Chapitre 27: Détruite.

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Éllipse plus tard dans la soirée.
PDV Lauren.

-« Lolo? »

Je gigote dans tous les sens pour trouver la bonne position tandis que mes yeux restent fermés. Une main vient se poser dans ma nuque et commence des papouilles ce qui me fait frissonner.

-« Lolo? » Me redemande la voix de Camila.

-« Mh? » Grogné-je.

-« Tu peux me ramener chez moi? S'il te plaît? » Elle me demande tel une enfant.

-« Il est quel heure? » Demandé-je de ma voix fatiguée.

Elle se tait quelque instant pour sûrement regarder l'heure sur son téléphone.

-« Vingt heure douze. » Répond-t-elle simplement.

J'ouvre les yeux sur son tendre visage, elle a les joues rouges, les yeux qui pétillent alors que son léger sourire crée le miens.
Elle est assise sur le canapé, rhabiller et vient caresser mes cheveux.
Sa main descend jusqu'à ma joue et je viens embrasser cette dernière.
J'attrape sa main et entrelace nos doigts ensembles.

-« Tu arrives à t'asseoir? » Je lui demande avant de rigoler avec elle.

-« Ça pique un peu mais ça va. » Répond-t-elle avec un sourire.

Je lève le haut de mon corps pour venir l'embrasser.
J'attrape doucement son visage entre mes mains puis embrasser fougueusement ses lèvres.
Elle place délicatement ses mains sur mes hanches tandis que mon cœur fait un grand bon dans ma poitrine.
Pendant notre long baiser je remonte ses mains jusqu'à mes côtés et elle semble s'adapter à ça.
Elle entour même mon corps et me fait basculé en arrière.
Je rigole entre ses lèvres et tombe avec elle sur le canapé.

-« Tu ne penses pas que ta mère va te crier dessus si tu ne rentres pas maintenant? »

-« Je m'en fiche... » Répond-t-elle entre mes lèvres alors que je rigole à nouveau.

Elle monte sur mes cuisses tandis que de mains viennent entouré mon cou.
Nos lèvres sont scellées ensemble et il nous est impossible de nous détacher.
Mes mains remontent et descendent sur son dos.
On se sépare à bout de souffle et Camila se précipite pour venir embrasser, mordiller et lécher ma mâchoire.
Je sens sa langue humide, se frayer un chemin jusqu'à mon cou.
Elle vient déposer ses lèvres sur mon cou alors que moi de mon côté, je deviens haletante.
Elle lèche par la suite mon cou pour ensuite me mordre ce qui me fait gémir.
Et pas un gémissement de douleur...
Mais un gémissement de plaisir.
Je suis surprise par mon comportement.
Jusqu'à présent, je ne supportais pas quand on m'embrasser dans le cou, mais grâce à Camila, j'ai l'impression que les barrières que j'avais mise se sont brisés.
Grâce à Camila.
Elle descend sur ma clavicule et relève la tête vers moi comme pour me demander du regard mon consentements.
J'hoche la tête ayant envie d'aller plus loin pour ce soir.
Je veux voir jusqu'où je peux tenir.
Elle m'aide à retirer mon pull qu'elle fait tomber par terre avant de reprendre sa tâche.
J'empoigne ses cheveux bouclés pour la regarder faire.
Elle embrasse mon sein gauche et s'arrête pour sourire.

-« Qu'est-ce qui te fait sourire? »

-« Mon suçon est resté. Ça veut dire que tu m'appartiens Lauren. » Finit-elle avant de venir mordre l'endroit où le suçons est positionné.

Je bascule la tête en arrière, mon excitation devient de plus en plus grande en moi. C'est si bon de ressentir cette sensation, surtout provoquer par Camila.
Je la regarde s'occuper de moi, elle a les yeux fermés tandis que sa bouche embrasse l'écart entre mes seins.
Je me sens plus détendu qu'avant, avant je ne lui aurais jamais laisser m'embrasser ainsi.
Mais là, j'adore cette sensation qui se déroule dans mon estomac.
Quelque chose de nouveau.
Quelque chose que je n'avais jamais ressenti au paravant.
Elle se redresse pour admirer ses œuvres d'arts avant de venir passer sa langue dessus, ce qui m'extirpe un gémissement, voir plusieurs.
Elle remonte sur ma clavicule et attrape la brettelle gauche de mon soutien-gorge avant de descendre doucement sur mon bras. Elle dépose par la suite ses lèvres sur mon épaule et elle descend doucement sur mon bras.
Je rigole légèrement à cause de ses lèvres qui me chatouille.
Elle enlève l'autre bretelle et m'observe longuement.

Call me Miss.JaureguiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant