Love and Down

VII

 Avant de se rendre dans son salon de coiffure, Jade s'était rendu en bus chez sa sœur Rosie. En marchant dans ce quartier chic et huppé, un sentiment de jalousie l'avait prise. Cette sœur dont le destin était si différent de la sienne, cette sœur si pauvre devenue riche, cette sœur ayant un enfant si brillant. Jade, sentant le sentiment de jalousie, montait en elle s'était rassuré en repensant à la bonne nouvelle que lui avait annonçait Lya. Elle l'avait compris, elle aller dés à présent compter sur Lya, pour s'élever socialement et devenir aussi riche que Rosie. Arrivée devant la clôture blanche de l'immense maison de sa sœur. Elle avait vu au loin Allan, le richissime mari de sa sœur montait dans sa poche noire et s'en aller.

Avant d'entrer Jade avait sortit son petit blush rose de son faux sac Gucci et en avait mis à l'aveugle sur ses joues. En sonnant, une des domestiques était venue lui ouvrir. Rosie l'attendait assise sur un des somptueux canapés en cuir blanc nacré du salon. Jade l'avait rejoint et lui avait fait la bise..

- Je ne t'attendais pas aussi tôt le matin. Tu vas bien ? Dit Rosie dans un ensemble vert corail, elle avait à son cou des pierres précieuse qui lui allait à merveille.

- Oui, et toi ça va ? Dit -elle en s'ayant près d'elle.

- Depuis que Marina est devenue avocat, je ne peux pas être plus fière de ma fille et elle fricote avec un riche avocat en ce moment. On dit que sa famille possède le plus grand cabinet d'avocats de la ville. Et toi ça va ?

- Oui , ça va. La petite routine et j'ai appris une excellente nouvelle vis-à-vis de Lya fit Jade. Je t'en parlerai le moment venu.

Rosie l'avait dévisageait.

- En voilà, une surprise. J'ai toujours eu de la compassion pour cette enfant voué à être une mois que...

- N'en dis pas plus la coupa Jade, très sèchement

- Je ne te savais pas si protectrice à son égard. Je pensais que tu partager la même opinion que moi.

Ça s'était pour gagner tes faveurs s'était mise à penser Jade.

- En fait si aujourd'hui, je viens te voir. C'est que je n'ai toujours pas reçu le virement que tu étais censé me faire. Le salon fait faillite et les huissiers menacent de tout me saisir et de venir chez moi.

- Je ne peux pas en ce moment, j'ai craqué pour une parure à 30 000 euros. Et Allan me permet de dépenser que 40 000 euros dans le mois.

Jade était abasourdi par les propos que sa sœur venait de lui tenir.

- ça fait un moment que je te demande cet argent. Ces 30 000 euros peuvent sauver mon salon et ma fille, mais toi, tu les dépenses dans un bijou fit Jade, folle de rage.

- Je fais ce que je veux de mon argent et personne ne t'a demander d'épouser un chômeur s'était énerver Rosie.

- Au lancement de sa société, ton mari était aussi pauvre que le mien, tâche de ne jamais l'oublier.

- Tu es jalouse de moi et ma famille. Je le sais, vous êtes voué à l'échec. Regarde seulement ma fille comparée à la tienne.

- Je vais te détruire toi et tout ce que tu as.

Perturbés par tout ces cris, Pablo, un domestique à la forte corpulence était venu voir ce qu'il se passait dans le salon.

- Tout va bien pour vous m'dame fit il d'un fort accent mexicain.

- Pablo, tu tombes bien. Jette la moi dehors. Et donne lui le journal du jour ?

- Me jeter, tu me prends pour un déché fit Jade en tentant de se jeter avec colère sur Rosie.

Pablo l'avait attrapé de justesse et l'avait fait sortir du salon. . Jade tremblante de rage s'était légèrement calmé. Pablo, l'avait relâché et avait à sortir de le poche arrière de son pantalon, un journal. Qu'il avait tendu à Jade. En le prenant dans ses mains aux ongles vernis de rose, elle n'avait pas de manquer de lire en gros titre " Marina Fourmer , une avocate au futur brillant" . Jade s'était mise à avoir un fou rire en déchirant le journal.

- Paie autant de magazines que tu voudras pour mettre ta fille, à la une. Sache que la mienne n'aura pas besoin d'utiliser de tel méthodes, son sucés parlera de lui-même avait-elle crier en direction du salon.

Elle savait qu'une exposition au musée du Kavali allait faire beaucoup plus de bruit, qu'une avocate à deux sous s'était, elle convaincu en sortant de la maison. Pablo avait rejoint Rosie, dans le salon.

- M'dame, je vous promets que moi ne pas dire que vous avez payé le magazine.

- La ferme, et hors de ma vue.

Le pauvre homme avait immédiatement obéi à son ordre et s'était en aller. Chargée de s'occuper du salon de coiffure , Sonia avait constater qu'aucun client n'avait son apparition de la journée . La jolie métisse derrière le comptoir de l'accueil en avait profité pour faire les comptes du mois dernier. Elle avait était déconcentrer lorsque Zack était entré dans le salon.

- Mon chou, qu'est ce que tu fais là ? Surprise de sa visite, elle avait remarqué la petite boite de chocolat cachée derrière son dos. Elle l'avait embrassé et rapidement saisit la boite aux chocolats.

- Tu es tellement impatiente fit il en la prenant par la taille et la soulevant. Dans ce doux et tendre moment. Il avait subitement repensé à la sensation qu'il avait eue en embrassant, Lya. Ce sentiment si intense et fort. Et avait repensé à l'expression qu'elle avait faite lorsqu'il avait brutalement poussé contre le muret.

- Chéri, qu'est ce que t'as ? Fit Sonia en le voyant si pensif

- Non, rien. La journée à était facile.

- Ennuyeuse. Je vais fermer plus tôt. Et il ne restera que toi et moi, enfermer fit elle en susurrant dans le creux de son oreille droite. Elle avait fermé la porte à clefs et baisser les volets avant de s'approcher et se déshabiller devant la personne qu'elle aime le plus au monde.

En entrant dans son immeuble, Jade, épuisée par la journée qu'elle venait de passer, avait sorti de la poche de son blouson rose, un trousseau de clefs. Dans le hall, d'entrée, elle s'était avançait et accroupit pour ouvrir sa boite aux lettres. Il y avait une enveloppe blanche provenant de la section des beaux-arts du musée Kavali. Elle était adressée au nom de Lya Halva.   

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Hello mes petites padiens et padiennes . A votre avis cette lettre elle va l'ouvrir ou pas, note jade ? Hésitez pas à commentez si l'histoire vous plaît .