ᑖнᐰpιŦ℞Ξ 6 - Mechante moi? Non humaine!

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Bonsoir, aujourd'hui je reviens avec le sixième chapitre de ma fanfiction !
J'espère que le précédent vous aura plus!
J'ai pris du temps à écrire celui-ci, car j'ai voulus me reposer quelques temps, vous m'en excuserez! Donc désolé du retard!

Désolé aussi pour les fautes trop flagrantes, si il y a (évidemment qu'il y en a je me connais)

Et enfin bonne lecture
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Au début cela ne durait qu'une heure par semaine et je ne pouvais malheureusement rien dire, ni même protester.
Mais plus l'habitude se faisait régulière et longue, plus ce Satané "Sirius" ne pouvait s'empêcher de résonner dans mon esprit, comme un souvenir enfouis, devenus récemment limpide.

"Je sais! "

À chaque fois, dés que j'avais le dos tourné, je le sentais me fixer depuis sa table. Et moi depuis mon bar j'espérais que de nouveaux clients arrivent, pour ne pas à avoir à le servir...

Un doux et laborieux enfer que je vivais depuis les vacances d'Halloween, qui aurait dus en temps normal s'annoncer sous le signe de la joie et du partage.
Mais non, tel un châtiment d'esclavagiste, j'étais parfois certaines qu'il prenait un certains malin plaisir à jouer à ce jeux qu'il m'avait imposé de force.

Son regard posé sur moi, mon corps, mon esprit me répugnait à certains moments.
J'aurais souhaité pourvoir me déchainer devant son comportement provocateur et insistant, et lui cracher en pleins visage mon venin.
Et les occasions se faisaient remarquer.
Mais pourtant une certaine barrière m'en empêchait.
Sûrement est-ce une peur de ce qu'il en adviendrait, un rejet et le jugement immédiat des gens qui pourraient nous apercevoir, ou encore la crainte. La crainte devant l'émergence d'une guerre venimeuse que je ne saurais assumer ou ni même contrôler.

Alors pour cesser mon incessante carrousel intellectuelle, une idée m'est survenue. Pour remplacer certaines pensés.
J'ai eux la brillante idée de me bourrer le crâne de notes et de mélodies en tout genre, en me remettant au violoncelle.

Le violoncelle à contrario du piano, à toujours était un vrai ange avec moi. Il me fait positiver, voir la vie d'un meilleur angle et me submerge de lumières évangéliques dans tout mon cœur, noircie par la suie de mes mauvaises pensées.

Néanmoins, alors que je croyais garder cette passion pour moi seule. Il fallut que ma douce mère me suggère d'en jouer aux clients, quand je ne savais que faire de mes journées.

Comme si je n'avais pas assez à faire !

Cependant elle avait eux la manière et le don de me convaincre, avec des arguments sollicitant mes émotions plutôt que ma raison, en me répétant un nombre incalculables de fois, que m'entendre jouer lui manquait énormément.

Donc le lendemain quand j'ai aperçus mes parents discuter jovialement avec des clients. Je suis descendus avec mon instruments.

Devant le yeux écarquillés des serveuses et furtifs des clients. Je me suis assise sur une chaise en pleins milieu de la scène et de la seule baguette que je ne pourrai posséder dans toute ma vie. Je l'aie faite alors se frotter aux cordes de l'instrument entre mes jambes.

Cette instrument si pur pour moi, et empruntant ses courbes à celles des femmes, me transmis une immense énergie positive.
J'ai sentis par la suite aux bouts de mes doigts, les vibrations et le son frappant le bois de l'instrument.
J'avais clos mes yeux pour ignorer le regards des autres, et j'y ai joué durant dix minutes.

Puis en recouvrant la vue je l'ai aperçu, et sans pouvoir me contrôler, la rage me submergea. Je me sentais trahis.

Le visage fermé ignorant les applaudissement, je me suis retirée.

SIDE EFFECTSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant