Josh

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Le bruit des voitures mêlé à celui des piétons réveilla Josh. Il était un homme de la rue, il errait dans tout New York à la recherche d'une profession.
Josh était celui que nous ne regardions pas, à qui nous ne prêtions pas attention, à qui le visage entre dans notre esprit mais en repart directement. Alors que lui, Josh, reconnaissait tous nos visages, est dans notre vie sans que nous n'en ayons connaissance. Ce dernier avait 33 ans, était grand et brun, il n'avait plus d'argent pour se faire de teinture, s'il avait l'argent, il aurait très probablement choisi une couleur verte, malheureusement pour lui ses long cheveux blonds ne lui plaisait guère .
Ses yeux étaient aussi verts que la pelouse d'un jardin. Ceux-ci regardèrent tout au tour d'eux à mesure que le corps de leur propriétaire se rasseyait, il aimerait aller en France, à Paris, où tout est prévu pour les plus démunis.
Ici, rien était prévu pour ceux là, ceux qu'on connaît sans connaître.

Le corps de l'homme se leva, pris son sac et se dirigea vers Manhattan. Il marchait le long de hauts immeubles de 86 étages et tournait à ce qui devait être une plage, désormais il y avait un grand mur qui empêchait la mer de recouvrir New-York.

Les personnes qui marchait le long des rues étaient peu nombreuses, la plupart étaient dans ces longues voitures, qui
se situait sur les routes(qui elles mêmes sont au sol ou par voie aérienne).

Une fois arrivé à Manhattan, il se dirigea vers une grand place au centre de cette île. Elle servait d'endroit pour placer un grand écran pour les informations. « la CFA a signer un accord de liaison avec l'AEN[...] nouvel attentat contre l'AEN par La CS en France... »

Josh alla s'asseoir sur un banc en lévitation grâce aux forces de répulsion de deux aimants contraires. Il observa le grand bâtiment de verre en face de lui. Il eu du mal à lire la phrase écrite sur le mur, même en plissant les yeux très fort, à cause de la forte pollution. Il y était écrit « Bâtiment de droit et de peine ». Ce bâtiment était en fait le plus grand d'Amérique pour juger les personnes.

Les personnes devant notre personnage rentraient et sortaient à tour de rôle des grandes voitures pour se diriger vers le centre commercial et faire leurs achats. Ils étaient tous accompagnés par des robots pour tenir leurs sacs.

Quatre ou cinq passants avaient donné assez d'argent à Josh pour qu'il puisse se payer un sandwichs aux vers, salades et Tomate. Ce n'était pas son met préféré mais ce n'était pas non plus ce qu'il détestait. Il croqua donc à pleines dents dans son sandwich et se dirigea voir Alex, un ami d'enfance qui habitait Brooklyn et qui avait bien fini, il était désormais directeur du centre d'information de New-York. C'est eux qui s'occupe de diffuser les infos.
Il parlèrent pendant plus de deux heures quand la pause déjeuné d'Alex pris fin.
Il se quittèrent donc avec de grandes embrassades.

Josh mis sa main dans sa poche et découvrit qu'il lui restait 5 dollars, il prit donc la décision d'aller se laver dans des douches publiques. Après s'être débarrassé de toute cette souillure, il décida d'aller s'asseoir.

Il était 19h00, il s'assoupit mais eu du mal à dormir, il rentra donc dans une station de métro et s'installa le long des rails.

Les trains étaient avait une allure élancée et était extrêmement rapide. Ils fonctionnaient également grâce aux forces de répulsion de deux aimants contraires. Josh aimait les regarder, ces machines à trois étages pour les plus lents et 1 seul pour les plus rapides. Les trains étaient accessibles grâce à des puces magnétiques que les personnes les plus riches se faisaient injecter pour une somme astronomique, pour la classe moyenne, ils avaient tout simplement une carte magnétique qu'ils devaient recharger tous les mois. Josh n'étant pas riche et ne pouvant pas se permettre de mettre 100 dollars tous les mois dans cette carte, il ne pouvait pas rentrer, d'autant plus que les trains étaient équipés de systèmes de détection de haut niveau et qui ne laissaient rentrer PERSONNE n'ayant pas sa carte. Les personnes essayant se retrouvaient coincées dans les pinces du détecteur qui envoyait un signal presque immédiat à la sécurité.

Il observa pendant de longues heures les allées et venues de ses longues machines puis décida de s'en aller, traînant des pieds il se dirigea vers son « coin de repos », s'assoupit et parvint à fermer les yeux après de longues minutes.

Est-ce la fin?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant