🥀"Je crois que je t'aime"🥀
Précédemment:
La meuf: Tu sais quoi ?! Je vais faire quelque chose que je ne vais sûrement pas regretter.
Et là je la vois avec un pistolet pointé sur moi, prête à tirer.
Et là on entend: .......
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Et là on entend Zakaria nous dire.Zakaria: JUAN NOUS A INFORMÉ QUE LES FLICS ARRIVAIENT !
La meuf: Oh nan c'est pas possible ! AU MOMENT OÙ ÇA COMMENÇAIT À DEVENIR INTÉRESSANT ! COMMENT ILS ONT FAIT POUR LA RETROUVER ?!
Elle enlève l'arme qu'elle a sur moi.
L'autre mec: Faut se barrer et vite !
La meuf: Prenez la voiture, faut que je fasse un truc avant.
Ils partent et nous nous retrouvons tous les trois.
La meuf: Donc tu n'aime pas Idriss ?
Moi: NAN JE T'AI DÉJÀ DIT QUE J'AIMAIS QUELQU'UN D'AUTRE !
La meuf: PROUVE-LE !
Moi: Détache-moi pour que je prenne mon téléphone.
La meuf: AH MAIS C'EST GRÂCE À LA GÉOLOCALISATION ! SOMBRE CONNE C'EST À CAUSE DE TOI !
Et là je la voit prendre le poing américain et s'approcher de moi.
Idriss: NAN FAIS PAS ÇA !
La meuf: POURQUOI TU LA DÉFEND ?!
Et hop un coup de poing dans la bouche pour Bibi.
Je commence à saigner là.Moi: Écoute, si tu me détache, je te jure que je vais te montrer la personne que j'aime.
La meuf: Très bien. Alors allons-y !
Elle me détache.
Et je lui saute dessus. On se bat pendant un bout de temps mais elle finit par gagner vu qu'elle a un poing américain. J'en pouvais plus. Elle en profite pour prendre mon téléphone et me rattacher.
La meuf: Alors comme ça t'a voulu me rouler !
Moi: N...N...NAN...
La meuf: À moi de te faire subir quelque chose.
Elle se rapproche de moi avec son poing américain.
Et elle commence à m'abattre tellement fort que au bout d'un moment, je ne sens plus rien.Idriss: LÂCHE-LA ESPÈCE DE GRANDE MALADE !
Elle ne s'arrêtait pas jusqu'à ce que Zakaria revienne.
Zakaria: LES FLICS VONT BIENTÔT ARRIVER ! DÉPÊCHE !
La meuf: *rire de psychopathe*
Vous avez vraiment de la chance, mais sachez que j'en ai pas fini avec vous.Ils sortent de la pièce et on entend le moteur de leur voiture démarrer. Je suis soulagée.
Idriss et moi n'avions même plus la force de parler ni même d'ouvrir la bouche.
5 minutes plus tard, la police arrive et nous détache. Ils nous transportent d'urgence à l'hôpital. On est tous les deux dans le même camion. Et on s'endort.
On arrive à l'hôpital et on est prit d'urgence.
5h45:
Je me réveille enfin avec difficulté et avec plein de bandages. Je regarde autour de moi et voit Idriss dans le lit d'à côté en train de me fixer.