"VOUS ÊTES VIRÉ !" Dit-il en tenant sa joue rouge du à la belle claque que je lui ai mis, on pourrait presque voir l'empreinte de ma main. Je ne l'ai pas raté en même temps.
"NON, C'EST MOI QUI DÉMISSIONNE JE REFUSE DE TRAVAILLER UNE MINUTE DE PLUS POUR UN PERVERS"
Je lui réponds sur le même ton, fièrement je dépose ma lettre que j'étais venue lui déposer avant qu'il se mette à me tripoter et me faire des propositions toutes les plus obscènes les une que les autres.Ce petit lard au nez crochus ma toucher. J'en ai des frissons, dés que je rentre je me désinfecte la peau à la bétadine, non mieux à l'eau de javel. Bon ma peau va fondre mais c'est toujours mieux que de conserver les bactéries de ce petit porc sur ma peau délicate, non mais.
"C'est cela et ne vous aviser pas de porter plainte. De toute façons qui pourrait vous croire. Vous êtes moche, dans des vêtements terne et loin de féminin. Vous ressemblez à un homme" Se moque t-il un sourire mauvais accrocher aux lèvres.
Je ne sais pas ce qui me retiens de lui en mettre une autre, une probable plainte de sa par pour agressions, il en serait bien capable, Rudy le petit cochon.
Mais hors de question de me laisser faire, 6 mois que je travaille pour lui, 6 mois que je supporte ces remarques sexistes, ses blagues tendancieuse et ses regard insistant sur mon derrière et ne parlons pas des effleurage "malencontreux" qui se répète à longueur de journée.C'est donc sans me démonter que je lui sors ma botte secrète qui risque bien de le tuer. Alors avec j'ai deux options : faire la garce et le faire chanter mais là, encore une fois je risque ma liberté ou simplement lui faire peur. Connaissant ce porc un minimum -je suis désolée petit cochon de vous utiliser pour imager le comportement de ce rustre personnage- il va réussir à tourner la chose à son avantage je vais donc tout simplement sortir la tête haute.
"Ce n'est pas ce que vos messages en plein milieu de nuit disent. Heureusement pour vous j'ai gardez chacun d'entre eux. Un mot de plus et je vous rafraîchit la mémoire à vous... Et votre femme." Dis-je la voix suave, que j'ai par miracle réussis à sortir sans accro.
Je vois ses yeux globuleux sortir de leur orbite, son visage actuellement rouge devenir aussi pâle que le premier jour d'une bonne gastro et sa bouche s'ouvrir en un O parfait pouvant rendre une actrice de film X verte de jalousie.
Quel jouissance de faire fermer son clapet à cet homme imbu de lui même.C'est avec un sourire triomphant que je tourne les talons et sors de son bureau pour rejoindre le mien et ranger mes affaires. Rassemblant le tout dans une boite que je ferme je prend toute mes affaires et par la tête haute hors de ce service ou je ne me suis jamais sentie à l'aise, mes collègues me regarder avec peine connaissant parfaitement le bonhomme sans pour autant remuer le petit doigt pour me venir en aide. La seule chose qu'ils faisaient c'était de cracher avec moi sur son dos et de me remonter le moral tout en m'apaisant lors des pauses déjeuner. Rien ne va vraiment me manquer ici, c'est sans me retourner que je quitte les locaux de cette petite entreprises qui partage l'immeuble avec d'autre.
Dans la rue, je respire un bon bol d'air frais et lève les yeux vers le ciel me sentant libérer. Bon je suis sans emploie mais bon je ne pouvais pas continuer comme ça. Ma coloc ne va pas être contente mais tant que je paye ma part du loyer elle n'a rien à me dire. Me dirigeant vers ma voiture garé à quelque pas de l'immeuble qu'elle ne fut pas ma surprise en voyant une pervenche établir une contravention et la mettre sur mon pare-brise.
Oh non non non !
"Hey ! Attendez ! Vous là ! " Je la hèle en trottinant comme je peux avec mes talons haut, mon sac qui se fait la mal et la boite qui pèse dans mes mains.
Elle s'arrête et se tourne pour me voir arriver vers elle.
"J'ai payé ! C'est ce fichue compteur qui ne fonctionne pas. J'ai bien mis 2 dollars dedans et ça ne fait même pas 2 heures que je suis garé, donc vous me retirez cette amende, s'il-vous-plait." Dis-je avec un sourire contrarié.
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Le futur marié
Lãng mạnParfois, j'ai l'impression que le destin aime se jouer de moi mais vraiment. Pour une fois dans ma vie je fais quelque chose de fou et il me le fait payé... pas le jour d'après non, se serait trop facile, je n'aurais pas le temps d'oublier et de pas...