Chapitre 7

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Franchement j'ai beaucoup fais attendre pour la suite, je m'en veux  mais j'espère pouvoir poster plus souvent, sur ce bonne lectuure :)  -Xoxo

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《[-Amel: Dis le moi s'il te plaît, je n'arrive plus trop à me souvenir...]

Le visage de son ami affichait une inquiétude profonde.  <<

-Paul: J'ai eu tellement peur pour toi si tu savais.

Je savais que tu travailler au "Bistrot" et je connais cet endroit pour ces habitués perverd. J'ai vu beaucoup de serveuse démissionner au bout d'une semaine tout au plus... Mais toi,  tu as tenus plus d'un mois  Je venais une fois par semaine pour voir si tout ce passait bien, à chaque fois que je venais tu ne me remarquait pas maus passons. Je voyais bien qu'il t avait quelque chose qui te tracasser.

L'autre jour, je te suivais pour parler avec toi, quand j'ai vu ce type, dit-il avec dégoût.

Il avait un air malsain. Même de dos ca se voyait. Je l'ai vu commencé à te tripoter et ne supportant plus je l'ai frappé avec une barre métallique.  Quand il t'as relâché, tu t'es effondréeffondrés dans mes bras. J'ai penser à appeller la police mais j'était vraiment stressé par ton état.

J'ai donc appeller les urgence et ta mère en oubliant complètement le gars.

C'est de ma faute, j'aurai dû te prévenir ou ensuite appeller la police pour qu'il se fasse arrêter.  C'est de ma faute.

Je suis vraiment, vraiment désolé.

-Amel: ... (elle réfléchissait à tout ce qu'il venait de dire et n'en revenait pas de ce qu'il avait fait pour elle! Que devait-elle lui dire? Finalement elle lui dis):  Merci,  merci beaucoup d'avoir pris soin de moi pendant tout ce temps. Je ne sais pas ce que je serai devenue sans toi. Je ne pourrait jamais rembourser ma dette envers toi.

-Paul: Ne t'inquiète pas pour ça, dit-il avec un petit sourire.

-Amel: Les amis sont au courants que je suis ici, ou de ce qui m'est arrivée?

-Paul: Non j'ai préféré le gardé pour moi. Je me suis dit que tu n'avais pas forcément envie que tout le monde sache que tu as faillis te faire violer...

-Amel: Merci, je ne sais comment te remercier, lui répondit-elle les larmes aux yeux. >>

Paul se pencha vers elle, prit délicatement son visage en coupe avec ses grandes mains et déposa un doux baiser sur les lèvres d'Amel. La jeune hospitalisée, interloquée l'interrogeait du regard.

<< -Paul: Ta dette est remboursée. >>

Vie d'AmelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant