Le DÉSIR D'un VAMPIRE

Troisième heures

La nuit du mercredi 31 octobre c'était halloween, l'une des épopés les plus effrayante à Liones. Dès le crépuscule, chaque moineau et proie dans la ville devait dépendre de s'abriter impérativement avant l'arrivée d'un clan assoiffé de sang "le clan des vampires". Ils aspirent tout ce qui bouge et peut abreuver dans une période non durée le pourpre dans la chair de l'être. Positivement, l'alerte à Liones, Camelot et encore d'autres bourgs à proximité ont assuré le déclenchement du début de la soirée la plus blessante et cuisante. Par égard, il n'y avait que d'autres sécurités, trois vampires ont été repéré comme dangereux dans une classe supérieur aux autres immortelles, on les appelait "les frères vampires" et cette bande se précipitera et se bousculera dès la tomber du soleil ou cacher dans les ombres du jour en attardant pour vous dévorer et déguster...

C'était alors le commencement d'une autre vie, car celui d'halloween-ci sera la plus sanglante de l'histoire...

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-Ellaine...

-De quoi Ellaine, elle va pas bien ?

-Nan...

-Alors...? Qu'est-ce qu'elle a ?

-King qui s'occupait d'elle, préparait juste le repas.

-Et...

-Quand il ramena le plat, il a trouvé Ellaine dans le lit.

-Et quoi..?

-Elle était...

-Quoi..?

-Elle était morte...

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-Quoi mais qu'est-ce que tu racontes Diane, Ellaine ne peut pas être...

-Dépêche toi, je m'impatiente.

-Diane, on doit pas rester ici, allons-nous en ! King la ramènera à l'arbre des fées pour essayer de...

-ELLE EST MORTE JE TE DIS ! Diane secoua la belle argentée.

-Nous devons pas rester là.

-ELIZABETH...nous devons aller la voir !

-Non c'est trop dangereux. Rentre chez toi.

-Mais Elizabeth !

-Trop tard il est l'heure, on doit tout boucler chez nous !

Diane s'avance doucement de celle devant elle et lui prend les deux mains, encore les larmes aux yeux elle se força avec pitié telle un chien battu : je t'en pris, je pourrais rester chez toi ce soir. Elizabeth fixa Diane d'une allure déplaisante.

-Bien sûr. A t-elle répondu avec un sourire forcé. Alors rentrons vite avant que le crépuscule se lève.

Le crépuscule venait que lorsque l'alarme retentissait, elle commençait déjà à 19h30 et dès que tout le monde fut obligés de boucler chez eux, fenêtres et portes. Les âmes des personnes n'y pénètre la nuit.

Dès qu'on est rentré, mes larmes ont pu se sécher en route, pendant que Diane préparait à manger même si elle n avait pas le courage d'après ce qu'on avait appris à la mort de la fée. Pendant ce temps, moi je me lavais tranquillement en prenant un bain moussant tout en me détendre dans la pièce dont je m'occupais : après tout ce qui c est passée, pourquoi ne ressens-je pas un chagrin monstrueux ? Ni l'envie de détruire ? Bizarrement, je me déshabilla et pénétra dans l'eau, ma tête sur la mousse, je sentis alors une étrange sensation : je me mis debout dans le bain pour remarquer qu'une silhouette noire était dans la pièce. Ma respiration a augmenté de plus en plus et mon cœur fit un bon mais cette chose, je la ressentais :

-J'aurais aimer pénétrer et venir directement à toi, la voix a parlé alors que l'argenté grouillait à prendre sa serviette et à se l'entourer sur elle. Je vois que tu ne dis rien, tu ne ressens rien c'est ça, tu es la seule fille qui n'a pas peur de moi, tu es incroyable...

-Taisez-vous ! Délivra t-elle les rideaux et plus personne se tenait devant elle, elle était paniquée lorsque la voix continua de parler dans son esprit :

-Tiens toi à ce que je te rende visite ce-soir.

-Quoi ?

La porte s'ouvrit violemment, elle sursauta : c'était Diane, elle entra dans la salle de bain pour la rencontrer en serviette : 

-Est-ce que ça va ? A t-elle demandée, je t'ai entendu crié, je croyais qu'il t'était arrivé quelques choses ?

-Non c'est rien, c'est juste que j'ai eu peur de quelques choses.

À ces mots-là, je ne pouvais pas savoir ce qu'il disait été vrai et puis je me demandais s'il existait vraiment ou s'il était mon simple imagination.

Et puis nous sommes partis manger quelques choses, puis couché, chacun dans un lit. On pouvait pas dormir, je restais éveiller à fixer les plafond, mais c'est bizarre, je ressens plusieurs silhouettes qui s'approchaient lentement de la maison.

Mon corps s'est assis légèrement sur mon lit, j'ai eu froid tout à coup, non c'était le vent, la fenêtre était ouverte et quelqu'un se tenait à travers les rideaux. Je ne comprend pas, mon visage se tourne vers lui : il avait un regard glacial, c'est tout ce que je pouvais décrire dans ses yeux, ils étaient si noirs et froid que je l'aperçu s'avancer doucement de moi, entendant ses pas claquer sur le carrelage.

Il arrive...Mais qu'est-ce qu'il me veut ?

Chaque secondes passaient et lorsque l'horloge s'arrêta, son regard était près du mien et sans que je me rende compte de ce qu'il faisait : il me fit un énorme baiser sur la nuque tout en me serrant sur l'épaule afin que je sois bloquait contre lui.

Tout en léchant la partie, ses yeux avaient changé de couleur, ils étaient devenues rouge sang.

Et en explorant ma peau, il commença à enlever le nœud de mon pyjama afin de poursuivre ses baisers tout au loin en approfondie :

-Tu as une odeur délicieuse...Et si je te goûtais pour voir qu'elle parfum tu dégages en toi...