Karol Sevilla et son histoire TOME 2

Chapitre 3

Après nos 16 concerts en Argentine et nos 4 concert au Chili nous voila au Brésil à São Paulo, sa capitale. Nous avons deux concerts aujourd'hui puis ensuite nous avons deux jours de repos. On pourra visiter la ville, sortir, ou dormir. Mais c'est pas le moment parce que aujourd'hui on est sur scène !

- Hola São Paulo !!!!!

Tous le monde dans la salle crient et moi je continue à danser et chanter.

SLEV - Solo Para Ti (Karol Sevilla)

SLEV - Como Me Ves (Valu Zenere, Gio Reynaud, Pasquale DiNuzzo, Jorge Lopez)

A la fin du concert, nous nous dirigeons tous dans les vestiaires qui nous ont été attribués, mais tout le monde va un peu partout. Je partage mes vestiaires avec Valu, Malena et Giovanna. Valentina pousse un long soupir.

- Trop de stresse. J'ai eu trop peur d'oublier mon texte en Portuguais.
- Pareil, soupirais-je légèrement essoufflé. Mais j'ai adoré le concert !

Les garçons arrivent brusquement dans nos vestiaires, ce qui nous fait sursauter.

- Putain vous êtes cons ! s'énerve faussement Valentina.
- Oh faut pas s'énerver, Ambre... dit Michael en essayant de la serrer dans ses bras, mais celle-ci refuse.

Moi j'ai toujours ma main sur mon coeur, encore sous le choc. Ruggero arrive tout sourire vers moi, je lui souris faussement pour rire.

- Karol a eu peur ? se moque t-il en prenant mes joues.
- Ah-ah-ah.

Il enlève ses mains de mes joues, me fait un bisou esquimeau puis me serre dans ses bras. Tandis que Valu essaye de fuir Michael pour qu'il arrête de l'embêter.

- Bon, tu arrêtes je vais te frapper ! s'exclame t-elle en levant sa main.

Il rit mais arrête enfin de l'embeter.

- On fait quoi demain ? demande Pasquale.
- On pourrait déjà visiter la ville, je ne suis jamais venu la, propose Giovanna.
- Et ensuite manger dans un restaurant, ça serait bien, ajoute Valu.

Je ris face à la remarque de mon amie.

- Puis après, chacun est libre de faire ce qu'il veut l'après-midi, termine Mike.
- Au pire, on demande qui est partant pour visiter la ville demain matin, on réserve le restau et après on fait ce qu'on veut, dit Ruggero toujours collé contre moi.
- Oui il a raison, affirme la blonde.
- Oui on fait comme ça, souriais-je.

Tout le monde approuve et retourne à ses occupations. Quant à Rugge, il se remet face à moi, entrelaçant une de mes mains.

- Tu n'as pas une interview demain ?

Mes yeux s'élargissent face à sa question.

- Merde, j'ai complètement oublié ! m'exclamais-je en mettant ma main qui est libre à ma bouche.
- Hé mais c'est pas grave Karol, se moque t-il en riant.
- T'imagines je ne serais pas allé, je serais passé pour une cruche.
- C'est vrai.