La forêt des Damnés .

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1.

 J'aurais aimé avoir les mots pour vous décrire cette immense tristesse qui ronge douloureusement chaque partie de mon corps depuis toujours, mais je ne les aient pas .
Alors je m'efface et laisse vaincre mes sentiments destructeurs .
J'ai souvent ressenti la peur de rester moi-même , gamine j'étais montré du doigt par tout le monde . Physiquement j'étais jaugé par tous, étant très petite tout le monde me scruter de haut comme si l'on pouvait m'anéantir d'un simple regard, mon teint blafard et mes yeux distincts ne m'avantager pas non plus .
Gamine, je pleurais systématiquement quand maman beuglait à tue tête, comme l'effluve de chaleur qui s'exhaler au creux de mes joues quand il me regardait en classe . Je n'avais jamais été très bonne à l'école malgré l'effort inconsidéré que je donnais chaque soir pour apprendre mes leçons sérieusement . Même si j'étais consciente que la seule raison qui me poussait à aller m'humilier devant une vingtaine de camarade c'était lui . Simplement et indéniablement lui.

Maman me répétait sans cesse que j'étais qu'une pauvre fille inconsciente de la réalité, qu'il me faisait les yeux doux pour que je tombe dans le même piège que papa lui avait infligeait. Elle me racontait qu'un beau jour, après avoir tout manigancé pour avoir ce qu'il désirait il partirait sans aucune pitié pour moi .
Sans savoir pourquoi, j'étais pertinemment certaines quelle était juste jalouse de moi, sa propre fille . J'avais éperdument confiance en lui, mais je m'étais mise à douter des réelles convictions de Riley .Malgré les invraisemblables lettres qu'il m'écrivait .

« Holly;
Si tu savais comme je suis ravie ;
Aujourd'hui j'ai réalisé à la façon dont tu as rit, à quel point nous avons évolué et ce que l'on a construit ensemble. Tu as appris à dévorer la solitude qui me ronger .
La vie n'est pas facile, non elle n'est loin d'être jolie par ici .
Mais je te promets qu'un jour je te ramènerai dans cette forêt lointaine et tu seras ma reine dans notre monde façonnai rien qu'avec nos mains amoureuses .»
L'idée de l'éradiquer de mon cœur m'avait effleuré, mais j'en ai approuvé que cela rimerait à un acte de faiblesse . Parfois le cœur a besoin d'accepter ce que la raison nous suggère déjà, mais l'amour sera toujours une inéluctable source de question éternel.

Un jour , le soleil brûlant l'asphalte Holly traînait ses pieds enflammer par la chaleur sur le bas côtés de la route, l'herbe fraîche qui rechignait sous son poids la chatouiller légèrement . Holly avait dû ôter ses chaussures malgré la répugnance que lui causait les déchets qui jonchaient le bas côté. Holly avait la perception que le sol était contre elle, du moins cette forêt lointaine .Elle était obligée de l'aborder pour rentré du lycée jusqu'à sa maison morose, celle qu'elle détestait
tant. Desquels passé cette porte médiocre elle ressentait cette charge d'oppression comme si ce n'était pas réellement ça place, comme si ce n'était pas sa vie.
Accoudait à la fenêtre ronger par les années pluvieuses de cette contrée, elle admirait l'étendue d'arbres qui s'allongaient jusqu'à un point imperceptible. Elle paraissait moins cruelle cette forêt de cette fenêtre mal nettoyer .
Préoccuper par ses pensées elle ne vit guère pas la voiture approchée dangereusement d'elle .
Le klaxon de la vieille mustang la fit réagir, elle se retourna effrayaient, et aperçus qu'il ne s'agissait que de Riley et ça vieille voiture encrassée .

Bonjour petite fleur que fais-tu seule abandonnée sur cette route déserte? Dit-il penché au bord de ça vitre tremblotante sous son poids.
- Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureuse de te voir toi .fit-elle avançant pour embrasser le jeune homme éperdument amoureux .
- Tu montes, nous allons admirer la ligne d'horizon se noyer dans la nuit . Lâcha-t-il agité .
Holly se rua dans la voiture, se sentant plus en sécurité dans celle-ci.

L'odeur de la violette imbibait le mustang, cette odeur douce et fruitée lui rappelait toujours cette journée passait avec lui, le premier jour où ils s'étaient embrassés . La fusion de leurs deux corps était telle une explosion . Des flammes absorbaient leurs corps unis, le vent les emportaient aussi loin qu'elle s'en rappelait . Depuis se jours une chose se passer entre eux, étrange mais tout aussi fulgurant.
Elle avait cette impression de le connaître depuis toujours sans savoir pourquoi ni comment expliquait se sentiment de pureté qui l'envahissait quand il était au prêt d'elle .
Cette odeur de fleur fraîche abreuvait un plaisir olfactif qui depuis son plus jeune âge la passionnait , pourtant cela n'était qu'une coïncidence .
Rien qu'une coïncidence

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Symphonie d'amour morbide .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant