20. Faute

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"AÏE !" 

"Arrête, ça fais pas si mal." 

"Bien sur que si c'est pas toi qui te fais frapper." 

Une nouvelle claque atterri sur mon postérieur. Je saute de ses genoux et frotte mes fesses meurtri.

"Ça va, je t'en ai mis que cinq. En plus c'est toi qui en à eu l'idée." Dit-il en rigolant.

Je le regarde outrée, je n'ai jamais voulu qu'on me donne la fessée surtout pour rien. Même mes parents n'ont jamais frapper cette partie de mon corps alors pourquoi lui s'octroie se droit ? Ce n'est pas parce que je le hurle que la minute suivante il doit le faire. Si je lui hurle de se jeter par la fenêtre il ne le ferait certainement pas.

"Faut arrêter de regarder des films à la cinquante nuance de Grey. Tu va viré sado." Je murmure pour moi-même.

"Je t'ai entendu. Et je sens que ma main me démange si tu vois ce que je veux dire." Dit-il en me montrant sa main tout en faisant jouer ses doigts.

Je plaque mon dos contre la porte mes mains sous mes fesses tout en secouant la tête. Je ne comprend absolument pas pourquoi les filles dans ces bouquins son fan de la fesser. Elles trouvent ça excitant et en redemande, elles en mouillent même. Je bouge légèrement et grimace, je ne peux pas posé mes fesses au risque d'avoir horriblement mal. 

"Ne touche plus JAMAIS à cette partie de mon corps." Je couine. 

Il rigole tout en secouant la tête. Je souris légèrement en le voyant rire de bon cœur, j'ai beau réfléchir, je ne le vois jamais rire de cette manière avec Lyla. Il lui sourit tendrement mais pas une fois il a rit. Est-ce qu'il a déjà dis comme ça pour elle, devant elle. A t-elle eu se privilège d'entendre le rire sincère de Jace ? Du vrai lui.

"Je ne peux rien te promettre. Tout dépend de toi." Susurre t-il à mon oreille. 

"Tu es entrain de me dire que je n'ai pas le droit d'aller voir ailleurs ? Je me répète surement mais de quel droit tu me demande ça. Jace, je ne suis pas à toi." 

Il reprend son sérieux et me regarde froidement. Il baisse la tête sur ses mains qu'il serre en poing et me regarde de nouveau blesser.

" Tu penses que je ne le sais pas ? Merde tu penses que je ne sais pas que je n'ai aucun droit de ressentir ce besoin de te baiser fort à chaque fois que je te vois." Grogne t-il, mon cœur à un raté et mon sexe se contracte. Pourquoi je trouve cette manière cru de s'exprimer si sexy. "Tu n'imagine pas combien je me suis retenue de te prendre sur la table de ce restaurant lorsque je t'ai vu dans ces vêtements aussi révélateur. Dévoilant t'es jambes galbé, tes seins plein, la vision que tu offrais à chaque fois que tu te pencher... c'est juste un supplice de t'avoir à quelque centimètres de moi et ne pouvoir te toucher, t'embrasser et profiter de toi comme j'en rêve depuis cette fameuse nuit. Mon corps en réclame encore et encore." 

Je suis tétanisé par ce qu'il me révèle, je sais que ce n'est pas bon, du tout. Je ne devrais pas être partager entre la joie, l'excitation et la colère. Pas envers ses actions de connard finit, non en colère contre cette part de moi qui a envie de tout jeter par la fenêtre pour l'aider à assouvir ses pulsions qui le consume de plus en plus. Je me bats contre moi même pour rester ou je suis, je ne peux pas céder. Il m'est interdit, n'importe qui sauf lui.

"Une seule fois, laisse moi te goûter encore une fois..." murmure t-il en s'approchant de moi. 

Je secoue la tête de droite à gauche en le regardant approcher dangereusement de moi. 

"S'il-te-plait... rien qu'une fois. Pour me débarrasser de mon obsession pour toi."

Il pose sa main sur ma joue, je détourne la tête sur le côté pour éviter son contact et ferme les yeux. Mon souffle se coupe pour revenir hacher.

Le futur mariéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant