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Au mauvais moment, au mauvais endroit.

Il claqua la porte derrière lui sous l'énervement, aucun regard, son odeur disparaît doucement. Serrait il partit définitivement? T'aurait il abandonné ? Non pas lui, pas maintenant, pas comme ça, tu l'aimes mais tu le savais, tu n'avais pas le droit au bonheur.

Pourtant ce n'était pas de ta faute.

Marchant tranquillement dans le parc pour rentrée, il fait beau, le vent traverse tes cheveux , les frissons parcours ton corps. Il n'y a personne, étrange pour un aussi beau ciel azur. Tu es bientôt arriver à la maison, votre maison quand soudain ton dos te fais atrocement mal du au choc de l'arbre contre celui-ci. Tes poignets se retrouvent au dessus de ta tête, tenu par une main étrangère. Une autre parcourt ton corps.

- « On vas un peu s'amuser tout les deux »

Voilà comment ça a commencer, ton haut n'est plus sûr toi, ta ceinture le rejoint de près ainsi que ton pantalon. Ses lèvres sur les tiennes, tu avais envie de vomir tellement il te degouter. Tu avais beau crier personne ne venais. Tu aurais voulu que la personne qui occupe ton esprit constamment arrive pour t'aider mais non. Un premier coup arriva sur ton beau visage et t'ouvris la lèvre que l'inconnu lécha.
Tu étais en boxer, derrière un buisson, les cailloux taillant la peau de ton dos et lui embrassant chaque parcelle de ton corps. Tu crier à t'en déchirer les cordes vocal, tu pleures lui suppliant d'arrêter. Même après lui avoir dit que tu avais un copain il n'arrêta pas, au contraire il te redonna deux coups rendant ton visage rouge.

Ton boxer partit loin mais tu n'étais pas gener, simplement dégoûter. Pensser à Jungkook était une bonne solution mais jamais il n'aurais était autant violent avec toi. Jamais il ne lèverai la main que toi. La douleur te transperce. Il mord ta lèvre inférieur pour y entrer son muscle rosé, mais tu le mord, erreur, tu te prends encore plusieurs coups et des bleus apparaissent. Tu le vois enlever sa ceinture et c'est à ce moment là que tu te rappel ce qu'il avait dit, ce que l'homme de ta vie avait dit :
Si un jour ça t'arrive, ne te débat pas ça ferras moins mal.

Son rire à la fin de ça phrase résonna dans ton esprit mais soudain tu sentit quelque chose écarté tes chairs, te faisant hurler de douleur, te martyriser, te déchirer de l'intérieur. Mais tu ne bouges pas, regardant dans le vide, les larmes coulant et priant intérieurement pour que ce soit finie au plus vite. Malgré le dégoût que tu éprouve et la torture tu ne te donne même plsu la peine de hurler juste quelque gémissement de plainte. Comment éprouver du plaisir avec ça?

Il se vide enfin en toi et là c'est l'explosion tu hurle plus que tu ne l'as jamais fais. Il part en courant. Toi tu te sent sale, souillé, tu te dégoûtes, tu te déteste,  tu sents encore ses sales mains sur ton corps et tu en pleure d'avantage. Il t'as détruit de l'intérieur.










































Oui... tu t'es fais violé.

b a t h r o o mOù les histoires vivent. Découvrez maintenant