La maladie du sommeil

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Je parcours les merveilles de la nuit,
Une délivrance de ma petite vie par la lecture
Je tourne les pages pour fuir ce monde
Y rester est devenu une torture
Alors j'entends le ciel qui gronde
Et mon imagination n'aperçoit plus aucun bruit

J'exhorte mon esprit de cette peur par des images
Mon cœur accepte tout ces mirages
Pour que Morphée ne puisse pas faire de moi son ennemi,
Mais il prend nos rêves sans être notre ami
Pourtant se sert des siens comme le marchand de sable,
Et tel un imbécile, je cligne des yeux tellement cela devient indispensable!

Maintenant, je connais la morale de l'histoire vue qu'il s'agit d'une fable,
Très bien écrite tant l'inconnu nous rend responsable
D'un moment où l'on est censé être adorable...

Les Maux Du Mal Où les histoires vivent. Découvrez maintenant