Entre Cauchemar et Réalité

Chapitre 8

Quelques heures plus tard

Maisons des Marquand

9H00

Chambre parentale

Seul Fred ne dormait pas avec Alice dans ses bras

Après un début de nuit difficile Alice dormait profondément

A regret Fred décide de réveiller sa femme avec des bisous

Alice finit par bouger au bout de plusieurs minutes

Alice (endormie) : mon amour laisse moi dormir

Fred : je voudrais bien mon ange mais on doit aller à la brigade pour ton interrogatoire

Alice : j'ai pas envie

Fred : je me doute mais on a pas le choix

Fred embrasse tendrement sa femme pour l'empêcher de répondre

30 minutes plus tard

Le couple prenait son petit déjeuner

Fred : tu m'as fait si peur

Alice : je me doute mon cœur

Alice : je m'en veux pour Juliette

Fred : mon amour elle a fait son travail elle savait ce qu'elle fessait

Alice : oui mais

Fred : mais rien du tout tout va bien dans quelques jours ça sera plus qu'un souvenir

Alice : j'espère on pourra aller voir Juliette

Fred : bien sur

Johanna se met à pleurer dans le cosi à côté du couple

Alice prend sa fille avant de disparaitre dans la maison

10H15

Alice se préparait dans sa chambre

Elle c'était maquillée légèrement et avait fait un chignon pour ses cheveux

Pour la tenue elle avait choisi un smoking noir avec une chemise d'homme blanche et une cravate fine noir

Sous la chemise elle avait mis un serre taille

Associé a son manteau long noir et des bottines a talons haut en nubuck noir

Alice met ses lunettes avant de prendre son sac et de sortir de la chambre

Pendant ce temps devant la maison

Fred attendait sa femme avec Astrid

Astrid : alors Alice

Fred : elle a réapparu hier comme tu le sais mais elle est choquée

Astrid : d'accord c'est un peu normal

Fred : elle a fait des cauchemars cette nuit

Astrid : d'accord Juliette aussi elle s'en veut de ce qui c'est passer qu'elle a pas réussi a arrêter Dina

Fred : je lui parlerais elle a fait de son mieux

Astrid : comme moi pour l'enlèvement des quadruplées et Paul

Fred : oui Juliette sort quand ?

Astrid : le temps de prendre une douche et je retourne la chercher