CherHarceleurs ,
Il était une fois l'histoire d'une page blanche, si blanche quand la regardant le désespoir pouvait vous ronger en l'espace de quelques secondes , des secondes si infimes quel parasitait la réalité, quelparasité ma réalité . Malgré le mal quel me procurer en la regardant c'est la seule chose qui m'aide à survivre face à cette vie, cette vie qui m'a été donner mais que je ne voulais pas . Le seul moyen de soulager cette douleur qui me grignote un peu plus chaque jour c'est de remplir cette page de mots, espérant pouvoir plaquer là mes sentiments destructeurs qui trahissait ma vulnérabilité face au monde entier, vous savez ce monde remplis d'humains qui détruise tous ce qui leur échappe, tous ce qui leur paraît différent et qui déstabilise leurs ego surdimensionner en un regard, en une simple phrase simplement parce que vous êtes différents d'eux, vous êtes un peu plus pâle un peu plus gros un peu plus cultivé . Alors ils s'acharnent sur vous pas d'un simple coup de bâton mais d'humiliation répétés, d'acharnement qui éclabousse mon âme du noir qui remplit cette page ,à chaque maux trop dur à porter seule . Car oui, la solitude faisait partie intégrante de ma chic vie, pourtant je ne suis pas réellement seule, c'est voix qui trépigne d'impatience de bouffer chaque petit moment de lucidité qu'il me reste, c'est moment où j'arrive à remplir ce blanc en noir avant d'appuyer sur le bouton effacer pour ne pas laisser ce noir envahir mon âme encore et encore. C'était pourtant le seul moment où j'arrivais à reprendre enfin ma respiration, à remplir mes poumons d'air, à remplir mes yeux de larmes à exprimer cette douleur sordide .
Je comptais tous les jours passer dans ce lycée, je n'en ratais pas un pourtant quand je passais les portes de cet établissement je savais pertinemment que ce n'était pas pour mon bien, que ce besoin destructeur de continuer à admirer cet acharnement perpétuel et taire cette souffrance aller finir par me tuer où merendre folle, peu importe dont la manière que ça se finirait aumoins la douleur arrêtera de m'harceler, de me réveiller en pleine nuit .
Le harcèlement est une chose banale de nos jours, une chose dont on évite de parler comme si ce mot était honteux ou trop pesant à porter . Chaque individu s'est, même les professeurs s'aperçoivent des coups porter à mon égard, des insultes et des surnoms qu'on me donne pour s'amuser, et ça les amusent tous . Ils ricanent et me jaugent telle une chose inhumaine,pourtant j'étais pourvu d'os et de chair tout comme chacun d'entre eux dans ce lycée ainsi que dans le monde entier .Il était impossible pour moi d'arrêter ce cercle ancestral qui durer depuis bien trop longtemps , mon regard joncher le sol constamment je ne pourrais même pas vous dire de quelles couleurs sont les murs des couloirs ni même l'apparence de mes agresseurs car j'étais incapable de regarder ma douleur dans les yeux j'étais incapable de répliquer face à cette bande de bruten crise . La seule personne qui sait le dérouler de mes journées est cette page .
Je subissais le harcèlement de mes camarades, le silence des autres et mon propre silence, celui qui faisait de moi la complice de ces actes de torture morbides . La cruauté que le monde avait envers moi me dépassait parfois, je finis souvent assis sur le sol froid des toilettes j'espérais que celui-ci me réveillerait de ce cauchemar qu'était ma vie . Je hurlais, mes ongles enfoncés dans la paume de mes mains ensanglantées:
-Réveilles-toi !
Mais rien ni faisait je retournais à chaque fois dans ces couloirs cribler de regards honteux envers moi, pourtant j'étais innocente, innocente de tous ces jugements j'ai toujours été une bonne personne et un jour j'ai chuté, et depuis je tombe continuellement dans un trou sans fin, sombre et glacial espérant qu'une main innocente tend l'aide que j'ai besoin depuis tant d'années, le courage de lever la tête le regard recentré comme il le devrait, pouvoir enfin admirer les vieux murs, le ciel abîmé par la pluie trop souvent présente ici.
Malheureusement personne ne voit la souffrance dans làquel je vis tous les jours , personne ne prête attention à mon regard tombant dans les déluges du harcèlement,et ma vie ne sera à tous jamais marqué au fer par cette période de rejet, de doute et de désespoir .
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Symphonie d'amour morbide .
Cerita PendekSymphonie d'amour morbide est en quelque sorte mon journal où j'exprime ce que je ressens, vois ou entend . Cela se portera sur différent sujet , différent texte . Bonne lecture !