva du divan en direction des toilettes.

-Tes sûr qu'elle va bien ? Capitula la princesse remarquant que la sœur de King était toute pâle comme un linge.

Je tarde pas trop pour aller la voir après quelques minutes qu'elle n'était pas revenu. J'ai ouvert la porte des toilettes des filles et personne était devant le robinet à s'observer dans la glasse, j'ai plutôt entendu quelqu'un pleurer et j'ai toqué à cette porte d'où je croyais que c'était elle.

-Ellaine ? Elle ne répondit pas. Ellaine ?

Par unique hasard, la lumière des toilettes s'éteind juste devant moi, j'essayais d'allumer sur l'interrupteur mais rien ne fonctionnait.

-Il ne faut jamais rester seule dans le noir...

Le DÉSIR D'un VAMPIRE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant