Et si on... (Beau Brooks)

La cousine.

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Un autre chapitre maintenant. j'ai trouvé que pour l'autre ça l'avait pris un petit peu plus de temps je me rattrape ce soir en vous postant celui là!!!!  

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Même si je n’en avais rien à cirer de lui en ce moment! je voulais probablement tomber dans le gouffre pour de bon. Tout ce que je voulais c’était un bon gros joint avec une bonne grosse bière assis sur un divan miteux aux ressors brisés blotti contre mon petit frère… BORDEL!!! NAH y’avait encore fallu que je me mettre les pieds dans les plats bien gommant! «Faith reprends toi sinon tu vas chuter» je le répétai jusqu’à en être un peu convaincu. Il était si envoutant assit seul au bar. Tournant encore et encore son minuscule verre d’eau entre ses longs doigts si doux, mais si dangereux. Il me manipulait. Il me manipule. Il me manipulera. De l’adrénaline : sentiment unique lorsque j’ai abattu cet homme. Je croyais que ça nous amènerais tous à penser si nous faisions le bien en ‘’tuant’’ le mal. Était-ce vraiment ce que nous tuons ou nous faisions tout simplement le penser? Ce n’était bien que théoriquement tout ce qui se passait, le comportement des gens s’étudiaient de plus en plus en profondeur. Comprendre tous les faits et gestes que le système humain nous commandait. Cependant ces fameux et supposés scientifiques n’ont pas encore appris que certaine chose restait dans un mystère  et ce pour l’éternité. Même s’ils faisaient des recherches acharnées… rien ne changerait. Inexplicable. Nous ferions que dire : c’est comme ça, que c'était le court de la vie. Nous nous baserions sur des expressions existantes depuis des siècles. J’avais crue faire le bien en lui enfonçant une balle. Puis finalement sous les étoiles d’une nuit douce et fraîche à la fois, je me rendis compte que j'étais aussi mauvaise que lui. Je l’avais tué avant qu’il ne me tue. Vous comprenez? Je pensais être une bonne personne en arrêtant le monde avant que le monde nous arrêtes… c’était complètement dingue! J’avais détruit sa famille avant qu’il ne détruise la mienne. Vous voyez? Encore une fois. Je souris, il pleure… je  

        -Viens te coucher, il se fait tard.

Beau… quand allait-il comprendre que je détestais ce ton!

        -Non.

        -Et si on…

Je sentis son corps plus près du mien. Sa chaleur commençait tranquillement à m’enivrer. Il ne fallait tout simplement pas. Je répliquai un peu plus froidement :

        -Non.

Ses mains glissèrent le long de mes côtes jusqu’à mes hanches. Un long frisson me parcouru de l’échine aux pieds. «Non toujours non!» murmurai-je du mieux que je pu. Je senti son sourire naître au creux de mon cou.

        -Viens…

Murmura-t-il à son tour.

        -BEAU! J’AI dit non! Arrête! 

Il sursauta violement. J’avais peut-être un petit peu trop crié. Quand ça suffit, ça suffit! S’il fallait  hausser le ton pour ce faire entendre faisont-le! Je sentis ses mains me quitter puis entendis ses pas s’éloigner.

        -… voudra.

Je n’avais pas entendu ce qu’il avait susurré, sa ressemblait plus à… euhm rien du tout. Je n’en fis pas plus attention et replongea dans mes pensées.