Partie 1

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Bonjour, bonsoir ! AoYume prête à vous apporter son aide !

Finalement, j'ai décidé d'avancer la sortie de l'Os car il me reste seulement une partie à écrire et je pense que je l'aurai largement terminée avant que je n'ai essoufflé toutes celles que j'ai déjà en réserve.

Les parties seront publiée régulièrement chaque jour et en tout, il y en a six !

Voilà, c'est un peu tout ce que j'avais à dire...

Je serais ravie d'avoir quelques commentaires cependant !

Je vous souhaite une bonne lecture !

( Concernant le média, j'avais trop envie de le mettre là ! Je tombe parfois sur des perles quand je me perds dans les méandres d'internet ! )

( Je mets le rappel une dernière fois : )

Rappel :

[T/P] : Ton prénom

[T/N] : Ton nom

[l/c] : longueur de cheveux

[c/c] : couleur de cheveux

[c/y] : couleur des yeux

______________________________________________________

Je poussais un bâillement à m'en décrocher la mâchoire tout en étirant consciencieusement mes bras vers le plafond de ma chambre dans le but de me réveiller un peu plus rapidement, ce qui n'eut comme effet que de me faire frissonner longuement tandis que le drap bleu de mon lit ne me recouvrait plus que la moitié du corps, laissant à loisir la fraîcheur de la pièce s'infiltrer à travers le tissus blanc de mon pyjama, uniquement composé d'un long tee-shirt et d'un mini-short. Posant un regard toujours aussi endormi et entouré de cernes à mon réveil juste à ma droite, posé sur la table de chevet à côté de mon lit, je poussais un grognement sourd en voyant l'heure qui s'y affichait avant de m'enfoncer à nouveau sous la couette, grelottante de froid pendant un instant, juste le temps que je reforme mon cocon pour me tenir chaud. Seulement, j'avais beau me tourner plusieurs fois, impossible de me rendormir, comme à chaque fois que je me réveillais en fait... Donc, vaincue par le sommeil qui ne voulait plus de moi, mais qui m'attendrait très probablement le soir, quand je rentrerai éreintée à mon appartement après cette journée de travail qui bien que légère était particulièrement éprouvante pour moi, je me décidais finalement à passer mes jambes hors de mon lit, frissonnant légèrement sous l'absence de chaleur, avant de compter silencieusement dans ma tête jusqu'à sauter presque instantanément dans la douche, balançant le drap qui alla se vautrer au sol, de l'autre côté de la couche.

Prendre une petite douche matinale ne me fit qu'un bien fou, relaxant mes muscles un par un tout en me réveillant toujours un peu plus et en me réchauffant. Cependant, le plus dur, ça allait être de sortir de la cabine encore inondée de buée afin d'affronter le sol et l'air froid du reste de la salle d'eau pour m'habiller. Alors, observant d'un oeil mauvais mes vêtements que j'avais, comme à mon habitude, posés sur une chaise de l'autre côté de la pièce en carrelages blancs, je grognais de mécontentement. Pourquoi donc faisais-je cela tous les jours ? Je n'arrêtais pas de me mettre dans des situations embêtantes et je n'arrangeais décidément rien puisque chaque jour se ressemblaient, avec les même conneries, bien évidemment...

Soupirant de lassitude, je pris mon courage à deux mains et sortais de mon espace chauffé pour attraper vivement une serviette que je me dépêchais d'utiliser afin de frictionner mon corps avant d'enfiler ma tenue de travail. Elle n'était pas forcément à mon goût, puisque me balader en costume noir avec chemise blanche et jupe s'arrêtant au milieu des cuisses, non merci, très peu pour moi... Mais, la directrice avait été très pointilleuse à ce sujet-là, tant que je n'étais pas directement sur le terrain, je n'avais aucunement le droit de m'habiller autrement. Faut dire qu'elle devait apprécier de voir tous ceux qui me tournaient autour à l'agence, ça devait être distrayant pour elle... Fort heureusement pour moi, mes collègues étaient en majorité des femmes bien trop occupées à s'occuper de leurs petites affaires pour observer les raisons de la dispersion de leurs congénères masculins et encore, il y avait le groupe de nuit et le groupe qui travaillait la journée, ce qui minimisait vachement le pourcentage de malchance à ce que j'en croise plus de deux dans la même journée. Certes, il arrivait parfois à mes collègues de me jeter des regards de compassion, car cela était très gênant à la longue, étant interrompue constamment dans mon travail, mais je devais faire avec et cela ne pouvait se passer autrement. Et puis, jamais je ne souhaiterai me retirer de cette agence, car j'avais trouvé ma voie et qu'elle me convenait parfaitement !

L'Agence d'Assistance aux Héros  [ Izuku x Female Reader ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant