Chapitre 145

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Le lendemain

La nuit avait une fois de plus été courte pour Fred

Il repensait aux derniers événements

Il n'aimait pas du tout la façon dont Adrian parlait à sa mère

Il le trouvait complètement différent de quand il était avec eux à Paris

Il ne comprenait pas ce revirement de situation

Il était assis dans le lit et décidé à vraiment comprendre

Il se leva et prit son ordinateur portable

Ses habitudes flic reprirent le dessus

Fred décida de faire des recherches sur son père

Il envoya également un message à Djibril

Fred : Salut gamin j'ai besoin de ton aide...Est ce que tu peux faire des recherches sur Adrian Marquand ...Je veux tout savoir...Y compris son casier judiciaire...Je te remercie

Il reposa son téléphone

Fred : Je vais trouver ce que tu caches...Je te laisserai pas enfoncer ma mère plus

Le téléphone de Fred sonna

C'était un message de Djibril lui disant qu'il allait faire les recherches nécessaires

Fred était satisfait

Il regarda l'heure, c'était 7H, l'heure d'appeler sa femme

Il composa son numéro et attendit qu'elle réponde

Alice : Allo ?

Fred : Bonjour mon amour

Alice : Toi tu as une petite voix

Fred : J'ai pas très bien dormi

Alice : Du nouveau ?

Fred : Hum Adrian a pété un plomb sur ma mère hier

Alice : Tu as trouvé des trucs qui pourraient expliquer le comportement de ta mère

Fred : Non rien mais vu comment elle a peur d'Adrian je crois de plus en plus qu'il est responsable de l'état de ma mère

Alice : C'est grave ce que tu avances

Fred : Je sais c'est pour ça que j'ai demandé de l'aide à Djibril

Alice : Bon ça suffit...C'est trop grave...Je vais venir te rejoindre

Fred : Non Alice reste à Paris

Alice : Non je t'ai écouté hier mais la non tu as besoin de moi, je fais le nécessaire pour les enfants, et j'arrive dans la journée

Fred : t'es sûre

Alice : Oui je suis sûre on ne sait pas de quoi est capable Adrian je veux être là pour toi

Fred : Hum

Alice : Avoue que tu meurs d'envie que je sois la

Fred : Bien sûr mon amour c'est tellement dur sans toi ...Si tu savais

Alice : Je sais mon cœur...Tient bon j'arrive

Fred : Merci mon amour

Ils raccrochèrent

Entre Cauchemar et RéalitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant