Polyamour

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《Beaucoup ne comprenne pas. Il ne comprenne pas ce que je ressens. Oui, je suis amoureuse de deux hommes. Je les aimes autant l'un que l'autre et je ne pourrais jamais choisir. J'en regarde un dormir et j'ai l'impression de mourir de plaisir. Je regarde l'autre sourire et je me mets à revivre. Ils m'aiment aussi. Autant je ne sais pas. Mais ils m'aiment. Ils sont tous les deux tellement différents mais tellement similaires à la fois. Ce sont deux de mes plus profondes fiertés, de mes plus profondes sources de bonheur, de mes plus profondes raisons de vivre. Je ne me confie pas beaucoup à eux, je leur dit l'essentiel. Mais je sais tout au fond de moi que quoiqu'il se passe ils ne me lâcheront pas. Ils seront la. Ils riront avec moi. Ils pleureront avec moi. Ils souffriront avec moi. Ils vivront avec moi. Je pense parfois qu'un jour je les perdrai, que la mort me les prendra : c'est ma plus grande peur, ma plus grande source de souffrance. Je les aimes tellement si vous saviez. Et je pourrais écrire tellement de lignes sur eux ! Je crois que mon inspiration ne pourra jamais partir : ils sont mes muses à moi. Je n'ai même pas le moindre souvenir d'avoir passé une journée sans penser à eux, à eux deux. Je ne sais pas pourquoi je me suis autant attachée, mais ils sont ceux que j'ai de plus cher au monde. Est ce que ça vous ai deja arrivé de penser à ce que vous prendriez si votre maison brûlait ? Moi oui ; et la réponse est toujours la même : eux, j'irais les chercher eux... Parce que même si un jour je n'ai plus rien, je les aurais eux. Mais les gens ne comprennent pas. Ils ne comprennent pas mon attachement, mon amour, ma fascination pour ces deux merveilleux hommes. L'un est plus vieux que moi. L'autre est plus jeune. Mais je m'en fiche : ce sont les deux hommes de ma vie et je ne pense pas un jour pouvoir en aimer un autre autant que je les aime. Alors oui, je suis amoureuse de deux hommes, je suis amoureuse de mes deux frères et je serais capable de tout pour eux. De tout, sans aucune exception.》

Sourire à la vie c'est aussi narguer la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant