Le futur marié

32. Déprime

Sorry i'm late 😅
Au final j'ai pris plus de temps que prévu.
Brefons, enjoy the chapter.

Un peu plus d'une demie heure de marche avant que je ne fasse une pause à un arrêt de bus vide. La nuit à amener avec elle la fraîcheur et je commence à avoir froid. Je souffle fatigué et sors mon portable pour voir que j'ai bon nombre d'appel manqué de mon père, Tara, Tyler et des jumeaux. Rien de ma sœur et de sa chère mère, ce qui ne m'étonne pas vraiment, pourtant ça fais mal. Jamais nous avons été aussi loin dans nos disputes, jamais elle n'avait levé la main sur moi ou insulté et jamais au grand jamais je n'aurais cru qu'elle aurait insultés mes enfants.

 Je baisse les yeux sur cette main qui à osé frapper le visage de ma génitrice, l'une des personnes les plus importante pour moi sur cette planète. Je serre mon poing, mes ongles creuse ma paume profondément et mes yeux se ferme pour éviter de pleurer de nouveau. Je prend de longue inspiration et fini par me calmer. Mon portable vibre de nouveau dans ma main, pour voir un nouvel appelle de Tara. Je soupire et fini par l'éteindre. 

Je ne veux voir personne pour le moment. Je cherche ma petite pochette et panique en voyant que je ne l'ai pas sur moi. Je ne me souviens même pas être partis avec, elle à du tomber au sol pendant notre dispute. Je n'ai donc ni argent, ni papier sur moi et je préfère passer ma nuit sur ce banc plutôt que de retourner à cet endroit. Je grogne et me laisse complètement aller sur le banc, je remonte mes jambes dessus, posant mon menton sur mes genoux et entour mes jambes de mes bras pour essayer de fuir le froid. Doucement je ferme mes yeux et le sommeil me prend. 

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis assise sur ce banc. Mais quelqu'un pense que je n'ai rien à faire dessus vu qu'il essaye de me pousser. Je suis bien trop fatiguée et endormis pour me défendre ou même lui répondre quoi que ce soit. Je me sens totalement vidé. 

"C'est... banc... ailleurs !" Sont les seules mots que j'arrive à comprendre. 

Rapidement une autre voix intervient et mon prénom résonne me rassurant. Je me rendors comme sauvé de cette nuit qui s'annoncer de plus en plus mal.

Je me réveille le matin suivant au bord de la crise de panique, je suis dans un lit inconnue, dans un endroit qui m'est tout aussi inconnue et le plus important dans des vêtement qui ne sont absolument pas ce que je portais la veille. Et tous ça dans l'appartement d'un inconnu qui m'a ramasser dans la nuit à un arrêt de bus ou je dormais si profondément que je ne me suis pas rendue compte qu'on m'emmener.

Je cherche mes vêtements dans la chambre au couleur bleu mais rien. Je fini par prendre mon courage à deux mains et sortir de la chambre après avoir vérifié qu'il n'y ait pas moyen de sortir par la fenêtre. Pas d'escalier de secours et on doit bien être au quatrième étage et dans mon état impossible de sauter. 

J'emprunte un couloir, décoré de plante, de photo artistique mais pas de photo de famille, rien qui puisse m'indiquer l'identité de cette personne qui m'a... enlever ? Aidé par pitié ? Ça se trouve je vais tomber sur quelqu'un de bien qui à le cœur sur la main. Oui c'est surement ça, sinon il m'aurait enfermer dans la chambre.

Je continue de me convaincre que je ne suis pas dans l'appartement de Patrick Bateman et arrive dans un grand espace à vivre, séjour, salle à manger et un coin cuisine, d'ou émane une bonne odeur de gaufre, d'œuf et de bacon. J'avance vers la cuisine, essayant de voir la personne qui se tien devant les fourneaux. J'arrive à l'entrée de la cuisine, ayant une vue parfaite sur cette personne pas si inconnue. Je fronce les sourcils et souffle son prénom surprise. 

"Taylor ?" 

Il sursaute violemment en se tournant vers moi et m'offre un petit sourire timide. Nous restons un moment sans parler, je le regarde ahurie alors que lui évite soigneusement mon regards. C'est lui qui ma ramasser dans la rue ? Après ce qu'il à vu, après ce que je lui ai dis... il devrait m'éviter, m'insulter, me trouvais horrible d'avoir fais tous ça. Mais au lieux de ça il... m'aide ?