La pâleur de la Lune
Éclaire ses yeux luisants
Tel un félin nocturne
Sur les toits dormantsIl attend patiemment
Sous l'astre de Minuit
L'enfant déambulant
Dans la ville endormieLa lueur d'une torche
Attire son regard perçant
L'enfant aux cheveux blancs approche
De son regard, la rue scrutantUn doux Zéphyr s'élève
Dans la nuit étoilée
Faisant flotter sa cape ébène
Autour de son corps dissimuléSon regard ne quitte pas
L'enfant aux yeux d'or
Cette Ombre, du toit glissa
Telle, à la fenêtre, la MortSa proie traversant la rue
Il atterrit sans bruit
Avec une grâce absolue
Sur le sol, sa dague sortieIl avait une mission
Il s'en acquitta sans effort
Les paysans découvrirent à l'unisson
La mare rouge baignant ce petit corpsL'Ombre continuait son chemin
Il avait des missions
Les acquittait en assassin
Sans que ses proies n'en connaissent les raisons
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Le cœur est le plus beau des langages
PuisiMon cœur guide mes mots, mes mots guident ma plume et ces poèmes sont le fruit de mes sentiments. 13 #poèmes le 30/11/2018 454 #tristesse le 13/01/2019