Recueil d'Os manga X reader

Armin X Reader :

Emmitouflé sous sa couette Armin entendit pour la troisième fois la sonnerie de son téléphone.

Le jeune blond se retourna, attrapa son cellulaire :

Trois appels manqué venant d'Eren et une dizaine de messages de Mikasa.

Ils peuvent attendre. Se dit il en se recouchant.

Au même moment la sonnette de la porte retentit faisant sursauter Armin.

Eren tambourinait rageusement tout en lâchant des jurons.

Mikasa attendait, bras croisés à ses côtés.

La porte s'ouvrit sur un Armin encore endormie, les cheveux en bataille, ayant pour seuls vêtements un t-shirt datant du collège et un caleçon trop grand.

-Salut. Maugréât il en se grattant l'arrière du crane.

-Il semble que nous te sortons du lit, non ? Demanda Mikasa.

Armin eu un sourire innocent avant de les inviter à entrer.

-Je vous sert quelque chose ?

-Un coca pour moi.

-Et toi Eren ?

-La même

Le brun attrapa un paquet de cigarettes et le briquet poser sur la table basse du salon.

-Depuis quand tu fumes Armin ?

L'intéressé se retourna, surpris par la question de son ami. Dès qu'il vit le paquet son visage devint brûlant.

-Je...où à tu trouvé ça ?

-Sur la table du salon.

Après un rire amusé Eren alluma une des cigarettes, inspira une grande bouffée avant de la recraché et de tousser à s'en décrocher les poumons.

-Eren ?! Ça va ? Mikasa complètement affolé lui tapota le dos.

-Putain ! Armin t'aurais pus me dire que c'était un joint !

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Une flûte de champagne Louis Roederer dans la main (T/p) parlait affaire avec un collectionneur Italien. L'exposition photographique de la (C/c) avait éveiller la curiosité de l'homme au costume.

Les clichés de la jeune artiste avait une particularité, qui les transforment en œuvres au prix inestimable.

Les salles où elles était exposés se devait d'être dans le noir complet si l'on voulais capter leur plus pure et profonde beauté.

Plus de deux heures était passée depuis que (T/p) et Monsieur Andreotti avait commencé leur discutions, tout deux fixèrent une date pour se revoir.

Quand il fut parti la (C/c) se rendis compte à quel point ses jambes lui semblaient lourdes, un bâillement confirma sont supposé état de fatigue.

Une fois qu'elle eut salué les personnes les plus importantes du vernissage (T/p) s'éclipsa.

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Le téléphone d'Armin indiquait minuit passées quand celui-ci harangua un taxi à la sortie d'une boite de nuit.

Le croissant de lune se reflétait parfaitement sur le fleuve au-dessus duquel la minuscule Peugeot rouge passait.

Cinq minutes à peine venait de passer, pourtant Armin était persuadé que cela faisait une éternité.

L'odeur de tabac froid, les sièges miteux qui partait en lambeaux et le conducteur aussi aimable qu'une porte de prison. Tout cela n'avait rien à voir avec l'endroit où il se rendait.