Chapitre 90

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Quelques heures passèrent

Nous étions en pleine nuit

Fred était rentré chez lui

Il était en train de dormir, il ne se doutait pas du tout de ce qui était en train de se passer à l'hôpital

Alors que tout était calme dans les couloirs

Les infirmières étaient en train de faire leur pause dans leur salle attitrée

Quand dans une chambre du bruit se fit entendre, des bips anormaux

L'infirmière regarda il s'agissait de la chambre d'Alice Marquand

Infirmière : Merde c'est la chambre 115 bipe le doc au cas où

L'infirmière se dirigea vers la chambre d'Alice

Elle dormait encore forcément vu qu'elle était toujours plongée dans le coma

Ses constantes étaient en baisse et elle semblait faire de la fièvre signe d'une infection

Le médecin ne tarda pas à débarquer

Médecin : Que se passe t-il ?

Infirmière : Elle a de la fièvre la tension chute je crois qu'elle est en train de faire une infection

Médecin : Et merde j'aurais dû m'en douter...Bipez le Chir il faut l'opérer de toute urgence...C'est sa main qui est en train de s'infecter

L'infirmière s'exécuta

Elle prévient le chirurgien qui allait intervenir de toute urgence

Ensuite elle prépara Alice pour le bloc

Pendant ce temps le médecin devait prévenir Fred ils ne pouvaient pas prendre le risque de faire une opération sans autorisation surtout si celle-ci devait se finir par une prise de décision concernant la main d'Alice

Il était 3H du matin quand il composa le numéro de Fred

Après quelques sonneries Fred répondit en grognant

Fred : Ouais allo ?

Médecin : Monsieur Marquand ? C'est le docteur Bourgeois je vous appelle au sujet de votre femme

Fred : Un souci ? (Paniquant) me dites pas que...

Médecin : Nous devons emmener votre femme au bloc opératoire...Sa main s'est infectée comme je le craignais

Fred : Vous allez faire quoi,

Médecin : Réparer la veine si c'est possible

Fred : Sinon ?

Médecin : Il faudra prendre une décision pour le bien de votre femme

Fred : Et merde c'est pas possible

Médecin : Ne vous en faites pas le chirurgien qui s'occupe d'elle est assermenté il n'y aucunes raisons que ça en arrive la

Fred : Ok j'arrive dès que je peux...Je veux être là pour elle

Médecin : Je comprends...Je vous tiens au courant de toute façon

Fred : Je vous remercie

Ils raccrochèrent

Fred sortit de son lit puis se prépara sans faire de bruits

Entre Cauchemar et RéalitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant