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S'attacher c'est la pire des conneries, alors pourquoi tu l'as fait ?

T'attacher à Jungkook a sans doute était une grosse connerie mais tu l'as fait. Pourquoi ? Eh bien tout simplement parce que après un mois et demi de cohabitation tu es tombé amoureux de lui. Quelqu'un qui s'occupe de toi, t'aide dans tes galère, te réconforte quand tu pleures et te donne tout l'amour qu'il peut, comment ne pas tomber amoureux de lui. Qui plus es qui est beau. Mission que tu as d'ailleurs échouée vu que tu es tombé amoureux de Jungkook. Comment lui annoncer ?

- « Je t'aime »

Le bonheur était enfin la, il était présent pour toi, enfin. Comment se fait-il que tu en as arrivé la alors. TU sortais avec lui depuis plusieurs mois déjà, vous vous faisiez des bisous, câlins, il te chuchoté des mots doux au quelles tu rougis. Jamais il n'a essayé de toucher ton corps qu'il désiré. Il ne t'a jamais forcé à rien sauf à faire la cuisine.

Tu aurais pu tout lui donné, ce que tu as fait....

Tu t'en souviens n'est-ce pas ?

Le bruit d'une serrure, un grincement de porte, des bruits de pas et le bruit sourd de ton dos plaqué contre cette même porte. Tes mains s'activèrent dans les doux cheveux de ton amant alors que celui-ci prenait possession de ta bouche en te compressant entre la porte et son corps.

Il mordit ta lèvre inferieur et malaxa tes fesses, tu gémis sous le plaisir. Cela faisait si longtemps que tu voulais son touché sur ton corps. Trois mots sortit de tes lèvre entre quelques gémissement incontrôlé «l-le lit ». Il te donna son accord et te déposa doucement sur ce lit blanc.

Il se mit à califourchon sur toi et retira doucement sa cravate obligatoire pour son boulot et son veston puis il s'approcha de ton visage pour t'embrasser passionnément. Tu entouras son cou avec tes bras pour rapprocher son corps et déboutonner sa chemise précipitamment. Il fit pareil pour toi mais plus lentement, enlevant ton jean au passage tout en te dévorant du regard, tu te mordis les lèvres, un peu gêner par la situation et mis tes mains sur ton visage qui devenais rouge pourpre. Ton pantalon tomba au sol et il attrapa tes mains en te susurrant à quel point tu es magnifique avant de t'embrasser doucement. Tu nus pas le temps de répondre qu'il attrape tes poignets d'une main pour les positionnés au-dessus de ta tête.

- « Passons aux choses sérieuses maintenant »

Suite à sa phrase il mordit ton lobe et glissa son autre main sur ton torse retraçant tes fins abdos du bout des doigts. Puis il s'attaqua à tes tétons, ce qui te fit pousser un petit couinement. Il gémissait, te complimenté par rapport au son qui sortait de la barrière de tes lèvres. Il frotta son nez à ton cou te provoquant un petit rire. Essayant de détacher tes poignets tu gémissais encore plus, il céda finalement et se redressant pour t'embrasser sauvagement. Tu laissas tes doigts glisser le long de son torse dénudé et agrippai son pantalon pour lui enlever.

Vous étiez là, tous les deux seulement en caleçon, sur son lit, comme tu l'as toujours voulu. Cette pensée te fit inconsciemment sourire pendant votre baiser. Il coupa votre échange et te regardant attendant surement que tu t'exprimes sur ce que tu voulais faire. Te faire siens voilà ce que tu as demandé le sourire aux lèvres, te faire l'amour et il acceptât volontiers. Il enleva ton boxer avec ses dents ainsi que le siens et se plaça entre tes jambes. Pris d'une soudaine pulsion tu pris deux de tes doigts dans ta bouche pour les humidifier, mimant l'acte qui allait suivre avec ta bouche tout en le regardant intensément. Il restait là, entre tes jambes, à te regarder faire en se mordant la lèvre. Une fois bien humidifiés tu glissas ceux le long de ton corps, te provoquant d'innombrables frissons pus arriver à ton entre, tu le massas doucement avant d'en rentrer un. Tu gémis son prénom avant de rentrer le second et faire des mouvements de ciseaux en gémissant encore et encore son prénom, le prénom de l'homme que tu aimes.

Il sortit de ses pensées à ce moment là

- « T'imagine même pas à quel point j'ai envie de te faire hurler mon nom »

Tu le supplias de te prendre mais il te fit patienter encore un peu. Mais il retira tes doigts pour s'abaisser à ton entrée pour y passer sa langue. Tu trouver ça tellement bon mais surtout dégoutant mais malgré ton mécontentement il continua et tu te laissas submerger par le plaisir qu'il te procurer. Il y entra son muscle rosée et tu rejeter la tête en arrière.

- « Rien ne venant de toi n'est sale bébé »

Il finit de s'amuser pour se placer entre tes jambes, son membre devant ton entrée et te demander une dernière fois ton accord avant de rentrée. Tu avais mal, il atténua la douleur avec des bisous et te marquer mainte et mainte fois. La douleur disparue et tu lui donna un coup de bassin pour lui faire comprendre qu'il pouvait bouger, ce qu'il fit de suite après faisant de long va et vient.

La chambre était remplie de claquement de peau, de gémissement, de frottement de draps contre vos corps remplie d'excitation jusqu'à ce qu'il toucha ton point ensemble, ta prostate. Rejetant la tête en arrière tu crier son prénom, lui grogner le tiens. Il sortit et ré-entra aussi rapidement pour avoir un meilleur accès. Tu n'en pouvais plus alors tu te déversas entre vos deux torse et lui en toi. Il lécha ton membre de toute sa longueur avant de se retirer pour se coucher auprès de toi. Il te murmura des milliers de « je t'aime » te serrant le plus fort possible et t'embrassant parfois.

Puis vous vous endormies dans les bras de Morphée





























Ah oui ça pour l'aimer, tu l'aimais.

b a t h r o o mOù les histoires vivent. Découvrez maintenant