Love and Down

III

 Lya était entée dans l'immense pièce, du plancher au plafond, tout était blanc. Au fond de la pièce, se trouvait trois hommes, la femme qui l'avait invité à entrer, c'était assise à leur côté. Ils avaient tous le visage marqué par des regards hautains et une froide expression. Loin d'être intimidé, Lya avait fait abstraction de son stress et s'était mise face à eux , dans une posture pleine d'assurance. 

- Bonjour, nous allons vous demander de vous présenter dans une première du parti du temps et de nous expliquer votre parcours dit un des hommes. Le quarantenaire aux cheveux gris avait utilisé un ton très dur.

- Bonjour, je m'appelle Lya Halva, j'ai vingt et un an et je pense que mes œuvres peuvent susciter une certaine ..

- Mais je vois sur votre cv, que vous n'avez jamais était dans une école d'art la coupa brutalement le quarantenaire.

- Si vous aviez eu la patience de m'écouter quelques secondes de plus, vous auriez su que je n'ai pas pu faire d'école d'art, car je n'en ai pas les moyens financiers pour le moment.

La cinquantenaire assit prés de l'homme avait esquisser un léger sourire.

- Vous osez insulter mes méthodes dit le quarantenaire très énervé, dans son chic costume gris tiré à quatre épingles.

- Je ne vous insulte pas monsieur, je constate seulement.

Lya était au fond d'elle très contente de le remettre à sa place, elle avait réussi à cacher le sourire qui s'était creuser au coin de son harmonieuse bouche, pour Lya un tel homme se permettant d'être aussi ingrat méritait une telle humiliation, peut être aurait - elle du agir de la même façons avec son abominable tante Rosie s'était elle mis à penser.

- Richards , voyant calme toi fit la cinquantenaire d'une voix douce et autoritaire

- Devant une telle insolence me calmer lui avait- il chuchotait, sans attirer l'attention des autres membres du jury .

- Bien, disposez vos toiles sur ces chevalets d'atelier, mademoiselle Halva, je vous pris fit un homme roux et barbu.

Lya s'était exécutée et avait sortit les quatre toiles de tailles moyennes de son sac noir. Elle les avait un à un disposez sur les chevalets en bois repeint de blanc. Lya s'était éloigné des peinture et regardait l'expression des jurys face à ses toiles . Ses toiles aux couleurs vives et estomper représentait des visages d'enfants sans traits avec des cheveux aux fils d'or, des immeubles sans toits enseveli sous l'océan et des forêts sans tronc dépourvu de leurs branches. À travers, ses peintures Lya voulaient leur montrer la technique dont elle était capable et la maîtrise des points de fuite et de la perspectives qu'elle maîtrisait à merveille. Les membres du jury ne laissaient aucune expressions traversaient leurs visages . Après quelques instants de silence, la cinquantenaire avait pris la parole.

- Je trouve vos toiles remarquable et il est certains vous avez beaucoup de talents sans même avoir était dans une école.

- Pour ma part, votre travail est fade et sans originalité apparente, vous ne réussirez jamais dans ce domaine, vous n'en avez pas les capacités fit Richard, accompagné d'un sourire narquois.

Lya avait serré ses poings. Était-ce une manière immature  de se venger de sa part ? Des mois de travail anéanti par un quarantenaire frustrés. La séduisante brune se résonnait intérieurement pour s'abstenir de se jetait sur lui. 

- En réalisant ses toiles, je pense que mon but ultime était de faire voyager et travailler l'imagination du spectateur face à mes œuvres se reprit Lya en mettant un point d'honneur à défendre ses peintures.

- Et vous avez lamentablement échoué fit le quarantenaire.

A ces mots , une pesante ambiance c'était fait sentir dans la salle. La haine se lisait dans son sombre regard, Lya était furieuse et le mitrailler des yeux.  Richard avait était un instant surpris de la rancœur qu'elle lui dégageait ouvertement et en public . Personne ne pouvait le nier dans la pièce,  une aura forte et intrigante se dégageait de la jeune femme.

- Je pense Monsieur, que c'est vous qui avait lamentablement échouer. Vous ne savez pas voir à travers la peinture et la comprendre. Un homme comme vous n'arrivera jamais à rien dans ce métier fit charismatiquement Lya , en rangeant, ses affaires.

Sans qu'il puisse répondre Richards outrés avait réajuster sa cravate , sous les yeux amusés de la cinquantenaire. Elle avait ensuite regarder Lya énerver s'en aller de la salle.