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Le premier jour a était compliqué, tu ne lui adresser presque pas la parole. Pourtant il continuer d'être au petit soin pour toi, apportant tes médicaments, te donnant des habits propre mais rien de plus que des petits sourire.

Le troisième jour tu lui à adresser ton premier sourire ce qui lui as fait manquer un battement de cœur. Ton caractère a très vite repris le dessus et tu ne lui as même plus adressé un regard. Mais il s'en moquer et continuer ce qu'il faisait, rentrant vers 17h30 et te racontant une partit de sa journée en mangeant mais sans trop donner les détails.

La fin de la première semaine s'achève rapidement. Tu as réussi à l'apprécier. Anormal pour quelqu'un comme toi. Et surtout trop dangereux.

La seconde semaine tout était mieux, vous rigoliez ensemble, partagez des dialogues plus ou moins long. Il était gentil au final, peut-être même un peu trop.

Tout était trop beau. Il a fallu que tu gâche tout encore une fois.

Le sang coule de tes bras, les yeux mouiller, les membres tremblant et les jambes plier sur ton torse peu musclée. Crier n'arrangeras rien, pleurer et repenser au passé non plus. Un dernier cri se fait entendre avant que l'hôte de maison n'entre dans la salle de bain pour voir un jeune garçon à peine plus âgé au sol, le sang sur le sol et aillant trop honte pour capturer ses beau iris noire. « Qu'est-ce que t'as fait... » Avait-il dit en soufflant légèrement. Qu'as-tu fait au fond ? Tu n'avais jamais rien demandé, tu n'avais pas choisis cette vie et il l'avait compris.

-          « Ça pique ! »

Aucune réponse.

Seulement un regard énerver mais une lueur de tristesse pouvait se faire remarquer. Il rebaisse le regard vers les pansements qu'il a mit sur tes bras encore pourpres. Ses cheveux était vraiment beau, pas trop long ni trop court, sans doute doux. Son regard concentré sur tes plaies récemment faite lui donner air excitant. Sa langue peu visible sur sa lèvre supérieure, agenouillé devant toi. Une de ses mains finissait le dernier bandage tandis que l'autre attraper ta main peu tachée de sang pour la garder dans la sienne.

Sa tête se relève et ton regard plongea dans le sien. Comment faisait-il pour te rendre comme ça ?

-          « Je...désolé »

Il mordit son autre lèvre et garda son regard sur toi. Qu'est-ce qu'il pouvait être attirant comme ça mais le relever le regard était impossible sur toi. Sont auras dominante était trop intense pour toi. Son souffle s'échoua sur la peau de ton cou, il susurra près de ton oreille « Refais plus ça ». Il se décala et soudain son regard changea. Puis il se dirigea rapidement vers la porte de la chambre.

-          « Je ne veux pas te perdre »

Puis il ferma la porte derrière lui

b a t h r o o mOù les histoires vivent. Découvrez maintenant