Bonsoir, aujourd'hui je reviens avec le septième chapitre de ma fanfiction !
J'espère que le précédent vous a plus!
J'ai pris du temps à écrire celui-ci, car j'étudie et que ça demande du temps et de l'énergie. Donc désolé du retard!Désolé aussi pour les fautes trop flagrantes, si il y en a!
Et enfin bonne lecture
___________________Vous savez, il y a des jours où il est difficile de se lever, des jours où il est difficile de concevoir que l'on terminera sa journée en un seul morceau. Il y a même certains jours où notre vie si insignifiante soit telle, mais dans laquelle on s'investit plus qu'au minimum, nous paraît être un stupide jeux commandés par un être qui nous dépasserait de toutes parts.
Noël est une fête Chrétienne le saviez - vous?
Cette fête que je comprend totalement pour ses aspects commercial et familial dans le monde des moldus m'émerveillait auparavantCependant là ou j'habite, chez nous je n'y vois aucun intérêt apparent et honnête. Bien évidemment quand je déclare "chez nous" Je parle bien de ma famille, du cercle privé des sangs-purs et de la noblesse.
À quoi bon s'inviter entre familles alors que la conception même de l'amitié de l'amour et du respect est inexistante.
Lors de ces fêtes chaque familles à l'air de se jalouser, de se défier et de se haïr en des milliers de regards meurtries.
Pour avoir déjà observé de vrai familles et en avoir une qui m'aime, je peux vous assurer que ce n'est pas un comportement adéquat à Noël. Non, c'est un comportement qui ronge qui hante et qui éloigne l'essence même du repos et de la paix. Bien évidemment ce serait utopiste de penser à une infime , ne serait que paix de nos jours.
Je ne vous l'ai pas dis mais vous devez vous en douter. Depuis que j'ai pris connaissance que je demeurais à jamais cracmol, j'ai cessé de porter un intérêt investis pour ce genre d'évènement grotesque.
Il y à longtemps de ça il m'arrivait de jurer sur Dieu. Je me persuadais que le dieu la haut, n'importe soit- il, s'était bien moquer de moi en me rendant imperméable et insensible à la magie.
Puis mon aversion pour cette fête c'est accentué en apprenant l'hypocrisie des grandes familles, en contemplant leurs faux sourires, leurs fausses manies déplaisantes, mais si bien camouflés derrière des principes de bonnes conduite. À croire que l'argent et le sang vous métamorphose en affreuse personne.
Malheureusement nous voici en se jour de réveillon de Noël, chez les Greengrass qui choisirent de réunir comme à chaque Noël, Les Malfoy, les Black puis les rosier et nous les Woodmann.
Bien-sûr comme je m'en doutais Sirius n'était pas là et avait sûrement pus échapper à cela en restant dans cette fichue école. Comme toutes les précédentes années. Alors que moi pauvre fille que je suis me trouvais assise sur un divan seule, contemplant la masse discuter jovialement de tout et de rien.
Mon champagne me semblait plus acide que pétillant, et la pièce m'étouffait d'une odeur citronné insupportable. Je connaissais les lieux et l'envie de m'enfuir me ronger de toutes part, mais cette douleur était infiniment moins douloureuse que toute celles qui habitaient mon cœur : La honte, la jalousie, la haine et enfin la solitude.
Il me restait plus un quart d'heure à me camoufler derrière les mèches de mes cheveux sombres qui couvrait l'entièreté de mon visage.
Personne n'était venus me voir, mais parfois j'en présentais quelques uns me jeter des regards de pitié ou encore pouvoir espéraient m'approcher.
" La vilaine et mal poli cracmol" à jamais je demeurais dans l'esprit de certains. Une honte je suis pour ma famille, j'en suis convaincus.
Mais je pense que je réussirais en répugner d'autant plus si ils apprenaient que pendant quatre ans ma place était auprès de ceux qu'ils injurient et méprisent constamment " les moldus "
Là je pense que je ferais plus d'audimat dans le monde des sorciers. Je serai sûrement célèbre c'est sur, vu que la langues des nobles de nos jours sont bien plus pendu que celle d'un enfants en bas âge.
Mes parents vous voyez je les aime pour ça. Ils sont sangs-purs mais n'ont jamais pensées en mal des moldus. Ils mentent devant les autres, et à chaque fois cela m'amuse de savoir que leurs interlocuteurs pensent tout savoir d'eux.
Enfin je divague.
En m'apercevant sur l'horloge que mon heure de libération était venus, je quittai la pièce sans prévenir personne.
Les Greengrass possédaient un très beau manoir comparé aux autre qui pouvaient tourner au vieillot. Quoique maintenant que j'y songeais celui des Mallfoy me plaisait bien aussi.
Néanmoins celui que je hais le plus c'est bien celui des Rosiers. Il fais très rustre et le tond des tapisserie tourne autour du vert émeraude. Et je dois bien admettre que le vert n'est pas une couleur que je mettrais sur des murs. Infailliblement ma haine et accentué par leur famille et leur fils ainé et j'en ai pris conscience automatiquement. Mais je m'en contre fou.
J'empruntai le grand escalier qui donnait en face de l'entrée pour me diriger vers l'endroit que je préféré ici "la bibliothèque" Un long couloir donnant sur plusieurs portes à ma droite et ma gauche survint, mais seule celle en bout m'intéressait.
Après tout même si l'événement ne m'était pas agréable autant me divertir intelligemment . Leur bibliothèque était vraiment grande, Monsieur Greengrass l'aimait beaucoup et paradoxalement malgré son éthique, il était l'un que j'appréciais le plus.
Malgré mon handicap il a toujours était intéressé par ma personne et d'autant plus quand je lui est communiqué ma passion pour les livres intéressants. Il m'avait directement redirigé vers son "bébé" comme il la décrivait et m'avait autorisé quand je venait, d'y faire un tour.
C'est à pas de chats que je pénétrai dedans. De grandes colonnes était dispersées de toute part et d'immenses bibliothèques étaient en rangés de quatre. Néanmoins aucunes d'entre elles ne masqués l'immense fenêtre. Laissant alors une grande allée où sièges ainsi que tables rondes y logeaient.
Je n'avais pas tellement d'idée précise sur ma futur lecture, mais en rasant cette vaste pièce seulement illuminé par les reflets de la lune j'aperçus un gros livre, posait sur une des tables. En m'approchant je constatai que ce n'était qu'un simple livre de botanique. Je m'en emparai et me dirigeai vers un fauteuil prés de la fenêtre.
Restant fixe face à elle je m'aperçus que je n'avais pas tan envie de lire, mais simplement de pleurer et de me lamenter sur mon sort.
Une larme suivis de plusieurs perlèrent le long de mes joues creuses. Je ne sanglotais pas, aucun son ne sortit de ma bouche et les battement de mon cœur n'étaient point saccadé. J'avais simplement besoin de pleurer.
Pour je ne sais qu'elle raison j'eus la forte impression d'avoir échouer d'avoir commis un grave erreur. Mais rien ne me venait, rien à l'intérieur de mon crâne ne voulait me prêter mains forte, me montrer où j'avais fauté. En relevant mon regards de la lune , je pus contemplait la foret qui entouré ces lieux.
C'est à ce moment si que mes larmes s'arrêtèrent brutalement pour laisser l'inquiétude parsemait min regards. Quelqu'un se tenait en bout de foret.
Un homme vêtus d'une cape noir . Un homme qui semblait regardait en ma direction comme si cette homme savait où je trouvais précisément
J'étais angoissée, on me suivait pour je ne sais qu'elle raison. Néanmoins j'avais surtout peur car cette personne semblait avoir accès à des informations personnels que peux de personnes savent en général.- Dita !
Je me retournai essuyant mes larmes au plus vite et aperçus Evan. Puis je pivotai de nouveaux vers la fenêtre. Néanmoins il s'était comme évaporé de la nature.
- Dita ça va ? s'alarma t'il en voyant mon étrange comportement.
Evan avança prudemment puis je sentis sa main se poser contentieusement sur mon épaule, alors que mes yeux restèrent immobiles devant la vitre.
- Très bien jusqu'à ce que tu arrives Evan ! Lançai-je sans pression en retirant sa main de mon épaule.
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ФанфикDita a 15 ans et se déteste, mais ça n'a pas toujours était le cas. Dita est une cracmol issu d'une famille où il aurait mieux fallu ne pas l'être. Pourtant Dita est là... Enfin pour plus très longtemps....