Entre Cauchemar et Réalité

Chapitre 80

Alice s'était assise sur le marchepied du monospace

Elle regardait en larmes ce qu'il restait de la maison du bonheur

Fred lui aussi regardait dépiter les pompiers évolués dans ce qu'il restait de leur maison

Les pompiers avaient ouvert le garage

La voiture de service de Fred qui était à l'intérieur n'était plus qu'une carcasse fumante

Peu à peu les enfants comprenaient eux aussi les pleurs redoublèrent

D'un coup on entendit un drôle de bruit comme un miaulement mais pas un miaulement normal

Paul : papa c'est Chipie

Fred : Merde les chats

Paul : papa elle... (commençant à pleurer de plus en plus)

Fred (le coupant) : pleure pas pirate on va voir si on les retrouve

Paul prit la main de son père

Ils avancèrent jusqu'à ce qu'un pompier les stoppe

Pompier : Vous allez ou comme ça vous pouvez pas rentrer

Fred : Nous avons des chats ...On voudrait les retrouver

Paul : S'il te plait monsieur je veux retrouver Chipie

Pompier : Bon d'accord tu vas venir avec moi bonhomme ...Mais avant ça il faut mettre un petit masque

Paul suivit le pompier

Ils allèrent à la recherche des chats

Les miaulements se faisaient plus intenses

Au bout de 5 bonnes minutes ils retrouvèrent Chipie et un de ses chatons

Chipie avait une patte coincée dans un débris

Le pompier la libéra

Paul prit le chat dans ses bras

Paul : Merci monsieur

Alice elle regardait toujours la maison dépitée

Elle n'avait même pas remarqué que son mari et son fils étaient partis à la recherche des chats et que les quadruplés jouaient vers le minibus

D'un coup ce sont des rires et des miaulements qui la sorte de ses pensées

Elle vit les petits jouer avec les chatons

Puis Paul s'approcha avec Chipie dans ses bras

Paul : papa, maman on a retrouvé Chipie

Alice : C'est chouette mon trésor

Paul : Mais les autres bébés ils sont où

Fred (remarquant les chatons dans le minibus) : je crois qu'ils ont trouvé une bonne cachette

Fred était rassuré tout le monde allait bien que ce soit eux ou les chats

Ils restèrent à l'écart vers le minibus attendant que les pompiers finissent leur travail

Alice et Fred accusaient le coup

Paul : On va pas pouvoir rentrer dans la maison ?

Fred : Non mon Paulo

Paul : Mais on va aller où

C'est vrai ça ou est ce qu'ils allaient aller maintenant qu'ils n'avaient plus rien